La Liberte Selon Hume

penser, par exemple, à la démarche autobiographique qui consiste à dépeindre ce moi comme Rousseau le fait dans ses Confessions. Mais est-on en mesure de circonscrire ce moi que je peux prétendre être ? Ici, vous pouvez également penser aux analyses de Hume dans le Traité de la nature humaine lorsqu’il montre que ce moi que nous prétendons saisir n’est qu’une fiction. En d’autres termes, il s’agirait de montrer que lorsqu’on dit que l’on est un moi, il est bien difficile de saisir ce que ce moi peut être

D’autre part, et à partir des acquis de la Critique de la raison pure, Kant élabore une philosophie morale profondément nouvelle qui part du concept de loi morale valable pour tout être raisonnable, universelle et nécessaire, et de son corrélat, la « liberté transcendantale ». Exposée en particulier dans la Critique de la raison pratique, l'éthique kantienne a été qualifiée de déontologique, c'est-à-dire qu'elle considère l'action en elle-même et le devoir ou obligation morale, indépendamment de toute

- Commentaire de texte sur Hume : Enquête sur l’entendement humain Ce texte de Hume est une critique de la conception a priori de la causalité. Il manifeste d’abord l’impossibilité du raisonnement a priori au niveau de l’effet isolé et ensuite au niveau de la connexion entre la cause et l’effet. Cette interdiction signifie donc l’hétérogénéité de deux domaines : celui de la connaissance et celui de la croyance. La différence et la distinction de la cause et de l’effet ne peut se faire sans l’aide

Wolff, combat le dualisme et en revient à la pure doctrine de Leibniz, suivant laquelle la force représentative et la force motrice participent l'une de l'autre et se supposent réciproquement. C'est là qu'il découvre Newton et la physique, preuve selon lui qu'une science a priori de la nature est possible (c'est-à-dire les mathématiques et la physique) [2]. Plus tard, il créditera aussi l'astronomie de nous avoir « appris bien des choses étonnantes », dont la plus importante est qu'elle nous a «

Courants de pensée généraux : – Empirisme # rationalisme : Doctrine selon laquelle toute connaissance découle de l’expérience. Voir la philosophie de Hume ou celle de Locke – Rationalisme : Théorie qui affirme que l’esprit humain possède des principes ou des connaissances a priori, indépendants de l’expérience Voir la philosophie de Descartes thomas hobbs : ecole moderne – Idéalisme : Doctrine philosophique qui nie l’existence du monde extérieur, et réduit celui-ci aux représentations de la subjectivité

suivant lequel on a jugé de la beauté. Au XVIIème siècle, les mannequins ou les modèles étaient des femmes bien en chair, signe de bonne santé. A l’époque actuelle, les modèles sont des personnes minces voire maigres. Comme quoi, les goûts évoluent selon les époques. Fondamentalement, si la beauté est la belle forme qui régale la vue elle n’a aucun rapport avec un jugement rationnel. La réflexion philosophique sur l’art commence au XVIIIème siècle et elle prend le nom d’esthétique. Elle est liée

Microsoft Word - Effets et causes de la superstition .docxEffets et causes de la superstition : l’explication sceptique de David Hume Dans un passage célèbre du Traité de la nature humaine, Hume (1711-1776) met en scène son hésitation de philosophe à poursuivre l’entreprise exigeante d’une meilleure compréhension des choses, au détriment de laquelle une pratique insouciante de la vie peut être préférable. Ne pourrions-nous simplement « vivre, parler et agir » ? Cela n’est pas possible pour

du consommateur. Que ce soit en matière de grande consommation, de fonctionnement des entreprises ou dans le domaine de l’activité propre aux métiers tels que les professions libérales. Quant à la mineure, j’ai opté pour les relations publiques. Selon moi, elles permettent d’analyser les problèmes auxquels je ferai peut être face lors de ma carrière, de trouver les solutions les plus appropriées et de les communiquer de la manière la plus adéquate possible et ce en fonction du public cible. De

de sa capacité de penser 3. le passage chez l'enfant au stade de la pensée (contemporain de l'usage linguistique de la première personne du singulier) introduit un changement décisif dans son développement. Ce qui est premier selon l'ordre des valeurs, est second selon l'ordre chronologique. A) La possession du Je est un privilège humain. Kant montre ici que posséder le Je dans sa représentation est un pouvoir. Le pronom personnel Je a ici la forme d'un substantif, et qui plus est, d'un nom

dynamique qui permet l’existence, au sens étymologique du terme : du latin existentia, s’élever de, hors de ; soit l’acte d’aller au-delà de soi-même. Bergson se pose dans une lignée qui défend la conscience en tant que condition nécessaire à la liberté. La liberté est entendue ici comme l’effort qui permet d’aller au-delà de soi, autrement dit de créer une rupture avec le quotidien établi. La conscience est conçue comme prise de conscience face à une situation inconnue : un élément perturbateur induit