Le Nihilisme Actif

identité positive. L'OBLATIVITE : Que nous appelons couramment "esprit de sacrifice", permet de nier ses propres souffrances au nom du bien être des autres. CULPABILITE : C’est ce qui offre à l'individu la possibilité de s'attribuer un rôle actif dans sa douloureuse histoire; échappant au danger de se constituer une identité de victime, celui-ci se désigne en tant que responsable et croit qu’en modifiant sa stratégie il pourra éviter d’autres malheurs en avenir. Peu importe si les responsabilités

D’Albert Camus L’auteur Albert Camus est un écrivain et philosophe Français né à Mondovi (Algérie française) le 7 novembre 1913. Eduqué en partie par un oncle anarchiste et voltairien, il découvre, adolescent, Nietzche, philosophe qui prône le nihilisme et dénonce l’absurde du monde. Journaliste, il s’engage dans la résistance et poursuivra ses combats moraux après guerre. Son œuvre commencée avant guerre est constituée de romans, essais, articles et pièces de théâtre dont plusieurs font partie

aller de l'avant en utilisant celui-ci comme une force créative qui nous permettrait d'avancer ? La philosophie antique, dans sa période héllenistique, a donnée lieu a une morale du désir. Considérant que l'homme est un sujet a par entiere, un être actif, responsable de ses actions et non pas victime de ses désirs, celui-ci doit être en mesure de distinguer ce qui est bon pour lui et ce qui relève du superflu. Ainsi, Platon dans Le Gorgias explique que la seule chose éminemment désirable est la vérité

sans valeur, il est accepté avec ironie par les punks puisqu'ils rejettent les « valeurs établies ». Dans les années 1950, a punk, représentait la petite amie masculine qui attendait le prisonnier à sa sortie. Le « mouvement punk » est associé au nihilisme, au mouvement Dada, au mouvement anarchiste et au mouvement alternatif (squat, labels indépendants, antimilitarisme, anticonformisme, végétarisme, féminisme, mouvement autonome, etc). Le mouvement punk a un genre musical associé, le punk rock.

noël, les fêtes se passent toujours dans un temps sacré. Il faut voir que l'homme a besoin de croire en quelque chose, Nietzsche distingue donc deux sortes de nihilismes, l'un est passif, montrant des hommes démotivés, désorientés, relativistes, cyniques ou fanatiques de la « Nation » ou de la « République » et l'autre est actif, c'est celui du surhomme qui après la mort de Dieu, est obligé de redéfinir sa vie, de réinventer des valeurs communes et d'y croire, ceci est de l'individualisme esthétique

La question : « Faut-il chercher un sens à l’histoire ?  » revêt donc un enjeu de toute première importance, enjeu à la fois métaphysique, politique et éthique. Comment, en effet, penser le sens et le progrès historique sans tomber dans le nihilisme, le dogmatisme, le scientisme ou le totalitarisme ? I) LA CONNAISSANCE HISTORIQUE Pourquoi écrire l’histoire ? Pourquoi l’homme s’intéresse-t-il à son passé ? Pourquoi cherche-t-il à le connaître et pourquoi l’aime-t-il autant ? En qoui

puissance du désire. La volonté de puissance de peut pas être détruite. Le désir n’est pas quelque chose que l’on peut détruire comme le fait la religion ou la morale. Selon lui, la condamnation du désir n’est rien d’autre qu’une manifestation du nihilisme. (Wikipedia) Il ne peut pas s’agir de libérer la connaissance des vicissitudes du corps car cette connaissance n’est rien d’autre que l’effet d’une certaine structure corporelle, pulsionnelle. Il ne peut pas s’agir

didascalies), Cherea rallie les patriciens dans le complot. Nous ajouterons que Cherea organise le crime de Caligula, « désireux seulement de retrouver la paix dans un monde à nouveau cohérent ». Là encore on voit que c'est unpacifiste comme Camus. Il est actif « Il faut agir » et sa lucidité par rapport à la tyrannie de Caligula le conduit à être stratégique (« ruser avec la méchanceté désintéressée, […] la pousser dans son sens, attendre que cette logique soit devenue démence. »). Il apprend aux patriciens

rempli déjà, difficile de faire place pour plus de chapeaux. Et l’année fatidique, 2008, une fois assise dans mon nouvel appartement trop cher pour moi, avec une nouvelle voiture devant, un copain pas très sérieux, plusieurs soirées dégradantes à mon actif, enrôlée dans un nouveau programme qui ne m’excite pas tellement, un fait m’assaille. Oui Dieu est mort, certes, mais, moi aussi, je vais mourir. Comment dois-je vivre ma vie pour être dans le bien ? Quelle est ma voie pour être heureuse? La réponse

«J'appelle mensonger celui qui ne veux pas voir les choses telles qu'elles sont.» dit-il. Le christianisme inspire la modestie, un doux moralisme et souvent la résignation, ce qui est à l’opposé de la conduite de Jésus, lequel était toujours actif, bravant les us et coutumes, le haut clergé et même défiant la mort. L’idéal ascétique de renoncement aux plaisirs et aux biens de ce monde, la culpabilisation à outrance, l’altruisme poussé jusqu’à la compassion, jusqu’à l’idée qu’il y a du mérite