Féminité

sont courts et plaqués à la différence des femmes. A la fin de la seconde guerre mondiale, le femmes sont en quête de chic, de féminité et d'élégance. Cete période est marquée par l'émancipation du corps de la femme. Elles utilisent cette féminité pour se différencier des hommes, et augmenter l'égalité homme-femme durant ces années. Ce besoin de chic et de féminité est satisfait dès les années 1940 et perdure jusqu'à aujour'hui. L'égalité homme-femme peut reposer sur la différenciation marquée

expose aussi la régression né­cessaire à l’analité pour se délivrer de la mau­vaise mère. Face à la division de la mère en deux (la bonne morte et la mauvaise marâtre) la fille d’un gentilhomme doit se rouler dans la cendre de sa mère. Elle en perd sa féminité et devient « un vilain cucendron ». Elle en sort par la génitalité. La pantoufle de verre est celle qui laisse voir le pied qui est dedans ; elle aussi laisse au Prince son sexe à rem­plir. Et lorsque est retrouvé le pied pour cette chaus­sure, l’analité

termes : les termes « mince et joli », « la race s’affinait » et « devenait délicate » suggèrent la délicatesse, la finesse féminine. L’image de son regard (« douceur du regard ») et la longueur de ses cheveux (« cheveux bouclés ») affirment cette féminité. L’expression « créature frêle » montre sa fragilité et indique qu’il n’est ni homme ni femme : il n’a pas une image humaine. La coupe de ses vêtements le montre aussi : « pincé à la taille comme une femme ». Enfin, il danse « légèrement sur la selle

question de la femme. Le texte suivant, est un extrait d'Histoire de ma vie, recueil épistolaire sous forme autobiographique de George SAND publié en 1855. Elle y exprime sa difficulté à cultiver la beauté et son refus de se laissé enfermer dans une féminité de convention. Enfin le dernier texte, extrait du quatorzième chapitre, « Vers la libération », de la deuxième partie: Le Deuxième Sexe rédigé par Simone DE BEAUVOIR en 1949. Elle s’y interroge sur l’égalité des sexes. En effet ce corpus de textes

Plan de synthèse I .Des hommes et des femmes formatés par la société  A) Dés la naissance - Les représentations de la masculinité et de la féminité sont normatives. (doc. 2) - On tente de faire coïncider la masculinité et la féminité avec le sexe de l’enfant : habillement, scénario familial et social. (doc. 2) - Il faut adapter la scolarité à ces différences. (doc. 1) B) Dans la vie quotidienne - Ecole, église, famille renforcent ce discours. (doc. 2) - Les femmes

qui est très beau 1. Mentionnons au passage que non pas seulement « L’analyse avec fin et l’analyse sans fin » bute contre le féminin, mais toute l’œuvre de Freud est jalonnée de réflexions face à son incapacité à comprendre la féminité. 2. S. Freud (1933 a [1932]), La féminité (XXXIIIe conférence), Nouvelles conférences d’introduction à la psychanalyse, trad. franç. M.-R. Zeitlin, Paris, Gallimard, 1984 ; OCF.P, XIX, 1995 ; GW, XV. 3. Sami me fait penser au cas Aurélien, remarquablement présenté et

de Hadda, les voiles des femmes sont blancs tandis que la morte est « De blanc vêtue sous le blanc. » (Djebar, 2002 : 180). A la fois symbole de pureté et de liberté, cette couleur est aussi liée à la mort, à la célébration et semble incarner la féminité arabe. Cependant, ce blanc ne semble pas toujours connoter un sentiment particulièrement bienveillant. Par exemple, la jeune fille dans La femme qui pleure sourit « malgré » le blanc ; dans la deuxième nouvelle, la narratrice se demande : « la

dégrade encore un peu plus l’image qu’elles ont d’elles-mêmes : les règles sont vues comme quelque chose de sale et elles se sentent humiliées par rapport à cela. A l’inverse la puberté des garçons renforce leur virilité et cela d’autant plus que la féminité est dévalorisée. L’une des différences fondamentale entre la jeune fille et le jeune garçon est le rapport au mariage ; alors que pour les premières il est un objectif principal, faire un « bon » mariage est le gage d’une vie réussie, pour les seconds

d’infériorité face à son père va surement plus tard considérer les femmes comme inferieure. Il en sera de même pour une fille qui sera éduqué comme un garçon, elle ne sera pas attiré par les poupées mais par les ballons et plus tard aura du mal à assumer sa féminité, elle sera ce qu’on appelle « un garçon manqué » au contraire une fille qui aura pour habitude de voir sa mère se maquiller faire attention à elle va plutôt avoir tendance à reproduire les même gestes. Simone de Beauvoir dans son livre deuxième sexe

collectivisme des sociétés va perdurer à l’avenir. L’existence de ces deux dimensions est à l’origine d’incompréhensions mutuelles entre les pays d’orientations différentes. c. Féminité et masculinité Les comportements « masculin » et « féminin » diffèrent d’une culture à l’autre. i. La masculinité/féminité en tant que dimension d’une culture |Société masculine |Société féminine |