Juron

colérique est accentué par ses cries qui imitent le son d’une cloche ,c’est lui qui devient la cloche (source de comique ). Argan se montre surtout agressif et violent envers son personnel. La façon dont il interpelle Toinette est irrespectueuse (jurons et insultes). Il se pose en victime seul contre tous ,opposition des pronoms entre le singulier qui désigne Argan ´´ je ´´ et le pluriel qui désigne les autres . Sa solitude est mise en avant . Il n’y a personne, joue sur la double énonciation

que : liberté, respect de l’autre et de soi-même, tolérance Le jour de notre initiation, on nous dévoile   qu’on n’enseigne pas à quelqu’un, on se contente de lui montrer « un chemin », mais qu’elle sera « seule » à arpenter ; Ce jour-là, nous Jurons «  de voir notre gorge tranchée » si nous ne respectons pas les engagements pris solennellement Agir selon les Serments  prononcés, c’est notre Responsabilité de maçonne Libre ; Respecter les Engagements pris, un «  Devoir » le Devoir est

l'habit d'emprunt ce qui rappelle au public que Dorante est un valet et un mauvais comédien. ( Google ) Dès le début, Arlequin considère l'intrigue comme un jeu et n'est pas déçu d'aimer une aristocrate qui se révèle être une soubrette: II, 5 " jurons-nous de nous aimer toujours, en dépit de toutes les fautes d'orthographe ". Le public sait depuis le début qu'Arlequin ne représente aucun danger pour la famille de Silvia. Ses manières ne menacent en rien et ne lui permettront pas une élévation sociale

instant, il vit un couple déboucher au coin de la rue, à deux pas d’eux. La vieille dame les apostropha aussitôt. - Il veut me voler mon sac! Empêchez-le! Vite! La fuite … Il ne restait plus qu’à fuir. Pestant, crachant tous les jurons de son vocabulaire, il prit ses jambes à son cou et s’enfonça dans une petite rue transversale. Là, il regarda furtivement par-dessus son épaule. Personne … Bredouille, il revenait bredouille. Lui, dont le tableau de chasse était si richement garni

l’intermédiaire de son héroïne en jouant sur les émotions du lecteur, inquiet des risques que prend la jeune femme et impressionné devant son courage et sa maîtrise de soi. -Forme théâtrale : dévalorise le colonel, dégrade son image par le biais des jurons et insultes (nous rappelle un personnage de Molière : le vieux barbon qui tempête avec beaucoup de bruit mais n’a aucune autorité sur sa femme et se voit ridiculisé). II-L’illustration du mariage traditionnel a) Un rapport de domination

laissera arrêter et ne s'opposera pas à la saisie de ses biens. - Il ne laissera quiconque s'emparer d'un bien qui lui aura été confié et il le défendra au prix de sa vie mais sans jamais rendre violence pour violence. - Pas de représailles, pas de jurons ni de malédictions. - Il n'insultera pas ses adversaires, ne se servira d'aucun des cris et d'aucunes formules contraires à l'esprit de l'ahimsa. - Il ne saluera pas l'Union Jack mais il ne l'insultera pas non plus, ni les personnages officiels

le début et la fin du texte pour se rendre compte de l'évolution du personnage. • Au début, le personnel découvre la table, renvoie à l'expression d'une surprise naïve émerveillée : − On peut le voir grâce à un point d'exclamation Ligne 2 + un juron : « malepeste », petit côté familier et spontanée de Jacob. − Les adjectifs choisis pour caractériser le repas sont mélioratifs: "succulent" ligne 2,"d'une délicatesse d'assaisonnement" ligne 8. − Langage hyperbolique pour exprimer l’émerveillement

à la fuite d’Agnès avec Horace. On relève dans ses répliques toutes les caractéristiques du registre polémique, à commencer par un lexique péjoratif, notamment les nombreuses insultes envers Agnès (« friponne », « coquine », « impertinente »), les jurons (« Tudieu ! « , « diantre ! », « Peste ! »), et jusqu’à une comparaison animale qui fait d’elle l’image du démon : « petit serpent que j’ai réchauffé dans mon sein ». Cela est renforcé par la modalité exclamative, avec les interjections, telles le

et regardent passer avec des hochements de tête le corbillard triomphal. La circulation est interrompue par la file interminable des voitures de deuil, presque toutes vides ; les omnibus, les fiacres, s’amassent dans les carrefours ; on entend les jurons des cochers et les claquements des fouets. Et, pendant ce temps, la comtesse de Verteuil, restée chez elle, s’est enfermée dans son appartement, en faisant dire que les larmes l’ont brisée. Étendue sur une chaise longue, jouant avec le gland de sa

la Loi, la Liberté ! Grava sur ta vieille bannière : Le Roi, la Loi, la Liberté ! Le Roi, la Loi, la Liberté ! Le Roi, la Loi, la Liberté ! O Belgique, ô mère chérie, A toi nos cœurs, à toi nos bras ! A toi notre sang, ô Patrie, Nous le jurons tous, tu vivras ! Tu vivras toujours grande et belle Et ton invincible unité Aura pour devise immortelle : Le Roi, la Loi, la Liberté ! Aura pour devise immortelle : Le Roi, la Loi, la Liberté ! Le Roi, la Loi, la Liberté ! Le Roi, la Loi