Nicolaïsme

XIème siècle, une partie du clergé séculier est critiquée pour son immoralité et son incompétence. Le pape engage donc un mouvement de réforme. Il condamne des pratiques jusque-là acceptées, comme la simonie (l’achat de fonctions religieuses et le nicolaïsme (le concubinage des prêtres). Grâce à cette réforme grégorienne, le pape, à la tête d’une nouvelle Eglise, cherche à apparaître, en tant que représentant de Dieu, comme supérieur à tous les rois et princes. De la paix de Dieu à la croisade

Afin de rechercher le pardon et pouvoir accéder au paradis, les chrétiens et surtout les clercs doivent suivre des règles très strictes. Suite aux dérives de l'église,comme la simonie, qui consiste à acheter des charges ecclésiastiques, ou bien au Nicolaïsme, qui consiste au mariage des clercs, qui était interdit par l'église. De ces dérives naît un désir de réformer l'église par le pape et de retourner aux valeurs fondamentales : vœux de pauvreté, réclusion dans un endroit clos et isolé,ne pas avoir

à l'exclusion de tout laïc qu'il s'agisse de l'empereur ou de l'aristocratie romaine. Pour l'Église, il s'agit de lutter contre deux phénomènes atteignant les mœurs du clergé car relâchement, le nicolaïsme et la simonie. Le terme de simonie désigne la concession de charges contre un paiement. Le nicolaïsme c'est le mariage des prêtres. La réforme grégorienne a pour objet de les « éjecter ». Le Pape Grégoire VII ne va se contenter d'affirmer sa suprématie au sein de l'Église, il va affirmer la supériorité

l’Église, suite au déclin des patriarches de Jérusalem, Antioche et Alexandrie, terres conquises par les musulmans.   Au XIe siècle, la réforme grégorienne (pape Grégoire VII) vise à améliorer le niveau du clergé. Lutte contre le développement du Nicolaïsme (concubinage des prêtres) et la simonie (achat d’une charge ecclésiastique).     II-               Être chrétien en Occident (XIe-XIIIe).   A)    L’Église est au cœur de la vie de l’homme médiéval. La religion est visible : églises et cathédrales

la société chrétienne. Il y a deux aspects essentiels dans la réforme : * Le clergé doit affirmer sa perfection : Il faut lutter contre deux travers qui choquent les contemporains, que sont la simonie et le nicolaïsme. La simonie est le fait de vendre des sacrements. Le nicolaïsme est le principe de cooptation (faire que le successeur d’un clerc soit de sa famille ou son ami. C’est la mise en place de dynasties héréditaires). Le clergé doit avoir valeur d’exemples, pour des fidèles de plus

d'architecture monastique.Mais l'évêque de son diocèse de Rennes, Sylvestre de la Guerche, se prend d’avoir des idées très strictes : il dénonce la « simonie », c'est-à-dire le trafic des charges ecclésiastiques (être curé de père en fils) et le « nicolaïsme », qui est le manquement des clercs à la chasteté (qui signifie qu’il faut s'abstenir de toutes pratiques, de toutes pensées sexuelles) et demande à Robert de l’aider et de prêcher. Il va donc le soutenir. Urbain II lui confie officiellement une

seigneurs ce qui entraine des abus : les rois et lempereur veulent nommer les eveques . les clers paye pour obtenir une charge ecclésiastique (simonie) . la regle du celibat est bafouer par des pretre vivant comme delaique avc des femmes et enfants.(nicolaisme) la paoté souhaite soustraire l'église au pouvoir temporel (royaute ) notamment en empechant les rois et les princes de nommer les eveques et cherche a imposer une theocratie pontifical . C- reforme gregorienne pour lutter contre cest

Le clergé intègre la pyramide féodo-vassalique = abbés, évêques snt des seigneurs soummis au Roi= Les grands segneurs vont avoir une emprise sur les f° religieuses Crise de l'Eglise= pretres ou eveques n'ont pas la vocation (proches nommés) -> Nicolaisme (un pretre se mari) et la simonie (= trafic de certains objets religieux ou de faire trafic de certaines fonctions écclésiastiques) La paix de Dieu = institution fin Xè, sous la réforme d'ecclésiastiques qui se sont réunis pour regler les troubles

nombreux abus : les clercs payent pour obtenir un poste important c’est la SIMONIE (paiement d’une charge ecclésiastique. De plus le niveau spirituel et moral des clercs et des moines est jugé médiocre en raison de pratique comme la SIMONIE et le NICOLAISME (mariage des prêtes) Devant ces problèmes, une réforme de l’Eglise s’engage sous l’impulsion du pape GREGOIRE VII (1073-1085) ancien moine de Cluny, c’est la réforme grégorienne : elle vise à restaurer la dignité et l’autorité du clergé en les

qui représente le 10e de la récolte. Le renforcement de l’autorité pontificale L’église est confrontée aux nombreux abus des membres du clergé. Certains se considèrent comme de riches seigneurs tandis que d’autres ne respectent pas les règles nicolaïsme. Enfin des clercs n’hésitent pas à vendre les sacrements ou charges simonie. Le Pape juge « médiocre » le comportement des clercs. L’institution de l’Eglise est fragilisée par les abus du clergé. Le Pape Grégoire VII lance alors une vaste réforme