Les Inégalité Peuvent Elles être Juste

dynamique des inégalités 1 - Les inégalités économiques et sociales. Pour décrire l'évolution des inégalités, il faut prendre en compte deux choses. La première, c'est l'ampleur des inégalités : est-ce que l'écart entre le " haut " et le " bas " de la hiérarchie augmente ou diminue ? La seconde, c'est la nature des inégalités, c'est-à -dire ce sur quoi elles portent : les inégalités d'aujourd'hui sont-elles les mêmes qu'autrefois, ou bien de nouvelles inégalités apparaissent-elles ? A - La diversité

dans le contexte démocratique : toute action en faveur de l'égalité, même souhaitable, se traduit par une régulation qui encadre forcément les initiatives individuelles. Poussées trop loin, ces interventions peuvent même contredire les légitimes prétentions de la liberté. Une « inégalité » se distingue de la simple différence ; elle intègre un jugement qui dénonce une situation jugée injuste ou indigne. Les « démocraties » modernes ont refondé le contexte de l'égalité. En dépassant l'évidente

« Peut-on justifier l’existence de certaines inégalités dans les sociétés démocratiques ? » Les PDG des plus grands groupes français gagnent chacun annuellement l’équivalent de plusieurs siècles de SMIC. Cette révélation en cette période de crise a provoqué l’indignation de l’opinion publique à tel point que de nombreux responsables politiques envisagent une loi pour mettre fin à ces excès. En effet nous vivons dans un régime qualifié de démocratique et l’idée de démocratie de nos

vertu (A), cependant il envisage la justice selon différentes sortes de vertus (B). A. La Justice comprise comme vertu La vertu comme étant une disposition qui va rendre l'âme plus humaine et ses actions bonnes, il existe alors un parallèle entre le juste et le bon. Il souligne le fait que La vertu est un choix libre, c'est-à-dire que c'est l'homme, lui-même, qui détermine si ses actions sont bonnes ou mauvaises ; ce qui lui permettra alors de qualifier les actions d'autrui B. Distinction entre justice

Justice sociale et inégalités Comment les pouvoirs publics peuvent-ils contribuer à la justice sociale ? Si on donne un revenu identique à tous, le principe de méritocratie n’existe plus (≈1800€/personne en France) L’emploi pour tous n’existe plus ce serait donc une solution à la raréfaction de l’emploi. Qu’est ce qui incite à travailler ? Qu’est ce qui différencie les méritants des profiteurs ? Ex : si tout le monde a le bac il ne vaut plus rien (critiquable) Egalité : qualité de deux choses égales

l'égalité dans les relations sociales ?Hume aborde la question du traitement des êtres inférieurs à nous. L'auteur soutient que, bien que nous puissions être tenus par les lois de l'humanité de traiter ces créatures avec douceur, nous ne serions pas obligés par un devoir de justice envers eux. Les relations entre ces êtres et nous ne pourraient pas être qualifiées de "société", car cela suppose un certain degré d'égalité. Au lieu de cela, il s'agirait d'un "pouvoir absolu" d'un côté et d'une "obéissance

Note de lecture : L’Ecole des chances : Qu’est ce qu’une école juste ? BIOGRAPHIE DE L’AUTEUR Sociologue français, François Dubet est né le 23 mai 1946 à Périgueux. Il est professeur à l'Université Bordeaux II et a été responsable du département de sociologie jusqu’en 1997. Il a eu son doctorat de 3e cycle et d’état en sociologie avec mention. Il est directeur d'études à l'EHESS (Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales) de Paris et chercheur au CADIS (Centre d'Analyse et d'Intervention

d'égalité : c'est d'abord quand un partage, un traitement ou une reconnaissance sont inégalitaires, que nous crions à l'injustice. La justice devrait donc se définir par l'égalité, symbolisée par l'équilibre de la balance. Mais qu'est-ce qu'une égalité juste ? Suffit-il d'attribuer des parts égales à chacun ? 1. La justice se confond-elle avec la stricte égalité ? • Aristote distingue la justice distributive et la justice corrective. La justice corrective concerne les transactions privées volontaires

 La recherche de l’égalité peut-elle être injuste ? Les sociétés humaines sont caractérisées par le fait que les individus y vivent selon des rapports de droit, garantis par des lois. Si ces lois existent, semble-t-il , c’est pour rompre avec un état de nature réglé par la loi du plus fort. Elles témoignent donc de la volonté des hommes de vivre dans un monde juste où ils sont égaux. C’est ce que semble aussi confirmer l’Histoire , marquée par la revendication constante de davantage d’égalité

comme légitime pour être juste ? mais qu'est-ce que la légitimité. Cette dernière signifie ce qui est conforme, reconnu et justifiée par la loi. Mais ce qui est reconnu par la loi est-il juste ? cela dépendrait alors du pays. Car la notion de justice est propre à chaque état. Chacun instaure la justice comme il le convient. Les individus de l'état intègrent alors cette notion de justice comme une coutume. Cette coutume devient alors une habitude. Cette habitude devient juste car elle est exercée