Mongo Beti

d'ouvres romanesques qui met sous l'eteignoir (etouffé,cahé), le mouvement de la negritude que la production poétique a fait connaotre  dans les années 30 et 40.Cette periode  connait de grands auteurs  tels que Ferdinand Oyono qui écrit UNE VIE DE BOY;Mongo Beti : LE PAUVRE CHRIST DE BOMBA ; Eza Bota :VILLE CRUELLE ;Sembe,n Ousmane :LES BOUTS DE BOIS DE DIEU ;Bernard Belin Dadier :CIMBIER  1966.Dans leurs romans , ils prennet position politiquement et se considerent comme des militants de la liberation

essentielle sur les musiques d’Afrique. Il fut aussi un grand écrivain français, né au Cameroun. Le fils d’Agatha Moudio. Yaoundé, CLE, 1989. 208 p. Salles H et V – Littératures d’expression française – [AFR84 BEBE 4 fils] Beti, Mongo (1932-2001) Alexandre Biyidi-Awala, dit Mongo Beti fait apparaître dans ses romans les tensions de la société coloniale et post-coloniale. Agrégé de lettres classiques, après avoir enseigné à Rouen, il retourne vivre chez lui au Cameroun, à Yaoundé, où il a ouvert une

s'inscrivent presque toujours et manifestement dans le genre polémique, le pamphlet, et mettent en oeuvre une stratégie de persuasion qui fait passer de l'écriture de la guerre à une littérature de combat. Nous pensons à André Malraux par exemple, Mongo Beti, Amadou Kourouma etc… Ici entre en jeu les notions de genre, de configuration idéologique ou de littérature critique qui reprennent en écho les grandes crises politiques ou sociales et mettent en exergue les considérations formelles et une sociocritique

période sont : Ousmane Sembène, O pays mon beau peuple (1957), Abdoulaye Sadji, Nini, la mulâtresse du Sénégal (1947) et Maïmouna (1952), Ferdinand Oyono, Une vie de Boy (1956) et Le vieux nègre et la médaille (1956), Eza Boto, Ville cruelle (1954), Mongo Béti, Le pauvre christ de Bamba (1956), Ousmane Sembene, Les bouts de bois de Dieu (1960), Chinua Achebe, Le monde s’effondre, (1958) Au-delà de la thématique de dénonciation, ces romans épousent la structure du roman français du XIX : chronologie -

d'ouvres romanesques qui met sous l'éteignoir (étouffé,caché), le mouvement de la negritude que la production poétique a fait connaître dans les années 30 et 40.Cette période connaît de grands auteurs tels que Ferdinand Oyono qui écrit UNE VIE DE BOY;Mongo Beti : LE PAUVRE CHRIST DE BOMBA ; Eza Bota :VILLE CRUELLE ;Semben Ousmane :LES BOUTS DE BOIS DE DIEU ;Bernard Belin Dadier :CIMBIER 1966.Dans leurs romans , ils prennent position politiquement et se considèrent comme des militants de la libération de

propriété de l’occident. Le même point de vue est adopté par Jalee, dans son livre intitulé Le pillage du tiers-monde, par Dumont et France-Mottin dans l’Afrique étranglée, Par Rodney dans son ouvrage titré Et l’Europe sous-développa l’Afrique, par Mongo béti dans La France contre l’Afrique, et par bien d’autres. Cette identification de l’ennemi permettra à l’Afrique de s’en débarrasser et de mieux engager victorieusement sa reconstruction par elle-même.

en 1930. La Guinée était une colonie française, dans un état catastrophique selon certains écrivains. Dès son retour en Guinée, il deviendra ministre puis mourra en 1980. Son premier ouvrage fait parti des classiques africains comme les livres de Mongo Beti. 4. En quelle langue « l’enfant noir » a été écrit ? En quoi ce choix peut être spécial ? pourquoi d’après vous a-t-il fait cela ? L’œuvre a été écrite en français. Le choix de l’auteur peut paraître spécial car le français n’est pas sa

philosophie de « Négritude ». Beaucoup d’autre auteurs ont suivi cet éveil. On notera ainsi Camara Laye, Ousmane Soce, Bernard Dadie, Ousmane Sembene, V.Y. Mudimbe, Ake Loba, Cheick Hamidou Kane, Olympe Bhely-Quenum, Ferdinand Oyono, Tchicaya U’Tamsi, Mongo Beti, Birago Diop et Zamenga Batukezanga pour ne mentionner que peu de l’Afrique francophone. Dans ce groupe, nous notons aussi la littérature africaine en langue portugaise par des auteurs comme Agostino Neto (premier Président de l’Angola), Pepetela

philosophie de « Négritude ». Beaucoup d’autre auteurs ont suivi cet éveil. On notera ainsi Camara Laye, Ousmane Soce, Bernard Dadie, Ousmane Sembene, V.Y. Mudimbe, Ake Loba, Cheick Hamidou Kane, Olympe Bhely-Quenum, Ferdinand Oyono, Tchicaya U’Tamsi, Mongo Beti, Birago Diop et Zamenga Batukezanga pour ne mentionner que peu de l’Afrique francophone. Dans ce groupe, nous notons aussi la littérature africaine en langue portugaise par des auteurs comme Agostino Neto (premier Président de l’Angola), Pepetela

« Amkoullel, l’enfant peul : mémoires ». Arles : Actes sud, 1993. 409 p. • Badian, Seydou (1928- ) Médecin de formation et homme politique. « Noces sacrées : les dieux du Kouroulamini » . Paris : Présence africaine, 1997. 187 p. • Beti, Mongo (1932-2001) « Main basse sur le Cameroun.: autopsie d'une décolonisation ». Paris : la Découverte, 2003. 269 p. ([Re]découverte. • Dadié, Bernard Binlin (1916- ) Né en Côte d’Ivoire, poète et romancier, il est surtout connu pour son théâtre