John Locke

Sujet 3 : Texte de John Locke tiré du Second traité du gouvernement civil L'auteur, dans ce texte, s'interroge sur le fondement de la propriété fait de simplement posséder ou de se l'attribuer par une activité. D'après lui, c'est le travail qui fonde la propriété des choses. Le fait de travailler pour acquérir une chose serait la manière la plus évidente pour se l'approprier, et personne ne pourrait le nier. C'est selon lui, en transformant les produits que la nature met à sa disposition que

angleterre, par John Locke que l'on voit les premices de la séparation des pouvoirs. Par la suite, Montesquieu etant attaché au systeme constitutinnel anglo-saxon décide d'élaborer une séparation des pouvoirs similaire à la théorie de John Locke pour la France. Desormais, en France, il est indiqué dans la constitution du 4 novembre 1848, à l'article 19, que “La séparation des pouvoirs est la première condition d'un gourvernement libre”. Quels sont les objectifs de Montesquieu et de Locke à travers leurs

despotisme, permettrait aux différents pouvoirs de s’équilibrer mutuellement et ainsi garantirait la liberté individuelle des citoyens. L’objectif étant: un organe est égale à une fonction. Ce principe est né en Grande-Bretagne au XVIIème siècle avec John Locke, avant d’être repris par la suite par Montesquieu. On retrouve aussi cette limitation des pouvoirs dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen et à l’article 16 de la Constitution française mais, de manière utopique. C’est avant tout

théorie, ces pouvoirs doivent être détenus par des organes distincts les uns des autres (séparation horizontale) afin d’assurer la liberté et d’éviter à tout prix le despotisme. MONTESQIEU, avec De l’esprit des Lois et par la reprise des travaux de John LOCKE (1632-17014), a ainsi profondément influencé les esprits constituants des siècles suivants. On distingue donc principalement dans la pratique deux types de séparation des pouvoirs : la séparation stricte des pouvoirs (chacun des titulaires des deux

celle-ci entre en contradiction avec des lois non écrient de la morale. John Locke (17ème siècle) Second traité d’un gouvernement civil Le droit de révolution est différent du droit de rébellion arbitraire. Il est en cas de non respect du droit naturel. John Locke a théorisé le premier le droit de résistance d’un peuple soumis à des lois injustes c'est-à-dire contraire à ce qu’il appelle le droit naturel. Celons Locke, chaque homme grâce à la raison, à conscience d’avoir des droits naturels

des Stuart qui cherchent à asseoir leur pouvoir. L'État assure la paix mais l'homme est désarmé contre l'État. John Locke appartient au parti contraire, celui des bourgeois, hostiles à l'absolutisme du souverain. Il expose un état naturel dans lequel les hommes ne sont pas en conflit mais au contraire sont soumis à une loi commune qui commande le respect de la propriété. L'homme, selon Locke, détient la propriété de lui-même mais encore de ce qu'il produit grâce à son travail, avant tout contrat social

Dominic Riverin Gaudreau Devoir 1- Le contrat social 1) Selon John Locke, les hommes dans l’état de nature ne peuvent pas jouir complètement de leur liberté qui leur procure le contrôle absolue sur eux-mêmes et leurs biens. Ceci s’explique par le fait que dans l’état de nature, il n’y a aucune garantie de sécurité. Ils sont toujours menacés par des hommes encore plus forts qui n’ont aucune notion de l’équité. En d’autres mots, la loi de la jungle ou la loi du plus fort règne dans l’état de

l’individu avait des droits basés sur d’autres fondements que la seule tradition. On parle alors d’avènement du sujet pensant, en tant que l’individu peut décider par son raisonnement propre et non plus sous le seul joug des us et coutumes. Ainsi, John Locke rédigea ses deux Traités du gouvernement civil dans lequel il avance que le droit de propriété n’est pas familial, mais totalement individuel et retiré du travail consacré au terrain concerné, ainsi que de sa protection face à autrui. Une fois l’idée

l’argent » sans le consentement du Parlement. C’est donc une véritable révolution qui s’accompagne et est suivie de nombreuses réflexions sur les libertés. Parmi elle, celles du philosophe anglais John Locke (1632- 1704). b) La pensée de John Locke : les droits naturels inaliénables • Locke a écrit deux ouvrages majeurs : la « Lettre sur la tolérance » (1689 : donc contemporaine de la Glorieuse Révolution) et les « Deux traités du gouvernement civil » (1690) dans lesquelles il présente

Les Lumières sont un mouvement culturel et philosophique qui émerge dans la seconde moitié du XVIIe siècle sous l'impulsion de philosophes comme Spinoza, Locke, Bayle, Newton et Voltaire, avant de se développer dans toute l'Europe, et notamment en France, au XVIIIe siècle. Par extension, on a donné à cette période le nom de siècle des Lumières. Par leur engagement contre les oppressions religieuses et politiques, les membres de ce mouvement, qui se voyaient comme une élite avancée œuvrant pour