Onomastique

avec des poignées de foin ; ce qui se fait pour les fenaisons, et ça agace les femmes, oh ! oui, les hommes le savent bien. Et tout d’un coup, elle se met à penser aux hommes.  […] Son corps est en travail comme du vin nouveau. » ( Par étude onomastique, on s’aperçoit que le prénom que GIONO a donné au personnage principal n’est pas anodin : Panturle… >> PAN(T)URLE contient le nom de la divinité païenne « PAN », tant mise à l’honneur dans l’œuvre. Aussi, on pourrait penser que « URLE »

commence un réquisitoire II - Le réquisitoire du nègre, porte-parole de Voltaire présentation du maître caricaturale : «fameux négociant» : ironie ici dans le poids de l’adjectif polysémique = réputé pour son sens du commerce ou sa cruauté ? / onomastique porteuse de satire ici : qui a la dent dure (allitération qui renvoie à sa cruauté) avec connotation hollandaise pour rappeler le commerce triangulaire / le nom seul permet d’éviter une trop longue caractérisation car en un ou deux mots, Voltaire

d’oralité ; le texte est comme une conversation * Utilisation de l’ironie : le lecteur est capable de réfléchir 2. Une fable mémorable * Le ridicule de l’anecdote, qui renvoie à Molière et à sa critique des médecins et des pédants : onomastique + simplicité de la « solution » * Un récit facile à retenir avec une morale multiple et adaptable * Fontenelle prend plaisir au dévoilement de la vérité et à la réflexion et sait le faire partager Conclusion : * Bilan : Fontenelle

silence qu’on sent très pesant. -Champ lexical de l’anatomie : « gosier »l.2, « pieds »l.3, « main »l.4, « chair humaine »l.11, « boyaux »l.25. Il nous décrit le puits de la même façons que les hommes, ce qui animalise encore plus le puits. Onomastique de « Voreux ». Le titre de cette extrait fait penser au champ lexical de la voracité que l’on retrouve tout au long du texte. Discours direct : « -Et quand ça casse ? –Ah ! Quand ça casse… »l.19-20 Il utilise le discours direct pour rendre la

quelques exercices et quelques recherches + cours : voir plus bas). - lire la nouvelle : quelques questions pour vérifier les prérequis : espace et temps (époque, durée de la fiction) ; narrateur, focalisation, personnages : carte d’identité, onomastique… - ligne chronologique :placer Maupassant sur la ligne du temps et Renoir (Père et fils). 2)Donner le titre de la lecture cursive pour dans 3 semaines : Thérèse Raquin d’Emile Zola. Justification : autre écriture réaliste ; lien avec le groupement

parole : pers de rang noble = ont le pouvoir de la parole) pers de rang inférieur ne sont là que pour mettre en avant cette parole). Les héros tragiques : leurs noms sont empruntés à l'histoire antique / ou mythologie et indique leur rang. Comédie ; onomastique : Le nom donne une indication sur le type de personnage (ex :Le pers. Géronte incarne un père âgé = Géronte veut dire vieux cf.gérontologie). Pièce contemporaine (XXe): Beaucoup n'ont pas de nom. ( Refus de l'auteur de montrer la réalité, le pers

n’existe pas en dehors du roman et de la vision que nous en avons. Cette vision est donc globale, ainsi, elle permet la compréhension du personnage dans sa totalité. I) Thèse : Un personnage est simplifié et construit a) Analyse onomastique ( Nom, prénom, surnom ... ) b) Description, caractérisation directe, personnage type c) Evolution du personnage simplifié, construit II) Antithèse : Un personnage est plus complexe qu'il n'y parait a) Personnes

important au moins important. Commence par Candide, personnage central (on le voit car personnage éponyme), puis Monsieur le Baron de Thunder-ten-tronck, puis Madame la Baronne, puis Cunégonde, son frère et pour finir Pangloss. Voltaire fait une onomastique (c’est-à-dire un jeu entre le nom des personnages et leur caractère) : * Candide : il a « un esprit simple », établit une relation entre sa physionomie et son caractère « sa physionomie annonçant son caractère ». Selon ses origines c’est un

retranchements. Vous devenez péremptoirement beauf, la femme n’est plus qu’un objet pour vos yeux, un objet de désir infini. Elle a perdu tout aspect humain car elle est déshumanisée par certains rites machistes. Le Strip-tease  en est-il un ? Il y a une onomastique du strip-tease qui fait que dès que l’on évoque le mot, une nébuleuse d’images arrive à notre cerveau. Pourtant, le strip-tease porte ses propres contradictions : désexualiser la femme au moment même où on la dénude…Ce spectacle érotique serait

listes - le souper (XXXV) - les jeux (XX) c) scatologie (euphorie de la transgression) - la poésie au service du «bas du corps» - une recherche de l'unité - le torche-cul, un exercice de poésie (XII) - onomastique de la braguette (X) B/ Une épopée parodique a) la démesure du genre - un roman ? - une épopée ? - l'enracinement dans un terroir - généalogie du héros (I) b) la parodie du genre tourne la guerre