Gottfried Wilhelm Leibniz

avoir une approche idéaliste. Voltaire pratique un pessimisme optimiste qui s'oppose à un optimisme absolu, béat, à l'image de celui de Pangloss qui trouve dans Candide que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes (Pangloss est la figure de Leibniz dont Voltaire se moque). 3. L'ironie voltairienne : Voltaire aime user d'ironie pour se moquer des personnages malfaisants. C'est la voix du narrateur qui porte ces piques ironiques. Il cherche ainsi à informer son lecteur de la duplicité, de l'hypocrisie

idées du philosophe Leibniz au sujet de Dieu, du « principe de raison suffisante » et son idée d'« harmonie préétablie ». Il est d'autant plus véhément que sa maitresse, pour laquelle il éprouve beaucoup d'admiration, Émilie du Châtelet est une leibnizienne convaincue. Pour Leibniz, Dieu est parfait, le monde ne peut pas l'être mais Dieu l'a créé le meilleur possible. Le mal existe ponctuellement, mais il est compensé ailleurs par un bien infiniment grand6. De plus, selon Leibniz, rien n'arrive sans

multinˆme : o (x1 + · · · + xn )k = |α| α |α|=k |α| α xα , |α|! et o` la somme est prise sur tous les multi-indices α = u α! (α1 , . . . , αn ) avec |α| = k. On pourra faire une r´currence sur n. e o` u = Exercice 1.2. Prouver la formule de Leibniz ∂ α (uv) = β≤α α β ∂ β u∂ α−β v, α! α et β ≤ α signifie = β!(α − β)! β βi ≤ αi pour i = 1, . . . , n. On pourra faire une r´currence sur n ∈ N. e o` u, v : Rn → R sont de classe |α|, u 1.3. Espaces de fonctions. Si Ω est un sous-ensemble

nous propose un monde à l’envers dont la logique ne sort pas indemne. Les dérèglements de la logique sont l’occasion de satiriser certains aspects de la société et plus généralement de remettre en cause les beaux raisonnements philosophiques d’un Leibniz ou d’un Pangloss. La cause peut ainsi entraîner l’effet opposé à celui qu’attend la logique : plus on soigne Candide, plus sa maladie s’aggrave (l.11-12). Martin fournit le contre-exemple (l.10-11) qui dénonce toujours la même vérité : les médecins

déterminante sur tout son siècle : les grands philosophes qui lui succèderont développeront leur propre philosophie par rapport à la sienne, soit principalement en la développant (Arnauld, Malebranche), soit en s'y opposant (Hobbes, Pascal, Spinoza, Leibniz). Descartes affirme un dualisme substantiel entre l'âme (la res cogitans, la pensée) et le corps (la res extensa, l'étendue). Il radicalise sa position en refusant d'accorder la pensée à l'animal, le concevant comme une « machine »2, c'est-à-dire

jugée par les Lumières comme hors-la-loi, révèle ici son inutilité, ses dangers et sa cruauté. Capable d’appauvrir une contrée entière au nom de l’intérêt de quelques-uns, elle doit être l’occasion d’une sévère remise en question. L’optimisme de Leibniz a également vécu. Voltaire se rallie aux détracteurs de cette thèse et s’attache à la combattre, pensant qu’elle empêche une réflexion saine sur les conditions du progrès. L’optimisme paralyse la liberté d’action puisque, poussée à l’extrême, cette

de la conscience devient l'histoire de l'émancipation de l'homme dans le monde. La conscience reflète donc l'idéologie ambiante, les modes, mœurs et préjugés de l'époque (facteurs socio-culturels) 3. QUELQUE CHOSE QUI ECHAPPE A LA CONSCIENCE C'est Leibniz (XVIIe) qui eu le pressentiment de l'inconscience. Il parle alors de « petites perceptions inconscientes » (EXEMPLE DU BRUIT DE LA MER) Notre conscience est donc en partie obscure à elle-même. Nietzsche, de même « ce dont nous avons conscience, que

 « s’attirait par là »  (l.25), poids  de la baronne / considération. Le dernier paragraphe est la preuve (évidente !)  « qu’il n’y a pas  d’effet sans cause » et son corollaire meilleur des mondes = meilleur des maîtres : critique de la philosophie  optimiste de Leibniz à travers les discours du personnage de Pangloss.  Ces  preuves,  censées  prouver  la  grandeur  du  baron,  montrent  en  fait  que  son  pouvoir  repose  sur  les  apparences et sur des signes extérieurs futiles et dérisoires.    Conclusion : 

Chapitre 5 : « Comment Candide rencontra Pietro et Minnie et comment il arriva à Disneyland » Après avoir vécu toutes ces aventures, il décida de rentrer en France, alors avec le peu d’argent qu’il lui restait, il prit un avion direction Paris. En arrivant dans l’avion, il se prépara pour environ douze heures de vol. Candide c’était bien installé, il regardait tranquillement la télé quand un petit, assis à côté de lui, lui demanda s'il pouvait l’accompagner aux toilettes car il était seul. Candide

capable de différencier tel mouton de tel autre mouton. Ils se ressemble tous et comme nous percevons le troupeau en entier il est encore plus dure de percevoir un mouton pour lui même. Cet exemple rejoint parfaitement les petites perceptions de Leibniz , c'est comme quand on écoute un orchestre nous entendons chaque objet mais nous ne pouvons pas écouter chaque objet pour lui même. Tout cela nous montre bien que nous ne somme pas réellement les maîtres de ce que nous percevons, c'est notre conscience