La Justice Peut Elle Etre Inégalitaire

que la justice est d'abord une exigence, et même une exigence d'égalité : c'est d'abord quand un partage, un traitement ou une reconnaissance sont inégalitaires, que nous crions à l'injustice. La justice devrait donc se définir par l'égalité, symbolisée par l'équilibre de la balance. Mais qu'est-ce qu'une égalité juste ? Suffit-il d'attribuer des parts égales à chacun ? 1. La justice se confond-elle avec la stricte égalité ? • Aristote. distingue la justice distributive et la justice corrective

LA DISCRIMINATION TEXTE 1 DISCRIMINATION ET EXCLUSION La discrimination, en tant que différenciation entre individus ou groupes d'après des critères particuliers, induit un traitement inégalitaire des personnes, renforcé par les coutumes, voire par les lois d'une société donnée. Le terme « discrimination » est marqué par une connotation négative dans les sociétés démocratiques, qui mettent le principe d'égalité au centre de leurs valeurs

injustices. Problématique : Est-ce que certaines inégalités sont justes ? Si oui, comment le justifier ? I) Par définition, une inégalité est injuste. II) Cependant, certaines conceptions de la justice et de la société justifient des inégalités. I) Les inégalités sont révoltantes, on ne peut les rendre juste. Malgré l’égalité des droits que prône la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, rien n’empêche l’exclusion, la précarité et la misère de nos sociétés. Le retour

droit qui s’applique à l’Etat au sens très large, au démembrement de l’Etat c'est-à-dire collectivités locales par exemple, et au regroupement d’Etat comme les Organisations Internationales (Nations Unis, OMC…). C’est le droit de l’administration, on peut distinguer administration privé et publique. La première, c’es l’administration des personnes privés, pour l’intérêt privé. L’administration publique, c’est celle qui poursuit l’intérêt général. En France, le droit administratif s’est érigé en droit

Peuvent-elles être favorables à l’augmentation de la production de richesses (moteur du développement) ? Quelles inégalités, dans quels contextes et par quels processus, pourraient entraîner la création de richesses ? Pour répondre à ces questions, il conviendra, d’abord, de montrer comment certaines inégalités peuvent être source de croissance économique, pour ensuite, établir que la croissance, et surtout sa poursuite, impose une certaine réduction des inégalités. Les inégalités peuvent être source

comme les députés disposent de l'initiative des lois et du droit d'amendement. Les textes doivent être adoptés dans les même termes par les deux Assemblées. Les deux chambres sont aussi sur un pied d'égalité en matière de contrôle du gouvernement et peuvent toutes deux le renverser. Toutefois, le Sénat détient une place éminente. En effet, le Sénat à le pouvoir de se transformer en Cour de Justice pour juger le chef de l’État et les ministres. De plus, le Président de la République doit obtenir

enseignants-enseignés, d'apprentissage ou encore de motivation à apprendre, mais se penche du coté des fondements même de cette Ecole française. L'objectif de François Dubet n'est ni plus ni moins de remettre sur le devant de la scène les concepts de justice , méritocratie, d'égalité des chances dans le monde de l'Ecole, que cela soit d'un point de vue social ou individuel. Nous considérons qu'il est impensable de séparer dans le domaine de l'éducation la psychologie de la sociologie tout comme nous l'avons

LA JUSTICE COMME EQUITELA JUSTICE COMME EQUITE.Le simple fait que l’on cherche à coefficienter l’égalité signifie qu’il y a des égalités injustes et de justes inégalités. Comment dire qu’il y a des inégalités justes sans être suspects de justifier l’inégalité en général ? a) Justice correctrice et distributrice . Le problème de la distribution (comment donner à chacun ce qui lui revient) ne suffit pas à rendre raison du problème de la justice : nous sommes

les opinions connues, l'opinion publique, comme il l'appelle encore. Le premier paragraphe contient deux idées. La première est que l'opinion publique n'est l'opinion de personne. C'est une pensée anonyme sans sujet. Aussi, ALAIN la nommera t-il un "être fantastique", au second paragraphe. Voilà en effet une pensée qui existe, mais que nul ne "forme". Aucun individu n'en est l'auteur; pas davantage un groupe d'individus. La seconde idée vise à expliquer cet état de choses. Personne n'ose émettre

exemple, un roi, doit être suivie en tant qu’elle régule les rapports entre les individus particuliers vivant dans une société. Mais si l’on suppose qu’il est possible de s’interroger sur le sens de la loi, quelle serait la justice ou la justesse de toute loi ? Dans l’histoire, il est toujours possible de discerner des lois que l’on juge injustes. Mais selon quels critères ? Qui peut juger de la justice ou non de telle loi particulière. D’autre part, si en effet, il peut exister des lois injustes