Heckscher Ohlin Samuelson

de l'internationalisation Mercantilism: 16th. Century economic philosophy (protectionnisme, patriotisme économique) Absolute advantage: Adam Smith, 1776 (main invisible) Comparative advantage: David Ricardo, 1817 Factor endowment theory: Heckscher-Ohlin-Samuelson (HOS early 20th cent), Vanek (HOV 1968) International PLC: Raymond Vernon, 1960s The Internationalisation of the Firm: various Les classiques Smith Chaque pays doit se spécialiser et exporter le produit qui lui coûte le moins cher que les

rares, la division international du travail permet l'allocation optimale des ressources (Pareto). L'essentiel de l'actualité de la pensée de Ricardo est dans cette théorie de l'avantage comparatif avec des prolongement contemporains avec Heckscher Ohlin et Samuelson (HOS), qui ont affiné la théorie de Ricardo ils raisonnent sur la dotation factorielle « dans l'échange international en régime de libre-échange les pays ont intérêt à se spécialiser dans les productions qui utilisent en plus grande proportion

de commerce extérieur. Ce qui permettait de conclure que tout pays bénéficie d'avantages comparatifs et donc peut tirer des gains à l'échange. Plus tard, dans les années trente, en soulignant le rôle clé des proportions de facteurs, Eli HECKSCHER et Bertil OHLIN ont établi une théorie qui donnait une explication des différences de coûts entre les pays et donc de la configuration des échanges internationaux. De façon succincte, un pays exporte les produits qui utilisent de manière intensive les facteurs

traditionnelles proposent des explications de l’échange international qui reposent soit sur les différences de technologies (Avantages absolu / comparatif), soit sur les différences en dotation de facteurs de production (théorème d’Heckscher-Ohlin-Samuelson). La première explication du commerce international est due à Smith (1765) qui fonde les échanges internationaux sur des avantages absolus de coût. D’une manière générale, l’avantage absolu consiste à comparer les coûts de production des biens

s’organisaient entre Empire et Colonies (Produits manufacturés et matières premières respectivement). RICARDO à Théorie de l’avantage comparatif: un pays va se spécialisé dans les productions où il dispose d’un avantage comparatif. HOS (3 auteurs : Heckscher-Ohlin-Samuelson) à Théorie des dotations factorielles : 1 pays se spécialise dans la production ou le facteur travail, capital ou ressources naturelles est le plus fort chez lui. Intensité capitaliste : beaucoup de capital dans la production du produit

les même profits. De plus, cette théorie ne permet pas d’expliquer les échanges croisés d produits similaires c’est-à-dire que les échanges intra branches ne devraient pas exister. 2) La théorie des dotations factorielles : la théorie Heckscher-Ohlin-Samuelson (HOS) Ce modèle constituera l’explication dominante des échanges internationaux jusqu’ après la SGM. Les différences de dotation en facteur de production sont à l’origine des avantages comparatifs. Ce modèle où il y’a deux pays (A&B)

sur le pays B dans la production d’un bien donné si le pays A produit une unité du bien considéré avec moins d’heures de travail que le pays B • Avantage relatif ou comparatif : Repris et approfondis par les théoriciens néoclassiques (Heckscher, Ohlin et Samuelson), la théorie des avantages comparatifs montre que chaque pays a intérêt à se spécialiser dans la production pour laquelle il est relativement le plus efficace. Les coûts de production étant mesurés en heures de travail, ce sont donc les

peut, néanmoins, se spécialiser dans la production pour laquelle son désavantage est moins grand. II) Les théories modernes des échanges internationaux : 1) la dotation de facteurs de production (H.O.S) : Selon Heckscher, Ohlin et Samuelson, chaque pays a intérêt à se spécialiser dans la production qui demande le facteur dont il dispose en abondance et à importer les produits utilisant le facteur de production qu’il possède en quantité moindre. 2) Le cycle du produit

complétée par la théorie des proportions de facteurs développé par Eli HECKSCHER, Bertil OHLIN et Paul SAMUELSON. Ces théories ont été relativisées par des modèles plus récents (mais dont les fondements sont parfois aussi anciens), que l’on qualifie de modèle du commerce international en concurrence imparfaite et qui conduisent parfois à nuancer les conclusions habituelles, favorables au libre-échange, des théories ricardienne et Heckscher-ohlinienne. Le tableau récapitulatif laisse « à l’extérieur » des

années 1970 alors que le keynésianisme montrait ces limites que le libre-échange a fini par triompher. On avait convenu que plutôt que faire face à la crise en se repliant, on pouvait y faire face en échangeant. Le Théorème HOS (Heckscher-Ohlin-Samuelson) : théorème libéral qui énonce le libre-échange comme un facteur d’égalisation et de la rémunération des facteurs de production. Ce modèle se fonde sur la notion d’avantages comparatifs  ; la spécialisation