Les Instruments Substituable

à mesure que les constructeurs se concentrent sur leurs métiers de base : conception, mécanique, carrosserie, peinture, assemblage. Une marque ressemble de plus en plus à un compositeur qui invente et orchestre, les musiciens venant avec leurs instruments des quatre coins de la région. Citroën préfère compter sur un petit nombre de partenaires, mais fiables et réactifs. Ouest-France, 10 juillet 1997. Chapitre 7 – Le fonctionnement productif des entreprises 135 Dossier 1 4 La combinaison

liés à l’environnement grâce au diagnostic stratégique externe, les forces et des faiblesses de l’entreprise sont déterminées par l’intermédiaire du diagnostic interne. I. La chaîne de valeur – modèle de M.Porter La chaîne de valeur est un instrument fondamental permettant d’analyser les sources de l’avantage concurrentiel d’une entreprise. Toute entreprise s’appréhende comme un ensemble d’activités. La chaine de valeur permet d’analyser ces activités et permet ainsi une meilleure visibilité

agents économiques A- Qu’est ce qui va déterminer les actions des agents économique Influence du Prix : les ménages adaptent leur consommation en fonction des prix Quand un produit augmente la consommation diminue ou se reporte sur un produit substituable. Pour l’entreprise : le but est de s’adapter en rationnalisant sa production. Ou alors l’entreprise va produire plus de produit lorsque leur prix augmente (hausse des profits) = attire la concurrence. B- Les arbitrages des agents économiques

BE. b. les partisans de la soutenabilité forte : les K ne st pas substituables • Ex de Tchernobyl : La catastrophe de Tchernobyl a irradié des milliers de km autour de la centrale. Les villages alentour sont désertés. ↑ des cancers. ↑ de la pollut° radioactive (elle a été enfouie en mettant les différentes zones sous terre, mais pas toute.) Ds ce cas là, la substitut° du K physique et du K nat’ ne st pas substituables. Qd la planète aura 2 milliards d’hbs de + en 2050, les ressources qui

revnoir idée de renfort, d'aide et de durée, celui-ci se limite a 1 dimens° temporelle de conserva° des ressources naturelles et évacue idée d'une aide immédiate aux pays emergents. 1) partisans de la soutenabilité faible : les capitaux sont substituables : Ds la thèse de soutenabilité faible( néo-classiques), les ressources naturelles sont considérés côm une partie du K naturel qui comprend également le K technique. Le K naturel engendre le K technique et ça permet soit d'accrôitre ou diminuer

mais aussi dans les générations) et améliorer l'éfficacité économique par la gestion optimale des stocks d'actifs qui composent le bien être. Les dimensions sont donc environnementales, sociales et économiques. Un débat subsiste sur le caractère substituable (ou non) des quatres ou cinqs types de capitaux et donc sur les moyens d'assurer la soutenabilité de notre developpement. Celà conduit à deux approches du developpement durable: la faible soutenabilité et la forte soutenabilité. • Ceux qui soutiennent

constitue pas un capital spécifique, les ressources naturelles sont envisagées comme une partie du stock de capital total qui comprend aussi le capital technique. Le capital naturel sert à produire le capital technique. Les différents capitaux sont substituables, le capital technique peut remplacer le capital naturel, le progrès technique peut réparer les dégâts environnementaux. La préservation de l'environnement ne l'emporte pas sur la recherche de la croissance économique, au contraire la croissance

Chapitre III: Le marché de l’entreprise Contenue du chapitre III: 1. Définition d’un marché; 2. Les concepts clés du marché; 3. Les acteurs du marché; 4. Les différentes typologies du marché; 5. Les instruments de mesure (part de marché en volume et en valeur). 1) Définition d’un marché : Nous distinguons deux définitions, une définition économique (néoclassique) et l’autre définition marketing. 1.1. Définition néoclassique : la théorie néoclassique définit le marché par «la rencontre

d'affectation optimale des instruments de politique économique aux objectifs de cette dernière, le policy-mix s'analyse désormais comme un jeu stratégique entre les autorités de politique économique. Deux règles majeures à portée normative éclairent le policy-mix : * La règle de Jan TINBERGEN (1952) qui indique qu’il doit y avoir autant d'instruments de politique économique qu'il y a d'objectifs. * La règle de Robert MUNDELL (1962) qui précise que l’affectation d'un instrument à son objectif est

mobiles, substituables et divisibles. Toutes tentatives visant a augmenter la masse monétaire ne modifient par les Q consommées. (fonction de demande walracienne). · Les agents économiques sont mus par une rationalité substencielle et évoluent dans une concurrence pure et parfaite. · atomicité des agents,homogénéité des produits, transparence de l'information, libre entrée et libre sortie.. · Les profits d'entreprises sont nuls, le temps n'existe pas. · La monnaie est un instrument de mesure