Paralogisme

logique mais absurde « si » « car » « si vous n'aviez pas ». Pangloss et le seul a ne pas travaillé. Escroquerie intellectuelle : perso désagréable et incurable. Contradiction entre ce qu'il dit et ce qu'il fait : logique complétement absurde : paralogisme. « cultiver notre Jardin » : subvenir au besoin par rapport a son propre besoin : savoir résonner pour soi même, construire par soi même, récolter une sagesse et un bonheur simple que l'on trouve ds une vie simple et heureuse : contraste avec

pouvons encore la distinguer comme fallacieuse? En un mot, en tant qu’un outil, la qualité de l’argument n’est pas garantie. Par conséquent, les destinataires risquent toujours d’être trompés, soit par le Sophisme, le mensonge intentionnel, ou par le Paralogisme, une faute inconsciente de raisonnement. 3. L’argument n’est pas la meilleure par nature mais de façon contrôlée Étant donné la propriété de l’argument comme un outil, les aspects positifs et négatifs y sont en même temps internalisés. On ne

en établit les critères et les conditions. Aristote = 1er au -4ème s. à tenter de construire la logique. Codification et explication des règles de la démo. Logique d’Aristote→ dimension normative : en dégageant ces règles, il met en avant des paralogismes (=démo trompeuses). * Le syllogisme Syllogisme= prototype de la démo. 12 formes établies par Aristote. Exemple : tous les hommes sont mortels. Tous les philos sont des hommes. Donc tous les philos sont mortels. * Une science formelle.

trompent quelquefois. Comme nous devons rejeter comme faux tout ce qui sensible (les sens) n'est pas absolument certain → les sens ≠source fiable de nos connaissances Erreurs de raisonnement Argument du rêve Nous pouvons nous tromper en raisonnant (=paralogismes) dans les matières les plus élémentaires → raisonnement ≠ fiable pour trouver fondement certain Pex.:2+2=5 Parfois nous ne pouvons pas faire la différence entre l'état de veille et l'état de rêve. Donc toutes nos pensées que nous avons en état

mots de son interlocuteur (schizophrénie, démence).  Les paralogismes (utilisation de mots détournés de leur sens) et les néologismes (création de mots) sont fréquemment observés au cours de la schizophrénie. Exemple de paralogisme et de néologisme dans le discours d'un patient schizophrène : « Je dispose des pelottes de biduli [néologisme] aux quatre coins de ma chambre pour ne pas recevoir les ondes qui viennent des betacams [paralogisme] qui tournent autour de la terre. »  Glossolalie : langage

connaissance d'origine sensible.  Sa critique impitoyable n'épargne même plus les mathématiques et la science. En effet « il y a des hommes qui se méprennent en raisonnant, même touchant les plus simples matières de géométrie, et y font des paralogismes ». Tout comme le savoir concernant la terre, qui était considérée comme plate et immobile au centre de l’univers, était de l’ordre de l’opinion en tant qu’il s’arrêtait à l’apparence sensible (ce qui apparaît aux sens). Ainsi l’Homme se trompe

être perçue. Le philosophe allemand Emmanuel Kant fait également partie de ceux qui ont critiqué le dualisme cartésien. Mais en même temps, il défend la forme de dualisme entre le sujet et l’objet qui oppose l’a priori et l’a posteriori. Le paralogisme de la substantialité est l’un des arguments posés par Kant. Il précise que le moi n’est pas un attribut ou une propriété de la substance, mais qu’il est plutôt une substance. Il explique, « Je puis dire de toute chose en général qu'elle est une

à considérer tout ce qui est douteux comme faux. Alors tout devient faux : on se rend alors compte que les sens sont trompeurs, que l’on ne peut pas s’appuyer sur les conclusions de nos raisonnements ou démonstrations (risque de commettre des paralogismes) et qu’on peut même douter de la réalité de notre pensée. .Quelle est l’autre hypothèse que fait Descartes pour jeter le doute sur l’existence du monde et de nous-mêmes pour en arriver cependant à la même conclusion : au plus je doute, au plus

raisonnement et prouve une certaine liberté. Descartes doute des sens parce qu’ils sont trompeurs, mais ne le sont-ils pas tout le temps ? De même, il doute des sciences puisqu’il y a forcément une ou des erreurs de raisonnement, qu’on appelle paralogismes mais aussi des pensées qui lui viennent quotidiennement à l’esprit. Quelle est alors la seule et unique certitude qui résiste à ce doute méthodique ? Il reste le « moi » comme Cs et comme capacité à penser : il dira donc « Cogito ergo sum »

première source de certitude à apparence indubitable sont nos sens, en effet nous pouvons nous faire tromper par nos sens de par le fait qu’ils peuvent refléter d’une illusion, pour exemple prenons les illusion d’optiques. Sur un second plan le paralogisme peu être une source d’erreurs et de doutes. En effet un raisonnement qui peu paraitre avoir un sens peu s’avérer complètement faux. Les „Pensée rêveuses“ sont également une source d’erreurs. Pour Descartes il n’existe qu’une source totalement fiable