Mitrailleuse

cassées ». • Jamais les soldats n'avaient été aussi vulnérables dans les conflits précédents. Les bombardements d'artillerie occasionnent environ 75 % despertes directes. Les éclats d'obus tuent, mutilent et défigurent. Sous le feu des canons, des mitrailleuses, des mortiers, on se terre au fond des tranchées, dans les trous d'obus. On s'enferre dans

entourés par la boue, les rats et l'odeur des cadavres en décomposition. Les tranchés les plus prêt du frontétaient mal ravitaillé. Lors des attaques les soldats n'avaient pratiquement aucune chance de survivre, il se faisait tiraient dessus par les mitrailleuses et bombardés par les artilleries et pour ceuxqui arrivaient jusqu'au tranchés ennemies ils étaient stoppés par les lignes de barbelé. Le bilan de la guerre 14-18 Source et nature du document 3 : (à préciser ici) Analyse et présentation

cinq mètres, la poudre a fait son œuvre. Il y a de nombreux arrêts dans la marche ; nous sommes en réserve, les coloniaux nous précèdent, l’ennemi ne réagit que faiblement ; au lointain, quelques coups de canon et quelques crépitements de mitrailleuses se font entendre. Les mitrailleurs boches résistent jusqu’à la dernière minute, ils sont en motocycles et ne démarrent à toute vitesse que quand ils se voient menacés d’encerclement. Vers le soir, nous parvenons dans un village

déclenchement de la Grande Guerre en 1914 il s’engage comme volontaire pour l' armée allemande est  affecté à un régiment d'artillerie de campagne à Dresde. En automne 1915 Dix est envoyé au front, où il  sert en tant que sous-officier avec une unité de mitrailleuses .Il était sur la Somme pendant la grande offensive alliée durant l'été 1916.Où il fut blessé plusieurs fois mais une fois il  failli mourir quand un éclat de shrapnel (sorte d’obus lançant des éclats en explosant) le frappa dans le cou. En 1917

tranchées. Les allemands n’avaient pas lancé d’assaut depuis une semaine et on présentait qu’un assaut allemand ne devait pas tarder car la semaine dernière, les Allemands avaient lancé une contre offensive. Ils nous avaient détruit deux mitrailleuses et saccagé nos abris. Tout d’un coup, on entendit un sifflement et « BOUM », en plein sur un arbre ! Le pilonnage commença. Les obus éclataient de partout, un d’eux tomba dans notre tranchée. Une heure après, le pilonnage s’arrêta. On entendit

le Front de l'Ouest. À partir d'octobre 1914 et jusqu'aux dernières semaines de la guerre, le front se solidifia en une série de lignes de tranchées lorsqu'il devint clair que toute offensive d'infanterie serait anéantie par l'artillerie et les mitrailleuses adverses. La guerre de tranchée est devenue un puissant symbole de l'inutilité de la guerre. Ses images de jeunes hommes escaladant le parapet de la tranchée pour affronter un maelström de feu menant à une mort certaine ont marqué les esprits

système Galix qui inclut neuf tubes de lancement pour des grenades de 80 mm, des grenades fumigènes, des leurres infrarouges et des grenades anti-personnel.La portée de ce système varie de 30 à 50 m. Deux mitrailleuses complètent l'armement : - 1 Mitrailleuse coaxiale : 12,7 mm  - 1 Mitrailleuse de toit : 7,62 mm MG à commande manuelle depuis les postes chef et tireur ou 7,62 mm MG commandée sous blindage Un des atouts essentiel du LECLERC est sa capacité de tirer en mouvement. Contrairement à ses

pour son utilisateur. On combat aussi à l’arme blanche et à la grenade : spécialité des « nettoyeurs de tranchées ». La sortie des tranchées est particulièrement redoutée des combattants qui avancent alors à découverts, exposés au feu ennemi (mitrailleuses grenades mortiers). L’intensité du feu : l’artillerie lourde (tir d’obus) cause de graves traumatismes corporels (lésions internes, démembrements) et représente 75 % des pertes. Ernst Jünger parle « d’orage d’acier » quand il raconte les bombardements

protéger et avancent petit à petit vers l’ennemi. Celles-ci sont des refuges difficiles à prendre. Les armes se développent et deviennent de plus en plus meurtrières, 70% des soldats sont morts durant cette guerre à cause de l’artillerie. Les mitrailleuses se multiplient mais de nouvelles armes lourdes apparaissent comme les lances flammes, les tanks, les avions de combat ou encore les gaz de combat. Après les bombardements, des soldats spécialisés que l’on appelle les nettoyeurs de tranchées vont

les tranchées, en brisant l'assaut d'une section ; l'emploi des gaz ou des lance-flammes terrorise l'ennemi. • Face à ces armes nouvelles, le poilu monte à l'assaut avec son fusil, ses grenades et sa baïonnette. Les armes automatiques comme les mitrailleuses transforment alors l'attaque en une boucherie sanglante. 3. Des hommes très occupés • Pour les motiver et maintenir la discipline, les gradés ne laissent jamais les troupes inactives. Le poilu accomplit les corvées de rigueur, doit rester propre