Fourberies De Scapin Finale

la tragédie. Tragédies et comédies La tragédie est le premier genre crée en Grèce et atteint son apogée au Veme siècle. Elle comporte un prologue, l'arrivée du chœur, des actes séparés par des chants et des danses du choeur et un acte final avec sortie de ce chœur qui commentait les événements et l’intervention d’un personnage ou donnait des indications scéniques. Leur rôle est donc multiple.Les intrigues de la tragédie reposent sur les mythes que le public connaît, pour faire leur pièce

d'athéisme militant par la Compagnie du Saint-Sacrement). Malgré son succès, la pièce est retirée. Molière continue cependant de bénéficier de la faveur du roi. Viennent les pièces « Le Bourgeois Gentilhomme » (1670), « L’Avare » (1668), « Les Fourberies de Scapin » (1671), « Les Femmes savantes » (1672), etc. Épuisé par le travail et souffrant d'une infection pulmonaire, Molière meurt le 17 février 1673 après la quatrième représentation du « Malade imaginaire » (il jouait le rôle d’Argan). 2. CONTEXTE

DISSERTATION Destinée à être mise en scène, puis représentée lors du spectacle final, l’œuvre est le fruit d'un genre littéraire spécifique, nédurant l'Antiquité, ayant traversé les siècles et plaisant encore profusément à ce jour : le théâtre.Il permet une opposition à certaines idées de façon plus ou moins détournée et est accessible à tous. Une pièce de théâtre est une œuvre qui peut être lu mais qui a surtout pour vocation d’être mise en scène, regardée. D’une part le metteur

Le Malade imaginaire – Molière Scène I,1 depuis « Plus, du vingt-sixième... » à la fin de la scènePrésentation :Eléments biographiques (cf. approche générale de l'œuvre) : dernière pièce de Molière, même s'il n'est pas mort en scène, elle contribue à la légende d'un homme qui a consacré sa vie au théâtre et qui a fait évoluer le genre et sa renommée.Le Malade imaginaire est une comédie-ballet, genre qui plaît à Louis XIV, donc à la

voir à mes yeux l'impiété de mon maitre, punie par le plus épouvantable châtiment ». Enfin, beaucoup ont vu, dans Dom Juan, un révolté capable d'affronter Dieu sans jamais s'y soumettre. Ainsi Blandine Bricka suggère une double lecture du châtiment final : la conventionnelle, celle qui fait dire au roi que Dom Juan n'est pas récompenséet l'autre relatant un combat métaphysique entre deux adversaires de même valeur. Les personnages Liste des personnages • Dom Juan, fils de Dom Louis. • Sganarelle

chanson et de chaque scène de quiproquo jusqu’à l’apothéose finale où les personnages se retrouvent tous dans les petits pavillons extérieurs pour flirter ou s’espionner. Et le plaisir que procure la comédie ne se dément pas au fil des siècles. Depuis la farce, la comédie de Molière, puis celle de Marivaux ou Beaumarchais, le genre ne cesse de se renouveler avec succès. Le spectateur du XVII° siècle sait qu’en assistant aux Fourberies de Scapin il va rire. Le seul nom de MARIVAUX au XVIII° remplit les

Tartuffe (1664) et Dom Juan (1665) font scandale et sont interdites. Molière continu cependant à bénéficier de la faveur du roi et écrit les pièces Le Misanthrope (1666), George Dandin (1668), L’Avare (1668), Le Bourgeois Gentilhomme (1670), Les Fourberies de Scapin (1671), Les Femmes savantes (1672), etc. C’est l’apogée de sa carrière. En 1673, épuisé par son travail et sa maladie, Molière meurt après la 4ème représentation du Malade Imaginaire. Les personnages Don Juan : Il est le fils de Don

pas et tous les 2 partent dans une différente direction. CONCLUSION  : Cette scène comique aura permis à la comtesse de connaitre la vérité : par le mensonge on arrive a la vérité. L’intrigue est donc relance jusqu’au révélation finale. Nous avons vu que la comtesse manipule le comte pour obtenir sa place d’épouse, elle n’a pas été découverte par son époux. Beaumarchais est du côté des femmes en mettant en scène un comte beau parleur. C’est aussi l’occasion pour lui d’exposer la

souffrir, tant pis pour vous, je ne veux pas avoir à me reprocher la même chose, je vous rends la liberté ». Euphrosine lui répond comme à une égale. Scène 11 Trivelin se réjouit car « la paix est conclue, la vertu a arrangé tout cela ». Sa tirade finale décrit avec philosophie la différence des conditions comme une épreuve. Il annonce qu’un navire emmènera bientôt les personnages à Athènes. La pièce s’achève sur une scène dansée et chantée à l’italienne, où des esclaves célèbrent leur libération

d’une tragédie. Mais très rapidement, le registre comique revient au galop avec la réplique finale de Sganarelle : « Mes gages, mes gages ! » ; Sganarelle est peiné, non de la mort de son maître mais de la perte de son argent. Le châtiment de Dom Juan peut paraître exemplaire : un homme qui défie toutes les lois sociales et la puissance divine ne peut survivre. Pourtant le comique de cette réplique finale annule l'effet voulu : Dieu n'a pas le dernier mot. La pièce se finit sur une note bouffonne