Juron

plaint de lui et lui dit « ce n’est que le plaisir de faire du mal ». 3. De plus, contrairement à d’autres valets de Marivaux qui ont un niveau de langue moins soutenu ou des valets de Molière qui s’expriment avec des jurons, Dubois parle très bien pour un valet. On note «  Malpeste ! »à l’acte I, scène 14 mais c’est un excellent conteur comme lors de son aveu de l’amour de Dorante qui est préparé et progressif et aussi on le voit grâce à des maximes dignes des moralistes

pipes montait dans la clarté aveuglante du gaz, où elle roulait comme une poussière, noyant les consommateurs d'une buée, lentement épaissie ; et, de ce nuage, un vacarme sortait, assourdissant et confus, des voix cassées, des chocs de verre, des jurons et des coups de poing semblables à des détonations. Aussi Gervaise avait-elle pris sa figure en coin de rue, car une pareille vue n'est pas drôle pour une femme, surtout quand elle n'en a pas l'habitude ; elle étouffait, les yeux brûlés, la tête déjà

allons » ; admiration de l’avare devant la réussite de son fils qui a épouser une femme riche « Le père poussa un léger sifflement d'admiration et ne put que murmurer : " Bougre ! " tant il fut ému par la somme. » ; sa vulgarité se traduit pas les jurons « Bougre ! » et le « sifflement » ; il a un discours indécent « lâchait le robinet de ses plaisanteries de choix, celles qu'il réservait pour les grandes fêtes, histoires grivoises et malpropres arrivées à ses amis, affirmait-il » ➢ repas

tutoiement ≠ du vouvoiemnt du jeune homme qui s'explique par cette politesse excessive « je vois que tu es un étranger » l.17 ; simplicité de ton « je fis encore quelques mauvais compliments » l.24-25. Calme du Quaker ≠ énervement du jeune homme, jurons : « morbleu » l.31. « outré » l.35 # « bénin » l.37. 2.3/ Le recours à la périphrase, figure de style qui rythme le texte, permet de véhiculer l'ronie. Elles sont toutes dévalorisantes pour les moeurs et habitudes du français. l.16-17 « qui fait pour

prose n’est même pas finie, la syntaxe est elliptique (= pas de principale) Il utilise des expressions imagées (« volée de bois vert » l 41 et « son front fertilisé » l 60) il utilise la verve populaire du valet que l’on retrouve également dans les jurons l 33 « Bon Dieu » ou dans les interjections « Zeste » « crac » et du langage courant et familier « Friponne » L’art de la répartie chez Suzanne : elle n’est pas seulement a faire valoir, elle use de nombreuses ressources du langage, utilise la parole

DE COUBERTIN Pierre «  L’esprit des olympiades ne réside pas dans le fait de vaincre mais dans celui de participer.  »  DE COUBERTIN Pierre «  L’essentiel n’est pas d’avoir vaincu, mais de s’être bien battu.» DE COUBERTIN Pierre ｫ  Nous jurons que nous nous pr駸entons aux Jeux Olympiques en concurrents loyaux, respectueux des r鑒lements qui les r馮issent et d駸ireux d'y participer dans un esprit chevaleresque pour l'honneur de nos pays et la gloire du sport.  ｻ DE COUBERTIN Pierre (lors

méchant : association des mots désignant les insultes et des mots faisant référence au christianisme : « qui changea les injures en véritable messe de grands mots où ne manquaient que le nom du Père et celui du Fils » (p109) « entre deux chapelets de jurons » (p109) C'est donc un personnage qui n'est pas sympathique. Violent, immoral, dédaigneux. => plutôt que de nous dire en une phrase que ce personnage n'est pas fréquentable, le narrateur préfère enrichir une scène qui nous détourne temporairement

seule idée en tête - tuer François-Ferdinand, le prétendant au trône, et le symbole de cette occupation étrangère des terres slaves. Ce récit commence par le bruit strident des tirs et l'odeur de la poudre. Par le sang impérial, les cris et les jurons. Quelques balles tirées à bout portant viennent, par un violent ricochet, d’inviter la Grande Histoire dans ce petit pays. Et dans le monde entier. Deux coups de revolver qui redessineront l’Europe, embraseront le monde, et inscriront la belle Sarajevo

positif, on est dans la laideur et dans la bêtise: Père Ubu est une ordure. Invention poétique : ajouter un R dans MERDRE, ça le stylise ce n'est plus juste un gros mot, et tout la pièce va tourner autour de ça, invention de la langue surtout pour les jurons. Dimension ludique: rappel le langage français du 16e qui n'est pas encore fixé et donc malléable. Il reprend le genre de la farce : le langage, le grossissement du trait, rejet de la psychologie, aspect sommaire des mobiles et des enjeux. Il prend

Le comique de caractère est renforcé dans toute cette scène par le parallélisme parfait dans le ridicule ou l’insulte : en fait rien ne les différencie l’un l’autre. 4. Comique de langage : Présent dans toute la pièce, il est toujours là : les jurons et insultes sont innombrables, vous trouverez les exemples. Il y a de plus un décalage entre le niveau de langue attend de la part d’un ange et celui de la mère Ubu, même son mari est surpris « les anges ne jurent pas ! » (36). Le plus drôle étant