Modèle De Solow

60’s on remet en cause cette organisation, peu efficace, on laisse alors plus d’autonomie au salarié (il aurait quelque chose a apporter) mais l’employé garde le même respect, seul l’objectif s’est déplacé. -> Robert Solow, prox nobel d’économie en 1985 : paradoxe de Solow = si il y a une généralisat° des ordinateurs, la productivité devrait augmenter mais il faut former les travailleurs a utiliser ces nouvelles technologies. La baisse du prix des produits s’explique dès lors par le temps à

croissance : o La richesse n’est pas le seul déterminant du bien être o Inégalités, pauvreté et exclusion sociale demeurent des réalités difficiles à ignorer, malgré la hausse du pouvoir d’achat moyen (cf. chapitre 3) o Les impacts environnementaux du modèle de développement fordiste questionnent profondément la pérennité du système (cf. chapitre 5) • 3.1. Les limites du PIB et du PIB/hab • 3.2. Les autres indicateurs • 3.2. Les limites de la croissance Grands problèmes économiques contemporains

juridique, économique, étatique d'un pays et peuvent aussi, par Dans le cadre de l’ouverture des économies et de la exemple, se décliner dans l'application d'un ajustement mondialisation économique, les économies doivent amé- structurel en référence à un modèle d'organisation réputé liorer leur résilience. Par ailleurs, les changements tech- plus efficient. nologiques et la transition vers une économie de la [8] connaissance nécessite une adaptation des structures éco- L'OCDE recommande par exemple en 2012

financiers. C'est-à-dire que le financement de l’investissement se fait de plus en plus par l’émission d’actions et d’obligations. Quelles sont les explications à ces évolutions ? Il y a l’explosion des marchés financiers en France calquée sur le modèle anglo-saxon. En France, c’est à partir de 1986 que cela s’est fait avec le tournant libéral qui privilégiait les marchés financiers. L’augmentation des taux d’intérêt réels à partir de 1982, rend l’emprunt beaucoup trop cher en raison

l'ancienne monnaie avait une valeur inférieure) : c'est l'inflation. Il en résulte que la hausse du niveau général des prix à moyen terme (si on suppose la vitesse de circulation constante) ne dépend que du rapport entre la masse monétaire et le PIB. Le modèle classique repose sur l'idée de prix relatifs, chaque agent avec son revenu doit choisir entre deux biens selon l'utilité qu'il tire de la consommation de chacun des deux biens. Le prix des biens se fera donc selon le plaisir qu'il en tirera au détriment

l’emporte ici. Puis néoclassiques : marchés de fonds prêtables : taux intérêt égalise I&S: loi des débouchés de Say, neutralité monnaie. (Say considère erreur Malthus= confusion S& thésaurisation) tradition des économistes de l’O. ex : Modèle Solow : rattrapage s’explique par le rythme de l’accumulation du K donc par l’ S ; Ou Nurske cercle vicieux de la pauvreté (5étapes) L’épargne en tant que frein à la croissance économique Marx, Epargnants indissociable du bourgeois : contradictions

rapidement réinterprétée, dès 1960, par Robert Lipsey comme une relation entre inflation et chômage. La même année deux des principaux représentants de la “synthèse néoclassique” (interprétation de Keynes par le schéma IS-LM) Paul Samuelson et Robert Solow développent une analyse semblable. Le taux d’inflation peut facilement être substitué au taux de variation du taux de salaire nominal, parce que la liaison entre les deux grandeurs est forte.    D’une part, la hausse des salaires nominaux

chômage involontaire (non provoqué notamment par un refus de travail des personnes estimant insuffisant le salaire versé) permanent qui ne se résoudra pas de lui-même, et proclame une nécessité de l'Etat dans la vie économique. Par opposition au modèle classique (et néoclassique), Keynes propose une analyse macro-économique en termes de flux globaux, où la monnaie joue un rôle primordial. Pour lui, le chômage provient d'une insuffisance la demande effective, qui engendre un équilibre de sous-emploi

années 1950, l'analyse dominante de la croissance était celle du néoclassique Robert Solow : on expliquait la croissance par le progrès technique, mais on pensait que celui-ci trouvait son explication dans des causes externes, qu'il “tombait du ciel”. Les théories néoclassiques contemporaines expliquent au contraire que la croissance est un phénomène autoentretenu, on parle alors de croissance endogène. Dans ce modèle, la croissance peut se poursuivre indéfiniment, car les facteurs de croissance ne

conséquences et rien que les conséquences, confronter ces conséquences avec les données de l’observation, accepter la théorie au moins provisoirement, ou la rejeter, suivant qu’il y a accord ou désaccord, telle est la méthode scientifique ». « (…) Les modèles de la science économique, comme ceux de toute science, se développent en trois stades. Dans le premier sont formulés des façons précises des hypothèses. Dans le deuxième on déduit logiquement toutes les conséquences et rien que les conséquences des