Fascination

analyser, premièrement, l’admiration que ressens Gringoire pour la jeune gitane qui danse. Il ressent cette admiration en la regardant danser et il est fasciner par cette image, en plus, on va étudier le présage qui laisse cette description et la fascination de la belle gitane pour la suite. La scène décrite dans ce passage est sur le signe du regard, c’est-à-dire qu’elle utilise la vue comme un élément principal lors de la description de la jeune femme et sa danse. La scène a un narrateur

PEUR ET FASCINATION: SALVADOR DALI Ce portrait de Gala est l'un de ceux qui illustrent le mieux l'association de la modernité et du classicisme de la peinture de Dali. Classicisme dans l’esthétique née dans l’unité de la couleur, la sérénité du bleu, la tendre expression sur le visage et la douceur apaisée qui a été achevé par l’extrême régularité des traits de cette femme idéalisée. Sa fascination pour les sciences physiques peut expliquer l'explosion (nucléaire sans doute) provoquée dans

pas fasciné par les actes bien mais par les mauvaises actes. Exemples :« les voitures qui ralentissent sur la route pour voir si il y a des blessé, le succes des émissions de télé comme enquete criminelle sur des affaires criminelles réels, la fascination scandaleuse mais réelle pour la décapitation et le supplice » Le mal a tendance à nous attirer (comme des mouches :p) (sang, spectale d’horreur) Saint augustin raconte comme un de ses amis a trouvé le moyen d’aller à un spectacle de gladiateur

série de malheurs mais à la fin elle se mariera avec lui. Cet extrait raconte l’arrivée de trois personnages : « Denise », « Jean » et « Pépé » à « Paris » qui recherchent leur oncle Baudu car ils viennent de devenir orphelins. Il décrit leur fascination devant le grand magasin, « Au Bonheur des Dames ». Il y a une description très précise qui nous permet de visualiser le magasin et d’être fasciné. Donc cet extrait est réaliste. De plus, l’auteur nous raconte que les trois personnages sont

l’extrait. Commençons par la vision d’Anselmie. Tout d’abord, Anselmie ne voit rien, c'est-à-dire qu’elle est très naïve et pas très observatrice de ce qui peut ce passer autour d’elle. Nous voyons cela par le fait qu’elle ne s’aperçoit pas de la fascination de Langlois pour le sang de l’oie «  Il me l’a rendue », « il veut s’en doute que je la plume ». De plus ce personnage est très simple, Anselmie ne fait que des choses banales, des choses de tous les jours « et j’ai fais ma soupe. », «  je sors

jeux de lumière ( les torches) contribuent au spectacle tout comme l'attente et l'excitation d'un public ( les chasseurs) en quête d'un dénouement. L'expression « beau massacre » traduit toute l'ambiguïté de la scène entre horreur et beauté, fascination et crainte, respect et « justice ». La scène lourde de sens et de sang ( une mise à mort à venir ) baigne pourtant dans une atmosphère légère où les choses semblent comme suspendues ( voir le champ lexical de l'envol: « ailes », «torches-colombes»

demanderons en quoi le portrait que dresse Sganarelle de Don Juan est il un blâme ? Plan : I le portrait critique du maître a le portrait d'un séducteur b La critique du libertin (athéisme) II La relation maître/Valet a Une forme de fascination b La peur Développement : I Le portrait critique du maître a Le portrait d'un séducteur sganarelle critique don Juan champs lexicaux : → mariage (epousé , passion , mariage , épouseur ) → chasse (piège , attraper) don

de foudre qui va laisser derrière lui un étrange sentiment de mélancolie. Nous allons alors nous demander comment Baudelaire arrive à nous faire pars de la fascination qu’exerce sur lui cette rencontre ? Les conditions de cette rencontre ainsi que la vision éphémère de cette beauté vont nous montrer que la femme exerce une certaine fascination lancinante sur l’auteur. La situation de la rencontre entre la passante et le poète va être mouvementée. La violence sonore de la rue va renforcer la sensation

tuteurs. N'y ont-ils pas intérêt? La Boétie, dans son ouvrage "De la servitude volontaire" montre comment la fonctionnement du pouvoir est un fait de structure et non la simple improvisation d'un individu charismatique au pouvoir incompréhensible de fascination sur des foules stupides. Il révèle, derrière la magie apparente du pouvoir, toute la machinerie des rapports de dépendance, des intérêts et des positions qui s'enclenchent les unes dans les autres. A partir du "tyran" s'instaure une sorte de "réseau

représentent le même univers car après le temps qui passe vite arrive la vieillesse puis la mort. Un autre univers tout a fait opposé à la mort et la vieillesse est présent dans les textes de Marguerite Duras comme l'amour, la beauté ou bien encore la fascination. Avec tout d'abord, un geste d'amour de la jeune femme envers un homme dans l'extrait de Hiroshima mon amour aux lignes 42-45 : "la main de la femme se resserre (…) qu'elle la caresse". Là, ce geste nous fait pensé que ces deux personnes sont un