Moral Obstacle Bonheur

Réflexion 2 : Le bonheur peut-il être un idéal politique ? Question directrice : Le bonheur est-il une affaire politique ? Position du problème : Le bonheur est une aspiration individuelle mais il se partage aussi avec les autres et dépend de nos relations à autrui en général. Je ne suis pas heureux seul. Alors il est vrai, mais semblable, que peuvent apparaître parfois comme des obstacles à mon bonheur. Mais sans eux, je ne peux réaliser mes projets et mes désirs. Le bonheur dépend aussi de mes

fameuse ren- contre avec Socrate. Que lui enseigne donc Socrate ? 1.1.1.2. Socrate Socrate indique à Platon la condition du savoir. Les sens Socrate a un mépris voire une haine envers les sens. Les sens importunent le penseur et l'Homme moral en l'incitant à la passion, à la colère, au plaisir immédiat. Il faut s'en affranchir autant que possible : c'est la condition première d'une connaissance possible et d'une véritable moralité. Mais existe-t-il une connaissance non-sensible, une connaissance

constante de nouvelles satisfactions. Il vie de ses besoins et cherche à se surpasser en recherchant de façon permanente un idéal inaccessible. L’Homme est fasciné par cet insatiable objet du désir qui lui permet d’exister et de projeter vers un bonheur imaginaire. Entre besoins vitaux et désirs fondamentaux, la frontière est difficilement saisissable et ainsi, l’homme se trouve rapidement aliéné par cette dépendance à l’égard du corps, des objets extérieurs et de l’imagination. Toutefois, si

verrons en analysant comment le poète se détache du passé, puis quel nouvel état d’esprit résulte de ce changement avant d’étudier comment est mis en évidence le temps qui passe. Baudelaire rappelle ici un passé plus heureux, bonheur qu’il semble bien avoir abandonné. On remarque d’abord, tout au long du poème, l’oscillation entre un présent (que nous étudierons ensuite) et un passé désormais révolu. On voit ainsi l’utilisation de l’adverbe « autrefois » qui

précisément une dimension de l'expérience humaine qui oppose par sa nature même une forte résistance au travail de la pensée, et qui le plus souvent échappe à son emprise : le désir surgit en l'homme selon ses lois propres, sa spontanéité est pour la raison morale toujours soucieuse de mesure et de modération, une source de turbulence inadmissible. C'est pourquoi réfléchir sur les désirs est sans doute déjà le signe d'une méfiance à leur égard voire d'une tentative de les tenir à distance ou enfin, plus radicalement

Cours sur Les Fausses confidences – 1 : principes du théâtre de Marivaux XVIIe = « grande comédie » développée par Molière : · comédie d’intrigue (action qui progresse à travers les obstacles)· comédie de mœurs (étude de la société) · comédie de caractère (des traits psychologiques fixes déterminent les actes et les sentiments du personnage) Marivaux, au XVIIIe, garde des aspects de la comédie de Molière, mais apporte aussi de profonds changements. ·

« Princesse de Clèves »Sujet : comment peut-on s’expliquer le goût des lecteurs et des spectateurs pour des fictions dont les personnages, inlassablement, souffrent d’aimer ? Support : œuvre intégrale « la Princesse de Clèves », parcours « individuel, morale et société » et vos connaissances personnelles. Plan proposé : I Le lecteur apprécie des protagonistes en proie à des sentiments et émotions fortes. A) Importante de la mise en place de personnages extraordinaires : ils fascinent le lecteur, le fait

Reprends structure idéale du discours. Il indique quel est selon lui le programme de lecture à faire pour être un bon orateur. Il y a un certain nb d’ouvrage que l’enfant doit connaitre. Il fait le lien entre art du discours et éthique/moralité. Valeur morale est valeur essentielle pour l’orateur. Il faut des talents naturels, des doctrines mais aussi le plus haut degrès de moralité. Talents naturels développés par écriture, lecture, entrainement à des exos particuliers et moralité à toute épreuve. Suprématie

constituent en aucun cas un obstacle pour lui. La valeur d’un homme constitue un questionnement récurrent pour Léon l’Africain. Il insiste sur le peu d’importance ont su par leur comportement irréprochable s’attirer le respect de la ville de Fès. Léon accorde une telle importance au plus haut point : « J’avais honte, j’avais mal. Je n’arrêtais pas de courir, les larmes le long des joues, les yeux presque de la position sociale, au contraire des qualités morales. Ainsi, les portefaix (un ancien

ce apportera un changement significatif dans sa vie. Mais elle endort bientôt en déception car son naïf, maladroit mari ne parvient pas à répondre à ses aspirations romantiques. « avant qu’elle se mariait, elle avait cru avoir de l’amour ; mais le bonheur qui aurait du résulter de cet amour n’étant pas venu ». Son romantisme est tellement intense qu'elle pouvait être classée comme l'une des femmes les plus passionnées de la littérature française. On nous dit qu’une grande partie de ses aspirations