La Liberté Selon Nietzsche

La liberté est-elle une absence de limites ? Est-on libre lorsque nous n’avons plus de limites ? - Qu’est-ce qu’une limite ? Ce qui nous empêche de faire ce que l’on désire ? Une limite raisonnable, imposé par soi-même afin de vivre selon des principes ? Ou alors des limites imposées par notre environnement (famille, amis, société, lois) afin de ne pas entraver la liberté d’autrui : « Ma liberté s’arrête où commence celle de l’autre » ? Les lois encadrent les hommes, afin qu’ils ne

éthique, l’État constituent la seule réalité positive et la seule satisfaction de la liberté." Hegel (1770-1831) * "Tant que l’État existe, pas de liberté ; quand régnera la liberté, il n’y aura plus d’État." Lénine (1870-1924) * "L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids. II ment froidement ; et voici le mensonge qui s’échappe de sa bouche : “Moi, l’État, je suis le peuple.”" Friedrich Nietzsche (1844-1900) * "L’État n’est que la muselière dont le but est de rendre inoffensive

effet …. » : les hommes, comme l’écrira Nietzsche plus tard, cherchent-ils réellement la vérité ou bien des affirmations plaisantes, « rassurantes », qu’ils tiennent pour vraies ? Descartes dénonce ici l’incapacité des hommes à faire bon usage de leur raison : Ils préfèrent « conjecturer » , « affirmer par divination » plutôt que de faire usage de leur raison. Spinoza, dans ses Lettres sur les spectres, écrit que les hommes préfèrent imaginer le monde selon leur désir que de chercher à le connaître

la liberté qui consisterait à satisfaire ses instincts est du déterminisme biologique et non la liberté Pour lui, la liberté consiste à agir contre l’instinct au nom d’une valeur choisie ®en particulier lorsqu’un homme est prêt à mourir pour une valeur De cette façon, il affirme qu’il est au dessus de la nature et de la mort Nietzsche reprend Hegel Hegel: seigneur est celui qui préfère la mort à être esclave Nietzsche : esclave mérite de l’être; seigneur est l’homme qui choisira la liberté à l’esclavage

remarque, se souvenant de la leçon platonicienne, qu'après avoir pris la résolution de révoquer en doute toutes les idées comportant quelque obscurité : « et tout de même qu'un esclave qui jouissait dans le sommeil d'une liberté imaginaire, lorsqu'il commence à soupçonner que sa liberté n'est qu'un songe, craint d'être réveillé, et conspire avec ses illusions agréables pour en être plus longtemps abuse, ainsi je retombe insensiblement dans mes anciennes illusions ». De même, quand Descartes, au début

un des inventeurs des douches à gaz qui selon elle ne possédait pas les capacités à agir moralement lors de son travail durant la Deuxième Guerre mondiale. Un progrès moral est donc nécessaire à l’évolution humaine pour maintenir la liberté à travers la politique. Cet extrait démontre l’importance de la vie contemplative dans la vie active qui permet le progrès : « Laisser penser les autres à notre place, c'est céder devant la peur de l'exercice de la liberté[…] Il faut être conscient et critique,

tenir le siège tant bien que mal contre les croisés du roi Sai... Suite Le mal décrit un certain type d'événements, de comportements ou d'états de fait jugés nuisibles, destructeurs ou immoraux, et sources de souffrances morales ou physiques. Selon Leibniz, il est possible de distinguer1 : le mal physique, souffrance qui affecte une créature intelligente et sensible ; le mal métaphysique, ou imperfection de la créature ; le mal moral, comme faute. Parmi les problèmes que suscite l'existence

travers cette phrase que toute œuvre d’art est belle, bien qu’elle ne représente pas nécessairement quelque chose de beau. La beauté de l’œuvre tient davantage de la façon dont l’artiste la perçoit et la reproduit que de sa beauté réelle. Selon Nietzsche, « l'art doit surtout et avant tout embellir la vie ». Il rejoint dans ce sens la philosophie de Kant, qui décrit l’art comme une belle représentation de la réalité. L’acte artistique a comme finalité la beauté en elle-même, il ne peut donc que

mode d'existence inconsciente 4)leurs limites : n'apparaissent qu'en face d'obstacles, et en fonction de tendances internes à la pensée (d'abord pragmatiques, ensuite théoriques, enfin morales->réussite et efficacité, puis vérité, puis justice et liberté) B. Qu'est ce que penser sans préjugés ? C comment parvenir a penser sans préjugés le dvpt méthodique de la pansée rationnelle descartes D. Jusqu'ou peut se développer cette pensée sans préjugés = le projet philosophique ? E. Difficultés de l'idée

Jacques le fataliste « la vie se passe en quiproquos » et le moindre n’est pas celui qu’entretient la connaissance. « On est fataliste, écrit-il ailleurs, et à chaque instant on pense, on parle, on écrit comme si l’on persévérait dans le préjugé de la liberté, préjugé dont on a été bercé, qui a institué la langue vulgaire qu’on a balbutiée et dont on continue à se servir, sans s’apercevoir qu’elle ne convient plus à nos opinions. »(Réfutation de l’Homme d’Helvétius) Dans l’attitude à adopter à l’égard