Fabuliste

sucre de l’enrobage à l’amertume du principe actif contenu à l’intérieur. Elles flattent donc involontairement l’amour propre des enfants qui admire volontiers le personnage qui a le beau rôle, les forts et les rusés, contraire à ce que souhaite le Fabuliste. Selon lui La Fontaine se lance dans le compliqué pour des enfants car il cherche à plaire avant d’instruire. DISSERTATION I- Fables plaire et convenir aux enfants 1) Ludiques & monde merveilleux 2) Courtes mêlant récits et

fait de véritables textes littéraires. Il publie dans un premier temps un premier recueil de 7 livres (en 1668), puis, devant son immense succès, publie un nouveau recueil en 1678 (et en 1694 un 3ème). La 11ème fable du 8ème livre s’inspire du fabuliste indien Pilpay afin d’évoquer l’histoire de 2 amis. En quoi cette fable nous donne-t-elle une leçon d’amitié ? I. Une fable particulière 1) Des humains emblématiques L’extrême majorité des fables repose sur la représentation de conduites humaines

n’y a pas de fable antérieure à celle-ci dans ce recueil. En revanche, on peut situer cette fable en la situant brièvement dans la tradition du genre de la fable grecque : en effet, on trouve déjà le canevas et le modèle de cette fable chez le fabuliste grec Esope (VIè siècle avant J.C, donc 22 siècles avant La Fontaine), ici imité par La Fontaine : dans les deux fables, en effet : - la situation est identique (une cigale qui, affamée, vient demander de la nourriture à une fourmi, qui refuse, et

il faut donc pas s’en vanter trop, au risque de paraître ridicule. Rapprochement : « Le Lion et le Moucheron », Le Moucheron, trop orgueilleux, se vante de sa victoire avec le Lion, mais rencontre une « embuscade », Une araignée qui le tue. Le fabuliste, ici, met aussi en relief l’orgueil et nous invite à la modestie. « Le Lièvre et la Tortue ».(p233) Le Lièvre se vante trop, la Tortue gagne la course. Encore une fois, l’orgueil est dénoncé 2. La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société

sous Louis XIV et les défauts humains à travers des animaux qui ont des classes sociales différentes. La personnification rajoute un peu de gaieté et parfois des touches d’humour et de l’ironie qui fait du récit un miroir inversé de la morale. Le fabuliste travaille la langue et la raison du lecteur pour imposer ses idées aux lecteurs et ainsi partager sa vision de la situation à l’époque. L’argumentation logique de l’Agneau est écrasée par la mauvaise foi du Loup ce qui donne tout son sens à la morale

ès cynisme, dépourvu de tout scrupule a trouvé plus fort que lui, plus avide. Le « mais » du dernier vers est humoristique et amorce la chute, le renard n’abandonne pas la partie, on ne se refait pas ! « Il apprend la musique » (v. 57) : le fabuliste joue sur le double sens de l’expression courante légèrement modifiée « connaître la musique », à savoir il lui faut progresser encore pour parvenir au niveau de sa rivale en matière de spéculation, il se met à la musique qui lui semble un bon

Argumentation : Apologue Texte 1 : « La Cigale & La Fourmis » - La Fontaine Introduction : La fontaine est un grand fabuliste du XVII ème siècle. Il inspire d'Esope, pour lui c'est un moyen pour instruire le lecteur tout en s'amusant. Il a vécu du Mécénat (Fouquet est son protecteur). Il représente souvent des animaux ou des éléments de la nature : « La chaîne et le Rosseau » moral: rester modeste avec ces capacités. Le texte que nous allons étudier se nomme « La Cigale et La Fourmis » , C'est

l'Académie française en 1684. II] Les Fables 1) Présentation générale du recueil Les Fables sont regroupées en 12 livres d'une vingtaine de fables chacun, qui sont publiés de 1668 à 1694. Il s'agit de poèmes inspirés des auteurs antiques, le fabuliste grec Esope (VIe siècle av. J.-C.) et le latin Phèdre. On remarque là l'appartenance de La Fontaine au groupe des Anciens dans la querelle des Anciens et des Modernes. Cependant, si l'auteur s'inspire de l'Antiquité, il privilégie à la copie une imitation

La fable et le conte sont des récits illustrant des péripéties et aventures souvent mythiques pour donner une morale, la fontaine par exemple est un fabuliste du 17éme qui mettait en scène des animaux, les contes eux ont plus une origine de bouche à oreille. Reste à savoir à qui ces textes s'adressent-ils véritablement ? Un public innocent ou déjà averti ? De simples enfants ou des adultes ayant une certaine culture ? D’après les conteurs contemporains : «  les contes ne sont pas faits pour endormir

présence de phrases sans verbes (« point de bords escarpés, un sable pur et net »), ainsi que l’utilisation du présent de narration, renforcent l’aspect poétique du texte… R3 …et donc son efficacité. Conclusion : [Réponse à la problématique] Le fabuliste a donc choisi le genre de la fable pour nous transmettre une réflexion sur la nature humaine. Le lecteur se voit guidé vers la construction du sens, par une stratégie argumentative particulièrement efficace. [Bilan de l’étude] En effet, le récit