Narrateur

« vers le bois » ne semble pas l’émouvoir davantage. Car en effet le narrateur ne semble pas lui-même certain de ce qu’il voit : « « illusion ; c’est si loin… » on peut se demander si c’est le personnage qui est trop loin de la lisière ou bien si c’est l’image qui est trop loin du narrateur de telle sorte qu’il ne peut pas bien voir ce qui s’y déroule. Le détournement de la scène est complète avec le fait que le camarade du narrateur rit, pour une raison qu’on ignore si ce n’est qu’il s’amuse d’avoir

profession du père du narrateur ? Forgeron / Orfèvre 2. Comment se comporte ce père quand il reçoit des invités ? 3. Que représente le serpent pour le père ? C’est son bon génie. Le génie de “sa race”, de sa famille. 4. Que lui apporte ce serpent ? La prospérité 5. Ce livre est-il autobiographique ? Justifiez votre réponse. Oui, Camara Laye y raconte son enfance africaine. Chapitre II 6. De tous les travaux de son père, quel est celui qui passionne le plus le narrateur ? Le travail de l'or

partie la révolte du narrateur, la « bagarre » avant de nous intéresser à l’acte fondateur de l’histoire Plan : I. La révolte du narrateur, la « bagarre » A. La bagarre au collège • C’est le moment du visionnage, au collège, d’un film documentaire sur les camps de concentration (sans doute Nuit et brouillard // rappel du film Un secret) • Les étapes : a) Un élève (« mon voisin le capitaine d’équipe ») se moque des cadavres du film (citez l. 5, 6, 7 / l.12) b) Le narrateur se force à rire

le "statut" du narrateur : narrateur-personnage, narrateur-témoin, narrateur hors de l'histoire. De ce choix, tirer les pronoms personnels et pronoms-déterminants possessifs à utiliser : 1re personne si le narrateur est aussi un personnage ; 3ème personne si le narrateur est en dehors de l'histoire. • Définir le point de vue, c'est-à-dire la position du narrateur (point de vue interne, externe, omniscient). Le narrateur donne-t-il son avis ? Présence et implication du narrateur à choisir.

Dans l'extrait suivant du roman de Guy de Maupassant, Le Horla, le narrateur expose les émotions du protagoniste ressenties au contact de l'Être Invisible. En premier temps, le narrateur illustre la peur qui émane du personnage à l'approche du Horla. La peur du personnage se manifeste lorsque le Horla l'épie pendant sa promenade dans la forêt: « Un frisson me saisit soudain, non pas un frisson de froid, mais un étrange frisson d'angoisse. […] ». (L. 25) On peut déduire qu'il sentait une présence

Indienne d’exil qui est une poésie. III)Liste des personnages : Les personnages sont peu nombreux : Charlie, le meilleur ami du narrateur, et le narrateur qui est présent durant toute la lecture. Dans ce livre il n'y a pas de renseignements sur l'identité du narrateur. IV)Résumé du livre ; L'histoire nous raconte le quotidien de Charlie et son ami (le narrateur) qui sirotent des cafés au soleil en bavardant. Charlie parle à son ami de son chien qu'il a fait euthanasier, car d'après lui

étrange d’un narrateur qui sait tout pour finir avec ces sons et ces notes qui seraient en fait l’épopée d’une histoire d’amour ou celle d’une relation passionnelle. Le statut du narrateur ferait office de discussions dans ce passage. Qui parle? Qui vit cette expérience unique, celle qui jalonne tout l’extrait ? C'est apparemment un narrateur à la fois omniscient et interne qui relate une expérience insolite, celle de Swann et les notes de musique. Il faut dire que ce narrateur nous a

genre fantastique. Elle se présente sous la forme dun journal intime, cest donc un récit à la 1ère personne, le « je » est à la fois personnage et narrateur. Ce journal débute le 8 mai et se termine le 10 septembre. Le passage que nous allons étudier est daté du 19 et du 20 août, nous sommes donc très proches du dénouement. Le personnage-narrateur est hanté par un être étrange : le Horla. Dans notre extrait, le personnage est persuadé de lexistence de cet être car il la vu, et veut désormais le

Edmond Dantès et les personnages secondaires sont les trois hommes. Dans Les Misérables de Victor Hugo, le personnage principal est le forçat Jean Valjean, les personnages secondaires sont le matelot et la foule. 2. Dans les trois textes, le narrateur est omniscient. En effet, il connaît les pensées et les sentiments des personnages. Commentaire : La Chartreuse de Parme La Chartreuse de Parmes est un roman réaliste écrit pas Stendhal, de son vrai nom Henri Beyle, un écrivain romantique

Grand Meaulnes « Me voici … tant aimée… » La mort d'Yvonne : la fin de la grande aventure, mais pas la fin du rêve L’extrait représente le scène de désolation dans le domaine d’Yvonne de Galais que précède la morte de cette femme. Récité par le narrateur, l’extrait montre que le protagoniste, même ayant déjà commence la vie adulte, garde ses impressions naïves d’adolescence (le rêve). I. La fin de l’aventure a. De-romanisation de la mort Le premier passage introduit une atmosphère de désolation