Guerre Ni Vainqueur Ni Vaincus

lorsqu’il écrit, fin 1919, les Conséquences économiques de la paix, l’immense réputation dont il disposera plus tard. Il dispose néanmoins d’une certaine crédibilité dans l’écriture de cet ouvrage ; en effet, l’économiste de Cambridge fût pendant la guerre un membre du Trésor, et il développa dès 1916 certaines des idées que l’on retrouve dans le pamphlet de 1919. Membre de la délégation britannique pendant la Conférence de Paris, il démissionne de ses fonctions le 7 juin 1919, lésé par la direction

« tranquille ». Le poète refuse l'existence de la mort. Ces euphémismes laissent quand même apparaître la réalité : « il a deux trous au côté droit », « les parfums ne font pas frissonner sa narine », le jeune homme est « pâle ». Il a probablement été tué à la guerre. Cette triste réalité contraste avec la description de la Nature. « C'est un trou de verdure ou chante une rivière, accrochant follement aux herbes des haillons d'argent », le champ lexical de la lumière est important : « soleil » « luit », « rayons »

Aux pertes directes creusées par la guerre, il faut ajouter les pertes indirectes liées à la diminution de nombre de naissance à la disette (famine), malnutrition, sous alimentation. Le nombre de victime dépasse dans certain cas celui des militaires, et la guerre a été meurtrière en Asie : chine 6 à 8 millions de victime, japon 2 à 3 millions, aux états unis 0,2% de la population 2. Bilan matériel ou perte économique La guerre a détruit la ville tout entière, les industries

du chômage. ------------------------------------------------- Première Guerre Mondiale (1914-1918) I- La Guerre Les phases de la guerre : La guerre de mouvement, se déroulant d’août à octobre 1914. L’Allemagne prend alors l’avantage sur le front ouest. Le front se stabilise jusqu’en 1917 où il est question de guerre de tranchées. L’année 1917 est restée charnière avec l’armistice germano-russe et l’entrée en guerre des Etats-Unis. Le 11 novembre 1918, l’armistice franco-germanique est signé

LA GUERRE EST ELLE LE PIRE DES MAUX ? Analyse du sujet à la loupe (Les 4 premières illustrations sont tirées de l’album « le colporteur » de Marie-Christophe.Arn et Tom Tirabosco Editions Delcourt, sept1999. e-mail: www.editions-delcourt.fr ) La guerre Il faut d’abord strictement circonscrire le sujet. Il interroge la guerre et non pas n’importe quelle forme de révolte ou de défense armée. La guerre implique des peuples dressés les uns contre les autres, des Etats, toute une organisation collective

reconnaître. Chapitre XIV : C'est de part sa connaissance de l'art de la guerre qu'un prince est respecté. En effet un prince se doit de positionner les armes et la guerre en première position. Il doit entraîner son corps militaire constamment, notamment par la pratique de la chasse (car la chasse est un bon entraînement et permet d’acquérir des connaissances utilisable en guerre) mais aussi préparer les esprits à la guerre grâce à la connaissance de l'histoire et des actions des grands hommes.

du Cid » 7.1 Boileau 7.2 Corneille 8 Postérité 9 Principales productions 9.1 Références 10 Voir aussi 10.1 Articles connexes 10.2 Liens externes Les personnages Don Rodrigue (Rodrigue) : fils de Don Diègue et amant5 de Chimène. Cid est un surnom de guerre qui ne sera rappelé qu’aux actes IV et V et uniquement par le roi et l’Infante. Le personnage s'inspire deRodrigo Díaz de Vivar. Chimène : fille de Don Gomès et maîtresse6 de don Sanche et de Don Rodrigue dont elle est aussi l’amante. Don Gomès (le

l’ennemi. Il revient victorieux de la bataille, accueilli en héros par le peuple et surnommé le Cid par les vaincus. Par ce nouveau statut, il obtient le pardon et les faveurs du roi. Cependant Chimène ne pardonne pas et réclame toujours justice pour l’assassinat de son père. Le roi accorde un duel entre don Sanche et Rodrigue sous condition que Chimène épouse le vainqueur. Rodrigue sortira vainqueur. Analyse des personnages principaux Don Diègue : Gentilhomme de soixante ans, pour cette époque

personnage méchant, cruel et solitaire, ce n'est pas sans raison. A toutes les époques ou presque, le loup a été considéré comme un animal nuisible et malfaisant mais c’est néanmoins au Moyen Age qu’on le prend plus particulièrement en grippe : froid, guerres, disette, épidémies et misère déciment les populations. Alléchés par les cadavres laissés sans sépulture, les loups se mettent à proliférer. Ils s’approchent des habitations et les chroniques rapportant des attaques par des loups abondent. Bien que

et laisse 5 tomber ces mots : « Le neveu de Charles est vaincu. Et cette épée, je la ramènerai en Arabie! » 6 Mais comme il la tirait, le comte reprit un peu sa connaissance. 7 […] 171 Roland sent bien qu’il va perdre la vie : il s’efforce de se tenir debout du mieux qu’il peut. Sur 8 son visage la couleur livide. Devant lui se trouve une pierre grise : de douleur et de colère il y 9 frappe dix coups. L’acier crisse1 mais ne se brise ni ne s’ébrèche. « Ah, dit le comte, sainte 10 Marie, venez