Liste des ordres monastiques

fief. (doc. 18, p.44) III. Le monde monastique. 1. Introduction : quelques généralités a. Le fondateur du monachisme est saint Benoît (480-547). b. Durant le haut Moyen Age., les monastères sont les seuls lieux de conservation du savoir (bibliothèque, scriptorium, école monastique) et de l’écriture. Cela reste en partie vrai jusqu’au XIVe s. c. Les abbayes s’implantent dans des lieux reculés, isolés, selon la règle de saint Benoît. d. La vie monastique est communautaire et s’organise selon

livres historiques de l’ancien testament ( Samuel 1 et 2, Rois 1 et 2, Paralipomènes 1 et 2), précéder une histoire à prétention universelle (chronique de l’évêque Jean de Nikiou), accompagner le roman d’Alexandre ou le Physiologue, introduire une liste de fiefs et de donations de la cathédrale d’Axoum. Le fil conducteur de la Gloire des rois est l’exaltation de la monarchie éthiopienne, la plus grande de toutes, à travers la personne des souverains salomonides. Cette revendication est directement

s’est longtemps réduite à la description d’une Eglise tombée entre les mains des laïcs, ce que démontraient la prolifération des églises privées et la multiplication des conflits entre les seigneurs ecclésiastiques et seigneurs laïcs. La réforme monastique était donc perçue comme la volonté des clercs de se dégager de la tutelle aristocratique. Cette vision = remise en cause depuis 30 ans. Insiste sur d’autres thèmes : ( Les relations étroites qui lient Eglise et les familles aristocratiques

(chevaliers trop violents, commerçants enrichis par l’usure…). b) Le monopole du savoir et de l’enseignement. Doc 5 p.81 Depuis la règle de St Benoît au VI°s, la transmission du savoir fait partie des fonctions du moine. L’écriture devient travail monastique : les moines recopient les manuscrits ds les scriptoriums. Les monastères se constituent de riches bibliothèques. Ds les villes, les cathédrales disposent d’écoles pour instruire les futurs membres de clergé. A la fin du XII°s, pour accompagner

produit à la fin du 9e : il y a une séparation entre la paysannerie qui va devenir productrice et ceux qui ont le métier des armes (ceux qui font la guerre). 975-875 ? : Moine Aulric ( ??) à Auxerre rassemble ceux qui prient mais séparent en deux ordres ceux qui combattent et ceux qui travaillent. Ceux qui combattent et ceux qui représentent le roi. Quelle origine ? Sont-ils tous les héritiers de la sté précédente ou y a t-il des intrus ? Nobles qui chutent dans l’ordre social. Paysans

germanique I. les sources du pouvoir mérovingien A. l'installation de la famille mérovingienne deux explications à cette présence : – prestige de leur ascendance – prestige que leur donnent leurs conquêtes Grégoire de Tours dresse une liste approximative des rois francs, ils sont tous issus de la même famille : Chlodion, Mérovée, ... ils règnent sur un petit empire en marge de l'Empire tout au long du 5e siècle cependant la tradition royale mérovingienne est plus complexe Frégédaire

ségrégation des lépreux… et une liste des marginaux apparait. On y trouve les hérétiques, les juifs, les prostituées, les lépreux, les sodomites, les sorcières, certains pauvres volontaires, quelques métiers infâmes comme les bourreaux, usuriers… Au début du Moyen-âge, la mendicité est bien acceptée et intégrée à la société puisque la pauvreté est sanctifiée et les dons et les aumônes permettent le salut des plus riches : tout le monde y trouve son compte. Les ordres mendiants fondés au XIIIème siècle

GUIDE RAMEAU 6e édition 232 200 – Religion Dieux et déesses Règles d'indexation 1. Présentation du domaine Dans la liste d'autorité, les noms des dieux et des déesses sont typés comme des noms de personnes (NP). Les règles d'établissement des notices développées ci-après doivent permettre aux établissements utilisant RAMEAU de créer les noms propres de divinités qui leur manquent en fonction de leurs propres besoins documentaires. Ne pas faire de proposition de création. Des règles particulières

développent sporadiquement (autour de l'an Mil) et, très rarement, s'installent durablement comme en Languedoc, avec le catharisme ou en Bohême, avec Jean Hus (1369 – 1415), etc. À partir du XIIIe siècle, la papauté peut s'appuyer pour cette tâche sur les ordres mendiants, franciscains et surtout, dominicains. Mais la tentation du recours à la force est grande et la violence caractérise souvent, en dernier recours, le combat pour l'unité de l'Église, qu'implique sa première définition : elle marque la «

développent sporadiquement (autour de l'an Mil) et, très rarement, s'installent durablement comme en Languedoc, avec le catharisme ou en Bohême, avec Jean Hus (1369 – 1415), etc. À partir du XIIIe siècle, la papauté peut s'appuyer pour cette tâche sur les ordres mendiants, franciscains et surtout, dominicains. Mais la tentation du recours à la force est grande et la violence caractérise souvent, en dernier recours, le combat pour l'unité de l'Église, qu'implique sa première définition : elle marque la