Oreste Un Personnage Tragique

la plus archaïque, a pour protagoniste un chœur de jeunes filles à la fois victimes et coupables, dans leur désobéissance à la loi fondamentale de la vie qui veut l'union entre l'homme et la femme. Mais l'attention est concentrée sur la situation tragique du roi d'Argos, déchiré entre le respect des lois de l'hospitalité et la crainte de représailles s'il accueille les suppliantes. La tragédie faisait partie d’une trilogie comportant “Les Égyptiens” où, pour assouvir une rancune dynastique de leur

Correction DNS n°2 : Plan détaillé * « Mécanique plaquée sur le vivant » : définition du Rire par Bergson, qui s’applique très bien à Oreste. * On pouvait se servir de Bergson pour contrer René Bray. I) Épanouissement du rire (Thèse de René Bray). 1.1 En dépit d’une comédie de genre noble. Le Misanthrope se fonde sur l’écriture codée de la comédie. On a des stéréotypes dans Le Misanthrope : Le jaloux (Alceste) La séductrice (Arsinoé) Le couple Eliante-Philinte :

15 22 25 32 1.1.2 La Tragédie classique: un genre normalisé figé par des principes J.2. Une sensibilité classique 1.2.1 Les ornements de la fable ].2.2 La morale du grand siècle CHAPITRE II: LA CONDITION DU HÉROS TRAGIQUE 2.1 L' ambiguïté du personnage racinien 2.1.1 Une généalogie complexe 2.2 Un théâtre de la cruauté 2.2.1 Les racines du mal 2.2.2 La pari de l'Autre ou l'expression de la responsabilité 38 .41 47 51 56 63 CHAPITRE III: LE MÉCANISME DES PASSIONS

RYNGAERT, Jean-Pierre, Eléments pour une histoire du texte de théâtre, Dunod. -BERTRAND, Dominique (1999), Lire le théâtre classique, Dunod. -CHIRPAZ, François (1998), Le tragique, PUF. -THOMASSEAU, Jean-Marie (1995), Drame et tragédie, Hachette. -UBERSFELD, Anne (1996), Les termes clés de l’analyse du théâtre, Mémo Seuil. -Tragiques grecs. Eschyle, Sophocle, Gallimard. 1. INTRODUCTION Le terme « théâtre » désigne à la fois le genre littéraire et l’édifice où se joue une pièce

L’intrigue est issue de l’histoire ou de légendes ; les personnages sont généralement tourmentés par de fortes passions. La tragédie classique avait ses règles, dont la fameuse règle des trois unités : l’unité de temps (l’action ne doit pas dépasser 24 heures), l’unité de lieu (il faut un décor de palais pour une tragédie, un intérieur bourgeois pour la comédie) et l’unité d’action (il faut tenir l’intrigue à une action principale). Les thèmes tragiques sont souvent l’héroïsme, l’honneur et la vengeance

Pyrrhus est confrontée. Délaissée par celui qu'elle aime, la jeune femme, sous l'emprise de la jalousie ordonne alors à Oreste d'exécuter son bien-aimé. Désemparée par sa solitude, elle se questionne longuement lors de la première scène de l'acte V sur l'ordre qu'elle vient d'ordonner. Ce dernier acte ouvre un monologue tragique et déclencheur des événements à venir. Hermione, un personnage haletant ? Pour répondre à cette problématique, il conviendra dans un premier temps d’analyser ce monologue afin de

Phyrrus n'accepte pas ce revirement que Phyrrus lui a annoncé à l'acte précédent. Thème : Le rideau s'ouvre à la suite de ce conflit, Hermione apparaît seule sur scène blessée par cette rupture. Le monologue (tirade plutôt longue présentée par un personnage seul en scène) introduit un pose dans l'action, un moment pathétique où Hermione exprime ses émotions (le monologue est un moment de repos). Mais dans ce monologue, Hermione semble vouloir prendre une décision et se venger. Cette décision vas marquer

la plus archaïque, a pour protagoniste un chœur de jeunes filles à la fois victimes et coupables, dans leur désobéissance à la loi fondamentale de la vie qui veut l'union entre l'homme et la femme. Mais l'attention est concentrée sur la situation tragique du roi d'Argos, déchiré entre le respect des lois de l'hospitalité et la crainte de représailles s'il accueille les suppliantes. La tragédie faisait partie d’une trilogie comportant “Les Égyptiens” où, pour assouvir une rancune dynastique de leur

rois, des princes ou des personnages issus de la légende et de l’épopée ; - Et les comédies qui racontaient des histoires drôles, qui représentaient surtout les conflits familiaux. Une troisième forme de pièce existait : Les dithyrambes, qui étaient des chants religieux. Les grands Auteurs Grecs Les auteurs, que l’on appelait des dramaturges, étaient payés par l'état. Ils s’inspiraient des héros de la mythologie, comme Hercule ou Thésée, – ou de grands personnages de la Guerre de Troie comme

comique ou Anouilh, La Répétition ou l’Amour puni ou Genet, Les Bonnes (Lire une œuvre, p. 155) Groupement de textes extraits du manuel : – Corneille, L’Illusion comique, p. 147 – Marivaux, Le Jeu de l’amour et du hasard, p. 145 – Pirandello, Six Personnages en quête d’auteur, p. 150 – Genet, Les Bonnes, p. 152 • Objet d’étude : les héroïnes féminines Œuvre intégrale : Musset, Les Caprices de Marianne ou On ne badine pas avec l’amour, ou Giraudoux, Électre, ou Anouilh, Antigone, ou Beckett, Oh les beaux