La Camp D Auschwitz Birkenau

(Juifs, coutez-moi je vois un feu Quelles flammes Quel brasier ), et ses cris taient tels que ctait comme si la folie allait semparer galement de nous, et quil fallut lui mettre un ballon dans la bouche. Ils arrivrent une gare Auschwitz, qui tait le terminus, un camp de travail o il y aurait de bonnes conditions, deux hommes du train, envoys pour chercher de leau, revinrent en effet avec des nouvelles rassurantes les familles ne seraient pas disloques seuls les jeunes iraient travailler dans

Beaune-la Rolande.[ camp d’où Sarah s’évadera avec Rachel] Elle ira également à Aschères-le Marché page 260, petit village entre Orléans et Pithiviers, lieu où se trouvait le camp jumeau de Beaune-la-Rolande où elle retrouvera Gaspard Dufaure, le fils du couple qui sauva puis éleva Sarah. Remarque : à Beaune-la-Rolande, un panneau commémoratif indique : « A la mémoire des milliers d’enfants, de femmes, d’hommes Juifs, qui de mai 1941 à août 1943 passèrent par cette gare et le camp d’internement de

Beaune-la Rolande.[ camp d’où Sarah s’évadera avec Rachel] Elle ira également à Aschères-le Marché page 260, petit village entre Orléans et Pithiviers, lieu où se trouvait le camp jumeau de Beaune-la-Rolande où elle retrouvera Gaspard Dufaure, le fils du couple qui sauva puis éleva Sarah. Remarque : à Beaune-la-Rolande, un panneau commémoratif indique : «  A la mémoire des milliers d’enfants, de femmes, d’hommes Juifs, qui de mai 1941 à août 1943 passèrent par cette gare et le camp d’internement de

vois un feu ! Quelles flammes ! Quel brasier !»), et ses cris étaient tels que «c’était comme si la folie allait s’emparer également de nous», et qu’il fallut lui mettre «un baîllon dans la bouche.» Ils arrivèrent à une gare : «Auschwitz», qui était «le terminus», «un camp de travail» où il y aurait «de bonnes conditions», deux hommes du train, envoyés pour chercher de l'eau, revinrent en effet avec des nouvelles rassurantes : les familles ne seraient pas disloquées ; seuls les jeunes iraient travailler

vois un feu ! Quelles flammes ! Quel brasier !»), et ses cris étaient tels que «c’était comme si la folie allait s’emparer également de nous», et qu’il fallut lui mettre «un baîllon dans la bouche.» Ils arrivèrent à une gare : «Auschwitz», qui était «le terminus», «un camp de travail» où il y aurait «de bonnes conditions», deux hommes du train, envoyés pour chercher de l'eau, revinrent en effet avec des nouvelles rassurantes : les familles ne seraient pas disloquées ; seuls les jeunes iraient travailler

un feu ! Quelles flammes ! Quel brasier !»), et ses cris étaient tels que «c’était comme si la folie allait s’emparer également de nous», et qu’il fallut lui mettre «un baîllon dans la bouche.» Ils arrivèrent à une gare : «Auschwitz», qui était «le terminus», «un camp de travail» où il y aurait «de bonnes conditions», deux hommes du train, envoyés pour chercher de l'eau, revinrent en effet avec des nouvelles rassurantes : les familles ne seraient pas disloquées ; seuls les jeunes iraient travailler

; doc. 6 p. 103 Questionnement: -Carte p. 100-101: Qu'est-ce qu'un camp de concentration? Un camp d'extermination? Où sont-ils situés? -Doc. 6 p. 103: Quelle est la nature du document? Que représente cette photographie? Qu'est-ce qu'un résistant? (cf définition). -Dossier documentaire p. 104-105: Lecture du paragraphe d'introduction. Doc n°6 p. 105: Qui sont les SS? Qui exterminent-ils dès l'arrivée dans le camp? Comment procèdent-ils à l'extermination? Déporter: cf définition p.

avait aussi la famine, les médecins ou hôpitaux pratiquement inexistant,… On pouvait reconnaître les détenus grâce aux triangles conçus sur leurs vêtements : Les juifs étaient aussi déportés vers d’autres camps d’extermination comme Auschwitz-Birkenau, le camp de la mort. Les voyages étaient très éprouvant car les cadavres s’accumulent dans les wagons, ils sont entassés dans le noir (aveuglés par le soleil), sans eau et sans nourriture. Les déportés sont accueillis à coup de fouet, traités comme

folie allait s’emparer également de nous », et qu’il fallut lui mettre « un baîllon dans la bouche .» Ils arrivèrent à une gare : « Auschwitz », qui était « le terminus », « un camp de travail » où il y aurait « de bonnes conditions », deux hommes du train, envoyés pour chercher de l'eau, revinrent en effet avec des nouvelles rassurantes : les familles

41 : interdiction 4 de l’émigration des Juifs). Dc le piège se referme sur des millions d’êtres (Citation du cinéaste Wilder : « Il y avait deux types de juifs en Allemagne : « Les pessimistes se sont retrouvés à Hollywood, les optimistes à Auschwitz. ») 3. Le regroupement des Juifs. 1. Dans des maisons juives en Allemagne 1. dans des camps de transit pr Juifs (Drancy) ou Tsiganes (Montreuil-Belay) 2. Images ghetto de Varsovie 3. GHETTOS : quartiers fermés, comme à Varsovie (Film Le pianiste