Gouffre

du poète c. Les réseaux symboliques -lecture de la poésie sous un nouvel angle, à travers tout un réseau de symboles. Poésie symboliste : * Albatros symbole du poète * Equipage -- -- de la société * Navire -- -- de la terre * Gouffre -- -- de la mort Transition : Relecture avec un nouvel œil => fouille plus complète de l’étude avec ce nouveau point de vue : voir ce que chaque symbole fait passer comme message. II- L’IDEAL DE BAUDELAIRE : POESIE ET LIBERTE : L’oiseau

ravage ; Demandez aux mourants, dans ce séjour d’effroi, Si c’est l’orgueil qui crie : « O ciel, secourez-moi ! O ciel, ayez pitié de l’humaine misère ! » « Tout est bien, dites-vous, et tout est nécessaire. » Quoi ! l’univers entier, sans ce gouffre infernal, Sans engloutir Lisbonne, eût-il été plus mal ? Êtes-vous assurés que la cause éternelle Qui fait tout, qui sait tout, qui créa tout pour elle, Ne pouvait nous jeter dans ces tristes climats Sans former des volcans allumés sous nos pas

sur les planches, – Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, – Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches // Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, – Qui suivent, indolents compagnons de voyage, – Le navire glissant sur les gouffres amers ». Cette harmonie est également suggérée par le tétramètre v.3 (musique du vers). De nombreuses périphrases désignent l'albatros comme au vers 2 ''vastes oiseaux des mers', au vers 6 ''rois de l'azur'' ou encore au vers 13 ''prince des nuées''

entre les différents sens : « Les parfums, les couleurs et les sons se répondent » dans « une ténébreuse et profonde unité ». La poésie tourmentée de Baudelaire est surtout celle d’un poète en souffrance et en révolte , partagé entre les images de « gouffres » et d’ « abîmes » et l’aspiration vers ce qui lui permet à l’âme de s’élever, Dieu et Satan. Même si c’est un dieu terrible, Chronos (dans la mythologie grecque, le dieu cruel du Temps dévore ses propres enfants), qui a le dernier mot dans le dernier

Commentaire du poème de Baudelaire «L'albatros» Arissia TCHEN Selon Victor Hugo dans «Les fonctions du poète» publié dans Les Rayons et les ombres , le poète est un être qui «rayonne» et «jette sa flamme sur l'éternelle vérité». C'est précisément ce que fait Baudelaire en 1857 dans Les Fleurs du Ma l, un recueil de poèmes qui sera d'ailleurs censuré pour avoir excessivement montré cette éternelle vérité.

recherchait dans l'inconnue urbanité virtuelle. Le tissu social n'existait plus, individus et territoires étaient atomisés, épars. Le paradigme de l'élimination, issu des jeux vidéo, enveloppait le réel d'une constellation de défaillances, de gouffres éthiques et de glissements hégémoniques. Les enjeux politiques n'étaient plus des enjeux de société ni de civilisation, mais d'image et de paysage: autant de turbulences médiatiques qu'il fallait traverser, sans être affecté par l'ampleur des

pour cela te comparer au vin. Tu contiens dans ton oeil le couchant et l'aurore; Tu répands des parfums comme un soir orageux; Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore Qui font le héros lâche et l'enfant courageux. Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ? Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien; Tu sèmes au hasard la joie et les désastres, Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien. Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques; De tes bijoux l'Horreur

« Le Poète est semblable au prince des nuées » (v13). Cette comparaison démontre que la détresse de l’animal est égale à celle du poète. « Les hommes d ‘équipages » (v1) symbolisent la société en général. On a une image d’une société intolérante. « gouffres amers » (v4) symbolise la descente aux enfers, et donc la fin d’une situation paisible. « ses ailes de géants » (v16) symbolise la différence de l’artiste. Le poète est handicapé par son originalité, son imaginaire. Le Poète s’identifie à l’oiseau

qu'il en manque. Mais quand il s'agit de cette cour, la vertu toute négative de la tolérance doit se muer en celle, moins facile, mais plus élevée, de la justice. Surtout l'orsque le vide du coeur tel qu'on le découvre chez cet homme devient un gouffre ou la sociétée peut succomber." C'est alors qu'il a parlé de mon attitude envers maman. Il a répété ce qu'il avait dit pendant les débats. Mais il à été beaucoup plus long que lorsqu'il parlait de mon crime , si long même que, finalement, je n'ai

théologie. Quand vous rédigez une dissertation, mettez de côté toutes vos opinions personnelles. Exemple d’utilisation La critique que Jésus fait des pharisiens n’est pas un argument mais constitue en revanche une belle illustration du gouffre entre la moralité d’apparence (la conformité aux moeurs) et la « vraie » moralité intérieure. Au premier siècle de notre ère, les pharisiens étaient réputés pour être respectueux des lois religieuses pourtant Jésus les décrivait ainsi : « des tombeaux