Matérialité Et Architecture

pour faire rentrer dans une autre dimension (affrontement, violence, force)  personnifications, métaphores, champs lexicaux, hyperboles, etc., généralisations  dimension/ registre épique. I ] Scène réaliste  Zola s’appuie sur la réalité Architecture Atmosphère Vocabulaire technique II ] Dimension épique  Zola se sert du théâtre ,de la guerre. Vocabulaire de l’affrontement, de la guerre Généralisation & grandissement. III ] Vision symbolique Description symbolique des lieux Mise en

c’est des divisions et des synthèses ; j’y vois le moyen d’apprendre à parler et à penser. Et si je trouve quelqu’un capable de voir les choses dans leur unité et leur multiplicité, voilà l’homme que je suis à la trace comme un Dieu 1. » [« Architecture et sculpture gothiques », Stéphanie Diane Daussy et Arnaud Timbert (dir.)] [ISBN 978-2-7535-1746-2 Presses universitaires de Rennes, 2012, www.pur-editions.fr] la tenue en 2009, à noyon, d’un colloque consacré à l’architecture et à la  sculpture gothiques

National Design Award in Architecture en 2002 et l’Honorary Fellow of the Royal Institute of British Architects in 2003. Il est également le détenteur d’une vingtaine de prix AIA New York dans plusieurs domaines. Enseignant à l’Université Columbia depuis 1981, Steven Holl est l’auteur de plusieurs textes. Parmi tous les livres qu’il a publié, on compte Anchoring (1989), Parallax (2000), Idea and Phenomena (2002), Luminosity/Porosity (2006), House : black swan theory et Architecture Spoken (2007). Steven

Le traitement de la lumière naturelle comme matière en architecture Sommaire I) Le point de vue historique II) Les techniques architecturales et dispositifs qui prennent en compte la lumière naturelle III) Les multiples aspects du traitement de la lumière naturelle au travers de projets créatifs contemporains La lumière éphémère, évanescente La lumière chorégraphe pour l’œil La lumière au travers du verre, sa réfraction dans un film diaphane La lumière filtrée à travers

absolue de la pensée. A/ L’objet du désir, c’est la matérialité concrète, indépendante, immédiate du sensible, c’est le sensible dans son extension empirique et naturelle. Le sensible pur. La sensibilité immédiate, qui existe pour le corps. Le sensible pour le sensible. Le sensible est consommé, détruit. B/ L’objet de l’art, c’est la surface du sensible, l’apparence du sensible, l’idéalité du sensible, le sensible abstrait de sa matérialité. L’individuel. La sensibilité médiatisée, qui existe

appréhender la complexité des interactions en jeu dans les dynamiques étudiées : des 2 Unité Mixte de Recherche études localisées et plutôt qualitatives, privilégiant l’entrée par les acteurs collectifs et individuels, et les rapports entre la matérialité et l’immatérialité des territoires, sans exclusive pour des analyses plus globales et quantitatives mobilisant des catégories d’indicateurs construits à partir des recherches réalisées; le recours à la méthode comparative et le regroupement de chercheurs

remercie également les conservateurs qui ont suivi les chantiers ou dirigés les établissements sur lesquels je travaillais, et qui m'ont fait part de leur expérience. MarieFrançoise Bisbrouck, conservateur général en retraite et consultante en architecture, Pierre Chagny, directeur des bibliothèques de Villeurbanne, Thierry Delcourt, ancien directeur de la BMVR de Troyes, Daniel Le Goff, directeur de la BMVR de Limoges, Carole Letrouit, directrice du SCD de Paris VIII. Je remercie en particulier

faux-semblant.............................................................................................5 L'architecture, un moyen d'expression, un art.......................................................................................6 Architecture moderne ou organique......................................................................................................6 Respect de la nature et des matériaux.................................................................................

arts décoratifs, pour une cafetière en papier, avant même d’obtenir son Diplôme Supérieur d’Arts Appliqués en design industriel à l’ENSAAMA en 1987. Sans doute l’autre caractéristique de ce travail est-elle sa capacité à réviser globalement la matérialité de l’objet en rapport à sa fonction, à partir de constats au départ très simples. Ainsi, durant dix années, de 1988 à 1998, Azambourg s’est concentré sur le saxophone : il décrit le saxophone comme instrument infirme, instable et lourd du fait de

théâtral au Xxéme siècle, Le lieu théâtral dans la société moderne. 2d. CNRS, 1963. 2 « Construire une salle de spectacle, c’est toujours construire un paradoxe. C’est inscrire dans la matérialité d’un lieu, un temps bref, intense, dynamique signifiante » écrit Marie Christine Loriers dans Technique et architecture, « Le théâtre est un art de l’éphémère, il n’installe son espace que le temps de la représentation », il « est écrit sur le sable » (Peter Brook), il n’est pas un lieu mais un acte, « alors