La Responsabilite Du Banquier

Sujet n° 2 Environnement réglementaire Exposez les 2 obligations de sens contraire, faites au banquier, devoir de s’informer et devoir de non-ingérence. Mettez-les en perspective et expliquez-en la justification. Intro : Le banquier est soumis à des obligations contractuelles et extracontractuelles découlant du droit commun des contrats. Cependant, il s’est vu imposer un certain nombre d’autres devoirs plus spécifiques parmi lesquels figurent le devoir de s’informer et le devoir de non-

Le chèque est un moyen de paiement par l'intermédiaire d'une banque ou d'un établissement financier. Le tireur (personne qui établit le chèque) donne l'ordre à un banquier (le tiré), de payer une somme d'argent au bénéficiaire. Il est question de ressortir les conditions de formes et de fonds d’un chèque et ensuite de présenter les caractéristiques d’un chèque frauduleux et les sanctions encourues lors de son utilisation. Le chèque est un instrument de paiement mais sauf dans certains cas, il n’est

nouveaux signes de valeurs » (cf Montesquieu). Rôle du droit bancaire = organisme de crédit pour créer des valeurs ; commerce de l’argent Objet du droit bancaire = régir les différentes activités exercées à titre de profession habituelle par les banquiers. Liste des activités exercées, conditions d’accès à la profession et conditions d’exercice du métier sont déterminés par le législateur. => Droit qui concerne les acteurs, les activités et les opérations permettant de faire circuler la monnaie

Crédits et opérations bancaires Introduction §1. Définition du droit bancaire. Le droit bancaire correspond à l’ensemble des règles applicables pour des opérations conclues par des banques. Il s’agit d’un droit professionnel, le banquier réalisant à titre habituel ces opérations. Le droit bancaire est une branche du droit commercial, sollicitant fréquemment des mécanismes du droit des contrats. §2. Sources. Les sources sont tout d’abord les textes et en particulier les dispositions du Code

ménage ou professionnels nécessitent pour se réaliser l’intervention de professionnels, les banquiers. Le droit bancaire est le droit des banquiers, dont l’importance pour les particuliers, pour les entreprises et pour l’économie même d’un pays n’est plus à démontrer. Ce droit afférent au commerce de l’argent a pour objet de régir les diverses activités exercées à titre de profession habituelle par les banquiers. Les législateurs a, par étape, précisé les activités pouvant être exercées, les conditions

sanctionné pénalement. Le délit est supprimé depuis 1991. 2°) En outre, même si la provision n’est pas là au moment du paiement, le tireur a une faculté de régularisation. La banque informe le client qu’il doit régulariser pour honorer ce chèque. 3°) Le banquier tiré en pratique n’a connaissance du chèque que lorsqu’il est présenté au paiement, c’est-à-dire que même si la provision existait non pas au moment de l’approvisionnement du compte chèque, mais au moment du paiement. d. La provision doit être disponible

établissement de crédit prête sa signature pour un client sans effectuer une réelle sortie de fonds en faveur de son client. La troisième catégorie, celle qui nous intéresse, est constituée par les opérations de promesses de crédit. Dans cette catégorie, le banquier s’engage à accorder à un client un crédit d’un certain montant convenu dénommé dans la pratique bancaire « encours » ou « ligne de crédit » . Sur le plan juridique, ces opérations sont formées essentiellement par l’ouverture de crédit. En France

Avec l’évolution de l’activité bancaire et de son environnement réglementaire, le banquier se voit aujourd’hui imposer un certain nombre d’obligations et de devoirs qui visent à la fois la protection du consommateur et l’encadrement de la responsabilité du banquier. Parmi lesquels figurent le devoir de s’informer et le devoir de non-ingérence. Nous verrons dans un premier temps en quoi consistent le devoir de s’informer et ses obligations et dans un second temps le devoir de non-ingérence. I.

et leur fonction est gratuite. Les tribunaux de commerce ont une compétence matérielle et territoriale : *En matière matérielle, ils peuvent juger de toutes les affaires relatives aux engagements et transactions entre négociants, marchands et banquiers, ainsi que toutes celles survenues entre associées pour raison de commerces ou actes de commerce entre toutes personnes. Les tribunaux de commerce, en matière de procédures collectives sont compétent, cad procédure de sauvegarde, redressement judiciaire

provision. Section II- La transmission du chèque : l’endossement. §1- les conditions de l’endossement §2- Les effets de l’endossement Section III- Le paiement du chèque §1- Le paiement par le tiré : A/ la présentation au paiement B/Les obligations du banquier tiré. C/ La réalisation du paiement §2- L’opposition au paiement : A/ Les conditions de l’opposition B/Les effets de l’opposition §3- Le défaut de paiement du chèque : A/ Les recours du porteur impayé B/Les sanctions contre le tireur. Ch.2 –