Les Bucoliques

complicité en utilisant le «nous». Le lyrisme de l’invocation est souligné par l’utilisation à deux reprises du vocatif «ô». La nature est également souvent mentionnée et glorifiée «sentier», «grande nature», «ciel», «fleur» créant une atmosphère bucolique des poèmes du XVIème siècle, cette nature est propice à l’amour et semble inscrire ce poème dans la tradition des poèmes amoureux. Mais à cela s’oppose le langage cru de la comparaison de la femme à la charogne «vous serez semblable à cette ordure»

« passion » v.40. Mis en valeur par la rime, fin de strophe et diérèse PASSI-ON B. La promenade du couple Image d’une promenade donnée par l’évocation du « sentier » v.3 Importance de la nature avec le champ lexical qui donne l’atmosphère bucolique au poème « nature » v.11, « ciel » v.13, « fleur » v.14, « l’eau courante et le vent » v.26, « rocher » v.33, « l’herbe et les floraisons grasses » v.43 Nature semble propice à l’amour, elle est montrée de façon très positive avec les adjectifs

littérale), réservé aux enfants, ludique puis le mot va désigner une façon de se comporter respectueuse des règles. Le terme va disparaître et être remplacé par le mot anglais « sport » qui désigne d’abord un hobbies puis une activité de plein air bucolique réservé à la bourgeoisie, une activité hygiéniste (prendre soin de soi éradiquer tout ce qui pet être malsain, souillure) après c’est pourquoi la race arienne arrive. Le paradoxe si le corps se libère momentanément des codes vestimentaire et des

situation politique et économique sous la monarchie absolue et la Régence (1711-1720). III. les limites du modèle A. la dimension stéréotypée de l’utopie 1. L’ordre comme valeur toujours positive 2. L’harmonie universelle : a) une idylle (une bucolique, une églogue), dans la tr adition antique : un petit poème ou une petite pièce à sujet pastoral b) la représentation d’un nouveau mythe de l’âge d’or. Facultatif car aux limites du programme de philosophie de Terminale. [B. Une utilisation

célébration. Nous allons maintenant voir la place de la nature dans ces poèmes. Chez du Bellay, la nature sert à créer un cadre enchanteur et accueillant : « parc » vers 1, « prés » vers 8, « eau » vers 10, « Orient » vers 14. Chez Hugo la nature bucolique est complice et érotique : « champs » vers 4, « rivage » vers 13, « l’eau caressait doucement » vers 13, « les oiseaux chantaient » vers 12. La femme est également associée à la nature : « Parmi les joncs » vers 2, « dans les grands roseaux verts »

La charogne est présentée dans un décor bucolique, idyllique («au détour d’un sentier » (v-3) « le soleil rayonnait » (v-9)) qui contraste avec l’immonde cadavre («charogne infâme (v-3), « pourriture » (v-9) ou  « puanteur » (v-15)). Les deux réalités antithétiques cohabitent dans l’oxymore : «carcasse

C’est encore de l’autodérision qui s’exprime ici. L’auteur dénonce le déraisonnable de son entreprise par ces procédés d’insistance. D’ailleurs, lorsqu’il cite, avec quelques inexactitudes son poème « Larmes3 » de 1872, il passe d’une situation bucolique et concrète des « tendres bois de noisetiers » et d’ « un brouillard d’après-midi » et ce champ lexical de la nature prend une place importante _« oiseaux […] bruyères […] gazon … »_ à l’hallucination avec le champ lexical du merveilleux : « anges

sous formes d’heptasyllabes signe de modernité poétique dans un poème avec des rimes croisées et riches qui lui confèrent une certaine musicalité. Victor Hugo jette un regard rétrospectif sur l’adolescent de seize ans qu’il était, dans un cadre bucolique qui évoque la rencontre avec Rose, une jeune fille de vingt-ans qui lui procure un regret certains dans la mesure où l’adolescent qu’il était inexpérimenté n’a pas su décoder l’intention de séduction de Rose. 2) Annonce du plan :Je montrerais qu’à

tableau de Dali et représentation du christ sur la croix) ; cf vers 44, 47, 48etc). c) Un nouveau regard sur le monde ▪ La réalité devient un lieu autre insolite, nouveau. : transfiguration de l’espace ds ses trois dimensions, superposition du bucolique et de l’urbain (v 2), de l’animé et de l’inanimé, de la prose et de la poésie, du journalisme et de la littérature. ▪ La poésie s’ouvre à la prose du quotidien qui du coup prend une dimension magique, féerique. ▪ C’est une façon de montrer que

première de couverture, fond beige comporte le titre. Chaque lettre du titre est une lettrine à l’encre noire. Les lettrines sont toutes différentes La quatrième de couverture est unie. La tranche de l’album est en tissu vert ce qui renforce l’aspect bucolique du titre. Les illustrations accompagnent le texte. Les relations texte - image soulignent la dualité de tous les personnages. Les illustrations en noir et blanc (dessin à la plume) accentuent les jeux d’ombre et de lumière, les jeux de miroir et