Les Cloches Commentaire Apollinaire

ainsi je raconte, — une abbaye aux murailles lézardées par la lune, — une forêt percée de sentiers tortueux, — et le Morimont6 grouillant de capes et de chapeaux. Ce furent ensuite, — ainsi j’ai entendu, ainsi je raconte, — le glas funèbre d’une cloche auquel répondaient les sanglots funèbres d’une cellule, — des cris plaintifs et des rires féroces dont frissonnait chaque fleur le long d’une ramée, — et les prières bourdonnantes des pénitents noirs qui accompagnent un criminel au supplice. Ce furent

grâce à des gens comme lui. Ici, la poésie est encore utilisée comme une arme contre l’oubli. D’autres poètes ont utilisé la poésie en tant qu’arme contre l’oubli de façon particulière. C’est le cas de Guillaume Apollinaire qui se rend hommage dans Si je mourrais là-bas. Apollinaire a vécu très difficilement la guerre de 14-18 durant laquelle il était soldat. Dans ses poèmes adressés à sa maîtresse, Louise, dite « Lou », il délivre ses pensées, ses peur, ses troubles. Avec Si je mourrais là-bas

.......................................................................................... Texte A. Guillaume Apollinaire, « Lettre du 18 janvier 1915 » (extrait), Lettres à Lou............................................. Texte B. Guillaume Apollinaire, « Lettre du 19 janvier 1915 », Lettres à Lou........................................................... Texte C. Guillaume Apollinaire, « Adieu ! », Lettres à Lou ..................................................................................

analysés.06/10/21 : Grammaire  : suite et fin de l’étude des négations et interrogations dans les deux textes étudiés en lecture linéaire. Rappel   : les connaissances grammaticales valent aussi pour l’écrit (connaissances nécessaires au commentaire de texte). D- Lecture linéaire n°3 (extrait des pages 40 et 41, lignes 677 à 708),

| |Apollinaire :  | | | |Guillaume Apollinaire, de son vrai nom Wilhelm Albert Włodzimierz Apolinary de Wąż-Kostrowicki[1], est un écrivain naturalisé

valeurs reçues. I - Les origines du surréalisme A - Les origines du mot et du mouvement C'est en général à Guillaume Apollinaire que l'on attribue "l'invention" du mot surréalisme, on le retrouve dès 1917. « Tout bien examiné, je crois en effet qu'il vaut mieux adopter surréalisme que surnaturalisme que j'avais d'abord employé. » Guillaume Apollinaire Lettre de Guillaume Apollinaire à Paul Dermée en 1917 Le surréalisme est issu essentiellement du dadaïsme, un mouvement créé en 1916 par des artistes

grâces. Aussi, le brave monsieur Flavel, en homme bien élevé et accueillant, le cœur sur la main, avait fait des frais. Pas autant, toutefois, qu’il en eût fait pour le député du comté, et surtout pour l’évêque du diocèse. Le desservant de Saint-Apollinaire était gourmand comme une lèchefrite ; et il n’était jamais plus coulant avec ses paroissiens qu’au sortir de la salle à manger. Les narines dilatées par le fumet chaud et pénétrant qui 5 s’échappait de la cuisine et semblait s’imprégner à tous

quotidien 316 Verlaine, « Le bruit des cabarets, la fange des trottoirs » 317 Nouveau, « Le Peigne » 319 Verhaeren, « Les Usines » Le poète, alchimiste du verbe 322 Rimbaud, « Alchimie du verbe » 324 Corbière, « Le Crapaud » 325 Apollinaire, « Réponse des Cosaques Zaporogues au Sultan de Constantinople » L’objectif est de montrer comment, à partir de l’alchimie poétique baudelairienne, la poésie a su se saisir du quotidien et de la laideur pour l’élever au rang de la dignité littéraire

de la syntaxe» selon la cadence du souffle. Ayant obtenu en 1914 le premier baccalauréat et le second en 1915, il commença des études de médecine. En 1917, il fit la connaissance d’André Breton. Leur commune admiration pour Mallarmé, Rimbaud, Apollinaire, Jarry et Lautréamont les lia d’amitié. Mobilisé cette année-là, ce fut avant de partir au front comme médecin auxiliaire qu’il se vit «infliger la vérité» sur son roman familial, qu’il apprit la série de mensonges dans lesquels il avait vécu toute

de la syntaxe» selon la cadence du souffle. Ayant obtenu en 1914 le premier baccalauréat et le second en 1915, il commença des études de médecine. En 1917, il fit la connaissance d’André Breton. Leur commune admiration pour Mallarmé, Rimbaud, Apollinaire, Jarry et Lautréamont les lia d’amitié. Mobilisé cette année-là, ce fut avant de partir au front comme médecin auxiliaire qu’il se vit «infliger la vérité» sur son roman familial, qu’il apprit la série de mensonges dans lesquels il avait vécu