Gottfried Wilhelm Leibniz

politique reposant sur la notion de droit naturel. Précurseur du libéralisme, il fut pris pour modèle par les philosophes français du siècle des Lumières. Entéléchie : Chez Aristote, terme réalisé par l'acte, qui ne renferme plus aucun devenir. Chez Leibniz, entité qui jouit de toute la perfection dont elle est capable de par sa nature. Métaphysiques :* Science de l'être en tant qu'être, recherche et étude des premiers principes et des causes premières, connaissance rationnelle des réalités transcendantes

hiérarchie de valeur qui en découle. On peut donc dire de cette époque qu’elle est l’ère de la raison triomphante. Qu’on pense à René Descartes (1596-1650), Thomas Hobbes (1588-1679), John Locke (1632-1704), Baruch Spinoza (1632-1677), Gottfried Wilhelm Leibniz (1646-1716), David Hume (1711-1776) et bien d’autres encore, les philosophes modernes sont préoccupés à un très haut degré par le sens de leur démarche et par la rigueur et l’exactitude de leur système. Dans ce contexte, les mathématiques

un principe rationnel valable dans tout l'univers et ce principe doit forcément servir de juste base à toute la pensée humaine. Le premier philosophe a avoir appliqué les principes du rationalisme issu de la démarche de Newton est sans doute Gottfried Wilhelm Leibnitz en Allemagne. Partant du principe que Dieu était le bien parfait et absolu, Celui-ci  ne pouvait concevoir un monde qui ne  soit pas fait autrement que celui qui est sorti de ses mains. Conclusion, le monde dans lequel  nous nous trouvons

entre l’aire sous la courbe d’une hyperbole et le nombre e puis le suisse Jakob Bernoulli (1654 ; 1705) proposera par un calcul de limite une première estimation pour les besoins de la finance. Il trouvera 2 < e < 3. En 1690, l’allemand Gottfried Wilhelm von Leibniz (1646 ; 1716) définit le nombre e et propose de le nommer b (le nom actuel n’existe pas encore). 4 sur 6 18/08/2013 18:30 Le nombre e http://www.maths-et-tiques.fr/index.php/histoire-des-maths/nombres/le... Leonhard Euler

Rouen, une machine à calculer (la Pascaline) qui pouvait traiter les additions et les soustractions. Figure 1 : La Pascaline de Blaise Pascal Source : Internet / www.lessupersordinateurs.com En 1673, le mathématicien allemand Gottfried Wilhelm Von Leibniz réalise une machine dérivée de la pascaline mais capable de traiter les multiplications et divisions. Son compatriote Hahn invente en 1770 la première machine à calculer exécutant directement les quatre opérations (fondée sur le cylindre

l’universalité de sa loi et en chercha toute les conséquences. Il publia ses résultats en 1686 dans « Philosophiae naturalis principia mathematica ». Sur le continent, la philosophie cartésienne(3) étant largement répandue, l’écrit fut très mal accueilli : Leibniz(XI) se posa comme adversaire alors qu’Huygens ne leur fit crédit que pour les astres. Malgré tout, Maupertuis(XII) et Voltaire(XIV) lui accordèrent crédit. En Angleterre, Newton fut couvert d’honneur. Charles II étant mort, Jacques II monte sur le

idées du philosophe Leibniz au sujet de Dieu, du « principe de raison suffisante » et son idée d'« harmonie préétablie ». Il est d'autant plus véhément que sa maitresse, pour laquelle il éprouve beaucoup d'admiration, Émilie du Châtelet est une leibnizienne convaincue5. Pour Leibniz, Dieu est parfait, le monde ne peut pas l'être mais Dieu l'a créé le meilleur possible. Le mal existe ponctuellement, mais il est compensé ailleurs par un bien infiniment grand6. De plus, selon Leibniz, rien n'arrive sans

cognitif (et émotionnel) pouvant conduire à des prévisions hasardeuses, un excès de confiance et des comportements dangereux. Le concept philosophique Le philosophe Leibniz expose en 1710 sa Théodicée : il décrit un Système philosophique fondé sur une « harmonie préétablie » pour expliquer l’existence du mal sur Terre. Leibniz, pour sa théorie, part du principe de la perfection et de la bonté divine. D'après lui, rien ne peut être aussi parfait que Dieu donc le monde n'est pas parfait, or, comme

Gottfried Wilhelm Leibniz La Monadologie (1840 posthume) Source : Les classiques de sciences sociales PhiloSophie © janvier 2011 Table des matières Avant-propos par Daniel Banda ............................................... 3 Notice sur la monadologie (historique et analyse) ................... 5 La monadologie........................................................................ 11 À propos de cette édition électronique ................................... 31 Avant-propos par Daniel

Dans une civilisation fière de son raffinement, la recherche du confort va favoriser, autant que les exigences de la raison, les découvertes scientifiques. De nombreux progrès sont faits en mathématiques. Newton et le philosophe allemand, Gottfried Wilhelm Leibniz, inventent le calcul infinitésimal : l’homme est désormais capable de maitriser les idées de « limites » et d’ « infiniment petit ». Les méthodes nouvelles multiplient la puissance des mathématiques et permettent de calculer des surfaces