Modèle De Solow

synonyme d'insuffisance d'épargne, rend impossible la réalisation du programme d'investissement, ou bien force à compléter l'épargne par une addition de monnaie créée par l'État, ce qui entraîne des risques d'inflation. Les modèles ou théories développées sur l'épargne Les modèles néoclassiques[4] Les économistes néoclassiques considèrent que le niveau d'épargne est déterminé par le taux d'intérêt. Si celui-ci est élevé, l'agent économique sera incité à épargner car l'épargne lui permettra d'assurer

| | | |- substituer à un modèle productif ancien un | | | |nouveau modèle fondé sur des innovations. | | |Solow : combinaison du facteur W et K |Augmenter la quantité de capital |Plus de machine, donc plus de production, | |PT

développement du modèle qui prend en compte le facteur qualification. Nous verrons comment cette nouvelle théorie peut expliquer la convergence des économies ? Pourquoi certains pays ne convergent pas ? I. Le modèle de Solow avec capital humain Théorie développé par Lucas ( 1988) et Mankie et Romer (1992). Les théories du capital humain vont permettre de prendre en compte les ≠ en termes d’éducation et de qualification de la main d’œuvre. On va donc intégrer dans ce modèle, le travail qualifié

Il existait deux grands modèles de croissance avant la parution du modèle fondateur de Romer. D'abord le modèle keynésien de Harrod-Domar met en avant une situation instable de la croissance à court terme. Puis le modèle de Solow, basé sur des hypothèses néo-classiques, qui conclut à une situation de convergence des économies à un état de croissance stationnaire. Pourtant, ces deux modèles n'expliquent pas certains phénomènes de l'économie. En effet, on ne constate pas empiriquement la convergence

cette base nous tenterons de définir ce que sera sa croissance future, ou du moins les évènements considérés comme les plus probables à venir. Nous regarderons si il est possible d'attribuer à la croissance de la Chine un modèle, le modèle de Solow, et nous sortirons de ce modèle théorique pour constater ses limites dans l'interprétation réelle de la croissance. Dans un premier temps, nous mettrons en avant les points importants relatifs à l'économie chinoise nécessaires pour notre analyse, et d'une

par un accroissement des quantités de facteurs de production mobilisés, • soit par une amélioration de la combinaison productive de sorte que la même quantité de facteurs engendre davantage de produit, • soit par le progrès technique (dans le modèle de Solow), qui augmente la productivité globale des facteurs. On parlera donc selon le cas de meilleure productivité du travail, ou de meilleure allocation des ressources ou des facteurs. En considérant le PIB comme une fonction du capital et du travail

progrès technique et gains de productivité. Marx a pleinement accepté cette définition de la croissance. Modèle de Solow : Pour lui, au contraire, la croissance est infinie. 4 hypothèses en amont de sa théorie : loi des rendements décroissants vérifiée, marchés en CPP (concurrence pure et parfaite), prix parfaitement flexibles, les rendements d’échelle sont constants. Solow ne prend en compte que les facteurs travail et capital. Pour lui, c’est la combinaison de ces 2 facteurs qui

TD d’Économie – Julien Grenet École Normale Supérieure Année 2007-2008 TD 10 : Tests empiriques du modèle de Solow Séance du 11 janvier 2007 Le modèle de Solow a fait l’objet de nombreuses tentatives de validation empirique. Deux approches distinctes ont été privilégiées dans la littérature : une analyse comptable tendant à estimer la part des différents facteurs dans la croissance du revenu par tête ; une analyse en niveau visant à expliquer les écarts de revenu par tête entre les différents

et si on la compare aux pays voisins elle a eu une croissance démographique plutôt lente. D'après certains économistes cette situation de croissance démographique lente n'as pas été favorable pour l'économie française. Mais d'autres auteurs comme Solow ne voient pas cela du même œil. En effet certains pensent même que la croissance démographique est défavorable pour l'économie. Dans le texte qu'on étudie les auteurs vont essayer de répondre à cette question, quelles conséquences aura la croissance

Robert Solow intègrent la courbe de Phillips (1958) au modèle à prix-fixes IS/LM (John Hicks, 1937) pour forger le modèle demande globale/offre globale (AD/AS) en 1960, ils traduisent cette contrainte à court terme sur la production potentielle, par un effet prix : lorsque la demande s'élève au-dessus de l'offre potentielle, la croissance économique n'est qu'une croissance en valeur et non en volume. L'inflation traduit l'excès de la demande globale sur l'offre globale. De plus, les modèles Ricardo-Malthus