Fascination

récit des événements tout au long du roman. Si l'on veut recenser les étapes successives de cette description des pensées de Tchen, on peut les récapituler ainsi: 1) Interrogation - très matérielle, très prosaïque _ sur la façon de tuer. Fascination que les divers éléments du décor exercent Sur Tchen (l. 1 à 8). 2) Idée fixe de Tchen : comment oser tuer cet homme sans qu'il puisse se défendre. (l. 9 à 14) 3) Tchen se découvre bourreau : il est écœuré par la lâcheté de l'assassinat. (l.

laquelle Baudelaire cherche � d�finir l'essence du beau et sa conception du po�te et de la po�sie. Dans le po�me que nous allons �tudier, Baudelaire nous pr�sente d'abord la beaut� sous un visage ambigu et m�me contradictoire. Il montre ensuite la fascination qu'elle exerce sur lui, ce qui donne lieu � un v�ritable hymne � la beaut�. Toutefois, cette beaut� toute-puissante est �galement d�moniaque, aussi examinerons-nous en quoi la beaut� est une Fleur du mal. Baudelaire cherche d'abord � cerner l'origine

qui permet à chacun d'entre eux de regarder l'autre. L'importance du regard est, de plus, confirmée par une précision que donne Stendhal (l.23) : ce que Julien perçoit chez son interlocutrice est son " regard ", qui exerce sur lui une véritable fascination. Ce jeu des regards va déterminer une alternance et permettre à Stendhal une présentation plus rapide et plus précise des deux personnages. Le premier portrait est celui de Julien vu par Mme de Rênal. Le deuxième portrait est beaucoup plus rapide

Idéal », où Baudelaire cherche à définir l’essence du beau et sa conception du poète et de la poésie (« L’Albatros » et « Correspondance »). Baudelaire présente d’abord la beauté sous un visage ambigu et même contradictoire. Il montre ensuite la fascination qu’elle exerce sur lui, ce qui donne lieu à un véritable hymne à la beauté. Mais cette beauté toute-puissante est aussi de nature démoniaque, c’est pourquoi l’on peut parler de la beauté comme étant une Fleur du mal. I La nature et

LA 13 : Senghor, Ethiopiques, 1956 I. La fascination de l'auteur pour cette ville La ville est tutoyée "ta beauté", "tes yeux" ; aspect d'un corps humain : "sourire de givre", "muscles d'acier", "peau patinée" -> personnification, la ville était paraît presque humaine. "beauté" : premier mot qui décrit la ville "ta beauté" -> renvoie à la beauté des femmes new-yorkaise. Apposition : ambiguïté entre la beauté de la ville et la beauté d'une femme "ces grandes filles" / métonymie : mélioratif

Julien se manifeste par des étapes successives, soulignées par des actions, puis par une fascination qui lui fait perdre la mémoire, lui fait oublier l'objet de sa venue. La fascination est soulignée par l'emploi d'un verbe qui exprime l'idée d'un choc : << frappé >>. C'est un choc affectif intense. Ce choc s’explique chez Julien par un manque total d’expérience dû surtout à son jeune âge mais cette fascination est-elle celle qu’il ressent pour Mme de Rênal ou pour ce qu’elle symbolise ? L'émotion

caractère de ce personnage ? b- Relevez et analysez trois procédés d’écriture utilisés par l’auteur pour exprimer cette fascination. N’oubliez pas d’analyser (= expliquer l’effet que l’auteur cherche à produire). On ne vous demande pas de faire un simple relevé de figures de style. N’oubliez pas que la forme est au service de l’idée, l’idée étant, ici, l’attirance et la fascination (cet aspect et rien que cet aspect). Intéressez-vous alors uniquement aux figures qui se rapportent à cette dimension

[pic] UNE VÉRITABLE ATTIRANCE OU UNE SIMPLE MODE Au siècle de l'ordinateur, il reste étonnant de voir combien la fascination du fantastique et de la mort prend de l'ampleur. Il faut avouer que le morbide est devenu accessible. Envahissant nos écrans de cinéma, les vampires et autres frankensteins font aujourd'hui partie de notre quotidien. Il n'y a qu'à voir le succès du film La Famille Addams pour s'en convaincre. Réaction au pessimisme ambiant, diminution de la foi et plus grande tolérance

gardé cette fascination pour le cirque, C'est est une combinaison d'images et de odeurs. L'odeur de la sciure de bois, du maïs soufflé et animaux, les effets visuels du projecteur en " la tente et du manège. " Juste entrant dans la tente du cirque Krone est . quelque chose de spécial. Il n'y a pas de comparaison d'assister à un cirque en personne avec les regarder le cirque à la télévision! | Jan Drost est un ami dévoué de cirque, mais il n'a pas l'expérience de la fascination avec de nombreux

« L'incompréhension , l'horreur et la fascination se confondaient dans ces souvenirs sans fond. » D’emblée nous voyons le mot « incompréhension » face à quoi ? Quel en est la cause ? La réponse est sûrement dans la phrase . Nous avons une virgule qui sépare ce premier mot avec le reste de la phrase cela veut peut-être dire que la proposition derrière la virgule complète le mot « incompréhension . A côté il y a les mot « horreur » et « fascination ». Nous pouvons en déduire que Georges Perec