Les Sens Peuvent Me Tromper

sensible, selon lui les sens qui sont à la base de nos connaissances peuvent être parfois trompeuses et non fiable. Il remet en cause le monde sensible en parlant dans un premier temps de   la folie de même il conçoit que certains hommes peuvent être trompés par leur sens uniquement à cause de la folie. Ensuite, il continue son discours en abordant le thème des songes. il nous nous montre la difficulté de distinguer l’éveil de sommeil aussi Il nous livre que lui-même a été trompé par ses rêves Cette

sommes parfois victimes d’illusions, nous ne devons pas nous fier à nos sens. L’intitulé du sujet est posé sous forme d’affirmation, qui semble découler d’une constatation. Il met en rapport deux notions, qui dans l’histoire de la philosophie ont pu avoir une certaine connivence : illusion et sens. Dans la première partie de l’énoncé, l’utilisation du mot « victime » indique la position passive du sujet qui est trompé sans le savoir. Et fait également référence au problème de l’illusion autour

par les sens qui nous exposent l'aspect extérieur des choses telles qu'on les voit. Au sens vulgaire, l'apparence s'oppose au réel car nos sens ne montrent pas forcément la même chose d'une personne à l'autre, influencée par leur expérience. Tromper, c'est paraitre autre que ce que l'on est, en faisant croire à une fausse réalité. Est trompeur celui qui dissimule ou qui travestit la réalité. Une apparence trompeuse est donc une représentation faussée d'un fait. Nos sens sont alors trompés par les

la question sur la réalité de notre existence, l’évocation des sens vient en premier pour expliquer cette réalité. En effet, nous nous basons sur nos sensations visuelles, auditives, olfactives, gustatives et sensitives pour appréhender une réalité : « je vois, je peut m’entendre … donc je suis forcément vivant » Tout aussi spontanément nous pouvons nous questionner sur ceux qui au cours de leur vie ont perdu certains de ces sens (perte de la vue …) sont ils pour autant moins vivants que ceux

Sujet : Puis-je faire confiance à mes sens ? « Sens est […] un mot curieux qui est […] employé dans deux sens opposés. D’une part il désigne en effet les organes qui président à l’appréhension immédiate. D’autre part, nous appelons sens la signification d’une chose, son idée, ce qu’elle a d’universel. » Tel disait Hegel. Le mot « sens » qui vient du latin « sensus », désigne la capacité que l’homme possède lui permettant de percevoir la réalité qui l’entoure. Les sens constituent la fonction qui permet

le résultat de tout son raisonnement qui est une véritable mise en garde contre les dangers de la rhétorique pour l’âme.En conclusion nous pouvons dire que Platon dresse ici un portrait très péjoratif de la rhétorique car il estime qu’elle sert à tromper l’âme et donc

parce qu'autrui a pu lui-même se tromper, prendre un préjugé pour un savoir, une erreur pour une vérité. Mais voilà : au moment où il s'est trompé, autrui lui-même n'a-t-il pas accordé plus de confiance à sa raison qu'à celles des autres ? Les aurait-il écoutés davantage, peut-être se serait-il épargné un égarement pénible. Toute la difficulté vient ici de ce que chacun de nous est lui-même l'autre des autres : s'il faut se méfier des autres parce qu'ils peuvent se tromper, c'est alors que je suis moi-même

conscience donatrice de sens, les apparences d’autrui seraient signifiantes, quelque chose s’exprimerait forcément à travers les apparences. Or le sens exige un déchiffrement, il nous est permis par l’imagination. On postule qu’il y a du sens : il faut le déchiffrer. Mais le problème est le rapport d’expression des apparences à la conscience qui donne le sens. Ca veut dire qu’on peut se tromper dans l’interprétation : on peut se tromper et être trompé. II) Mais ca nous trompe mauvaise interprétation

erreur, un jugement contraire à la réalité des faits. De ce double point de vue, l’erreur est une privation de connaissance, ce qui est un phénomène humain en effet. Nous n’aurons aucune difficulté à souligner la positivité de l’erreur : puisque ne se trompe que celui qui cherche la vérité, la vérité a besoin de l’erreur pour apparaître. L’erreur n’est qu’une vérité en gestation, à partir du moment où l’on admet (comme il convient) que l’éclosion de la vérité est un processus historique et laborieux,

« Faire croire » : Travail sur la notionI. Faire croire : Premiers pas pour explorer le thèmeCherchez les principaux sens du verbe « croire ».Le premier sens que l'on donne au verbe croire est de tenir quelque chose pour vrai. Mais par croire, on entend en général une vérité incertaine, rien ne prouve qu'elle est vraie, mais on fait le choix de la penserr vraie. Le mot croire est aussi relié aux croyances religieuses. Croire devient dans les cultes religieux aussi un moyen d'appartenir à un camp