Moral Obstacle Bonheur

Clèves serait alors l'incarnation des valeurs classiques. On peut remarquer chez l'héroïne un idéal moral puisqu'elle se dévoue complètement à la religion et puisque son but est de rester dans les règles imposées par Dieu. En effet, il apparaît dans ce texte le champ lexical de la vertu et de la religion avec: «s'en repentit» répété deux fois, «devoir», «maisons religieuses», «couvent», «saintes». La morale se doit d'être respectée à cette époque là et c'est ce que la princesse s'efforce de faire du mieux

pauvre Rosette. Prisonniers de leur vanité, ils ne savent plus comment échapper aux conséquences de leurs actions. Perdican rejette ce fatal péché qu’est l’orgueil, Camille supplie le ciel de lui venir en aide, et dans un seul et unique moment de bonheur, ils s’étreignent et se déclarent leur amour. Instant aussi court qu’intense car Rosette, cachée dans une galerie, épie la scène et met fin à ses jours. Responsables de ce dénouement tragique, les deux amants se séparent. Il s’agit d’une scène d’aveu

 PHILOSOPHIE Sujet : Le bonheur résulte t-il de la satisfaction de tous ses désirs ? L'Homme est un être vivant qui comme tous les autres êtres vivants existant sur cette Terre éprouve des désirs qui lui sont vitaux, des désirs qui, si insatisfaits provoqueraient la mort de celui-ci. Le désir peut-être considéré comme la prise de conscience d'un manque. Manger, boire, dormir, ces trois actions constituent en elles la satisfaction des trois désirs vitaux de tous êtres vivants

besoin ? Dans ce sens, il faudrait savoir si vivre sous l’emprise de ses désirs, est-ce encore être libre ? Déterminer les limites de nos désirs sera aussi important, la société actuelle joue t’elle un rôle sur nos désirs ? Les interdits sont-ils des obstacles à nos désirs ? Ce qui suggère à nous interroger sur nos capacités à ne pas vivre dans un monde illusoire, notre volonté doit-elle supplanter notre désir ? Mais alors, peut-on concilier raison et désir ou le désir n’est-il que source d’illusions 

l'extrait étudié, réfute cette thèse et expose la sienne, qui soutient que l'homme est un être libre, et que c'est notre liberté qui fixe ses propres limites. D'après lui, c'est notre situation, que nous avons choisie préalablement, qui détermine les obstacles, les empêchements que nous pouvons rencontrés. Ce ne sont donc pas eux qui limitent notre action, mais c'est notre action qui posent ces difficultés. Qui plus est, s'il existe des déterminismes, ces derniers ne nuisent pas à notre liberté, il lui

de tous nos désirs. Vivant dans cet esprit de "société de consommation", on partage d'emblée l'opinion selon laquelle on atteint le bonheur en réalisant tous ses désirs. Cependant, le désir est par essence lié à la notion de manque. Le désir engendre-t-il forcément de la souffrance ? Est-il dans tous les cas associé à la tristesse ? Ne peut-il pas être source de bonheur ? (…) désirer : Tendre vers un objet que l'on se représente comme source possible de satisfaction ou de plaisir. nécessairement

laisser libre cours. La question "faut-il" semble marquer la nécessité, qu'elle soit morale ou plus simplement pratique (= possibilité de vivre effectivement ou non avec le désir) d'adopter l'une ou l'autre des positions. Ce choix ne vaut pas pour lui-même, mais pour ce qu'il, permet. En effet, le but recherché ici semble de trouver la position adopter face au désir pour parvenir à une certaine sagesse ou à un certain bonheur ou vie agréable.             Il s'agit donc maintenant de voir en quoi consiste

mènent à la démesure. Nos désirs nous rendent déraisonnable. Au contraire, l’inconcient, mené par ses impulsions , va agir dans la précipitation et se met alors en danger. La sagesse pratique désigne le bon usage de la raison dans l’ordre du moral et du bonheur. Sage = homme raisonnable qui prend le temps de réfléchir, contenir ses désirs pour maîtriser son action. Le passioné est aussi l’exact contraire de l’homme raisonnable= esclave de son désir. Amour contraire de raison. Opposition au conformisme

: Faut-il assouvir tous ses désirs ? Nous verrons dans un premier temps que le désir est nécessaire et que donc il faut assouvir tous ses désirs ; puis qu'il ne faut pas assouvir tous ses désirs. Enfin, nous verrons si le désir est conforme à la moral, compatible avec la justice. L'enjeu de ce devoir sera donc de découvrir s'il faut réguler les désirs des uns par rapport aux désirs des autres pour pouvoir vivre dans une société qui fonctionne. I. Le désir est partout, il est nécessaire, il

publié en 1863 en livre. (p.1). La philosophie morale utilitariste : Essai sur Bentham publié en 1838 par Mill. Jeremy Bentham fondateur de la doctrine utilitariste. Utilitarisme en plus d’être une philosophie morale était un vaste mouvement intellectuel, politique et social dont Mill fut la figure de proue. Attention à la vision caricaturale de l’utilitarisme en l’associant à instrumental ou utilitaire. But de l’utilitarisme : « naturaliser la morale » (p.5), traiter des questions éthiques de manière