Humanité

veut créer l’auteur : Marie, la jeune dactylo, qui le trouve « bizarre », et désire l’épouser ; Raymond, le voisin, un entremetteur plutôt fruste ; le vieux Salamano, qui ne cesse de battre son chien, et se désole de sa perte. Ils constituent une humanité médiocre, dans laquelle Meursault pourrait bien trouver sa place. Mais Meursault est l’étranger. Étranger au monde. Ce modeste employé de bureau paraît insensible et passif. Il semble vivre dans l’instant. Pour lui, l’amour ne veut

pourraient nous transmettre leurs savoirs que nous nous transmettront à nos enfants mais nous préférons se moquer d’eux car ils sont trop vieux et plus à >. Sommes-nous vraiment des humains ? Car le mot > n’est-il pas cousin de celui de >, et quelle humanité il y a-t-il dans ce genre de comportements ? Si nous regardions dans un dictionnaire le mot >, il est définie comme étant > Et non ce qui ce qui est mauvais d’une personne. La différence est visible chez tout

des contrats semblent faire l’accord du plus grand nombre ; c’est un principe qui, pense-t-on, pénètre jusque dans les repaires de brigands, et dans les bandes des plus grands malfaiteurs ; et ceux qui sont allés le plus loin dans l’abandon de leur humanité respectent la fidélité et la justice entre eux. Je reconnais que les hors-la-loi eux-mêmes les respectent entre eux ; mais ces règles ne sont pas respectées comme des Lois de Nature innées : elles sont appliquées comme des règles utiles dans leur

Primo Levi, prisonnier de Moniwitz est déshumanisé. Le prisonnier devient déshumanisé en autre par sa perte de liberté. Il perd sa liberté par le contrôle absolu des S.S qui ont le pourvoir de vie ou de mort sur les prisonniers. Il perd aussi son humanité par la perte de son identité. Son identité est perdu puisque le détenu dès son entré dans le camp sera nommé par un numéro. Conclusion Dans l’extrait de Primo, témoin de la deuxième vague, il montre que les prisonniers sont déshumanisés. Il le

franchir. Pourtant, l'unité du genre humain est un fait éternel sur le plan biologique. On ne peut passer du constat qu'il existe des peaux de couleur différentes à celui qu'il y a en quelque sorte des espèces elles aussi différentes au sein d'une humanité classifiée, divisée, organisée au nom de fantasmes racistes ou xénophobes.

peut aussi être récupéré de manière un peu abusive, et c'est d'ailleurs ce qui a longtemps été cru. S'il y a des natures humaines différentes (ou des humanités différentes), alors il doit y avoir des rôles différents pour chacun. Par exemple pour la noblesse et pour les paysans. D'emblée (de manière innée), il n'appartiennent pas à la même humanité parce qu'ils ont des natures différentes. Tout cela tient comme je t'ai dit par un présupposé théologique ou métaphysique. (une justification supérieure)

Las Casas devient de plus en plus émotif , il ne se maitrise pas , « colère,contrôle,point serré » Il cherche a restitué au indien toute leurs humanité . Il cherche a idéalisé les indiens en qui il chercherai un bon modèle selon le mythe du bon sauvage . Ce sont des êtres humains pleinement sensible ayant de l'amour et de la crainte ayant un meilleur humanité La thèse de Las Casas devient plus complexe à travers la métaphore , comparaison du miroir . Le débat se poursuit et l'accusé n'est plus les

ferme les yeux, je me mords les doigts : peine perdue, le reste est silence. » Il nous fait part de son intimité et de son émotion, face à sa vie perdue. En définitive, nous faisons clairement face à un témoignage d’une grande humanité, une humanité retrouvée par le biais d’une rencontre exceptionnelle, laissant place à un voyage, certes éphémère mais qui permet aux deux protagonistes de résister contre le camp, et les supplices qui leur sont infligés… A travers les souvenirs du poème

l’emprise de celui-ci. Il a choisi le camp adverse pour montrer sa révolte. La guerre représente pour lui une aubaine car elle lui donne un statut, voire une identité. Il a gagné en indépendance et s’est affirmé. Mais la guerre lui enlève toute humanité et il n’hésite pas à tirer sur des innocents. C’est un jeu pour lui. Il ne semble pas savoir ce qu’il fait. Gorgio vit seul dans un appartement presque entièrement démoli par le conflit, dans un quartier désert. Il lit beaucoup de livres et qui

Sujet : Lamartine définit ainsi la poésie (1834) : « C’est la langue complète par excellence, qui saisit l’homme par son humanité tout entière, idée pour l’esprit, sentiment pour l’âme, image pour l’imagination, musique pour l’oreille » Commentez cette définition à la lumière de vos connaissances des œuvres poétiques. corrigé entièrement rédigé L’œuvre poétique, à l’instar de toute œuvre littéraire digne de ce nom, vise un but précis : la parfaite symbiose entre l’éthique et l’esthétique