La Diversité Et Le Caractère Cumulatif Des Inégalités En France

contraintes. Il ne faudra surtout pas faire une première partie sur les atouts et une seconde partie sur les contraintes. ̈ Délimiter le sujet dans l’espace – Dans l’exemple cité, il faut définir le territoire français. Faut-il s’intéresser à la France métropolitaine ou y inclure les départements de l’Outre-mer ? ̈ Quel problème géographique pose le sujet ? – Ici, où sont les contraintes ? Pourquoi sont-elles à cet endroit ? Et comment les hommes aménagent leur territoire en fonction de ces

sociétés modernes qui sont composées d’individus nettement différenciés et dépendants les uns des autres puisqu’ils sont aussi complémentaires. Dans ce type de société la justice vise davantage à donner réparation qu’à punir. Le droit perd de son caractère répressif et le recours à la punition est de moins en moins nécessaire. Ainsi pour Durkheim, le passage de la société traditionnelle à la société moderne correspond au développement de la division sociale du travail et à l’émergence de l’individualisme

culturelle sur l’attitude envers les sites Web ainsi que le rôle modérateur de la motivation de la visite et de l’expérience de l’internaute. Pour ce faire, deux études empiriques simultanées ont été menées dans deux contextes culturels différents : La France et la Tunisie. Les résultats montrent que l’orientation vers le court terme et le contrôle de l’incertitude permettent d’expliquer l’attitude à l’égard des sites Web. En outre, l’objectif utilitaire et l’expertise de l’internaute modèrent l’effet

production industrielle, mais aussi les catastrophes technologiques telles que l’explosion d’un réacteur dans la centrale nucléaire de Tchernobyl en 1986, les marées noires… ainsi que la destruction progressive de la couche d’ozone. Aussi, les inégalités au sein des pays et entre eux se sont accentuées. Le développement productiviste a permis une croissance des richesses, mais celle-ci est inégalement répartie. Le mode du développement industriel qu’ont connues les sociétés industrielles et que

Paris (75) Paris (75) Stéphanie Fraisse-D’Olimpio Philippe Roman Lycée français de Vienne, Université de Versailles Vienne (Autriche) Saint-Quentin-en-Yvelines (78) Frédérique Giraud Guillaume Vallet ENS-LSH, Université Pierre Mendès-France, Lyon (69) Grenoble (38) Sous la direction de Stéphanie Fraisse-D’Olimpio Éric Le Floch Lycée Alfred de Vigny, Loches (37) François Le Morvan Université de Rouen, Rouen (76) Igor Martinache Université de Paris-Est Créteil, © Éditions Belin

population. Les inégalités se réduisent sans que l’égalité parfaite désirée se réalise. B : Les risques de la démocratie La recherche d’égalité dans les sociétés démocratiques peut nuire à la liberté, en débouchant soit sur la tyrannie de la majorité, soit sur le despotisme démocratique. II) Actualité et prolongement de l’analyse de Tocqueville A : Quel intérêt pour la politique aujourd’hui ? La montée de l’abstentionnisme aux élections ces dernières années en France peut faire ressurgir

conduite pour respecter les autres et pour se respecter soi-même. Il ne faut pas confondre la liberté et l’anarchie. - l’esprit de tolérance et d’ouverture : lorsque l’on traite des libertés fondamentales, on est obligatoirement confronté à la diversité des points de vue. Il y a une nécessité de tous les respecter. Les droits et libertés sont les produits d’histoires, ce sont les fruits de sédimentation historique. Il n’y a pas de place pour le sectarisme dans l’étude des libertés. Il existe des

et sociale car ils ne prennent en compte qu’un faible nombre de critères et parce qu’ils représentent une moyenne : les inégalités peuvent être très fortes au sein même des pays. (=> Chapitre 1) Le développement et la croissance ne sont pas des processus linéaires. La croissance est cyclique et le développement connaît des phases d’accélération et de décélération ; ainsi en France, la croissance a été forte durant la période des Trente glorieuses, ce qui a favorisé le développement alors qu’elle s’est

15 Juillet 2002 version révisée mai 2003 n° 2003 - 08 Les institutions dans la théorie de la régulation Robert BOYER CEPREMAP-ENS, CNRS, EHESS 48, Boulevard Jourdan 75014 PARIS, France Tél. : (33-1) 43 13 62 56 — Fax : (33-1) 43 13 62 59 e-mail : robert.boyer@cepremap.cnrs.fr http : //www.cepremap.ens.fr/~boyer/ iii Les institutions dans la théorie de la régulation Robert BOYER Résumé Pour la théorie de la régulation les formes institutionnelles correspondent à la codification d’un ou plusieurs

principes du Taylorisme 3. Les principes du Fordisme C. Evolution de la société capitaliste 1. La constitution de grands groupes industriels 2. L'évolution du concept de propriété 3. La domination des économies capitalistes II. LA DIVERSITE DU CAPITALISME 4. La diversité du capitalisme mondial II. LE MARCHE A. Les conditions d’existence du marché 1. Les droits de propriété 2. La théorie de la valeur 3. La loi de l’offre et la demande 4. La monnaie B. Les conditions d’efficience du marché 1. La concurrence