Puis Je Juger La Culture

spécifique devant ce qui est, puisqu'elle consiste à juger ce qui est en fonction d'un idéal, en fonction de ce qui doit être, et qu'il faut réaliser. Enfin, lorsque le réel est pris comme moyen qu'il faut compléter ou corriger en fonction de ses besoins, on établit un rapport technique au monde. Dire que tout est technique, ce serait appauvrir le rapport de l'homme au monde. Or, ces différents rapports au monde se trouvent mêlés en chaque homme. On peut juger selon la vérité, la sainteté, la beauté, le

homme qu’il est plus conscient qu’un autre?” suppose une supériorité de conscience entre les hommes pour répondre à cette question nous allons étudier “l’homme un être conscient” en nous basant sur la conscience psychologique commune à tous les hommes puis dans un second temps nous tenterons de trouver l’idée de “supériorité de conscience” en se basant sur la conscience morale. I-l’homme un être conscient Dans un premier temps nous pouvons dire que tout homme est doté de conscience,cette conscience de

monde a, un jour, eu une expérience que ce soit de près ou de loin avec la mort. La mort peut susciter diverses émotions : la peur, l’angoisse, la colère, la tristesse,… Mais elle peut aussi être signe de joie et de fête. Tout dépend de l’époque, des cultures, du peuple et des coutumes de ce peuple. Dans la société actuelle, la mort est un sujet sensible. Les questions qui reviennent le plus souvent sont « qu’est-ce que l’enfer ? », « le paradis existe-t-il ? », « la théorie de la résurrection est-elle

par l’homme de sa responsabilité sur ses actes et sur l’organisation du monde devait correspondre à une opération de rupture avec le poids pris par Dieu, dans la culture du Moyen Âge sur la manière dont les hommes concevaient la source, la direction et l’ampleur de leurs actions…la liberté est jugée nécessaire pour que l’homme puisse être jugé coupable et punissable. Labrusse-Riou[2] dit qu’en droit la responsabilité ne peut être engagé qu’en raison de ce que l’on fait ou ne fait pas et ce que

decouvre que sa mere Kamouma dans la misere totale,ces terres vendues par son pere. Ses oncles qui sont au courant de son temoignage l'ont nié ,le seul survivant est son oncle Slimane. Amer a commencé par racheter ses terres le village l'attend pour le juger  Ramdane qui a marié sa fille Chabha a Slimane le conseilla que le temps changera. Quelque temps apres Amer s'est reconcilié avec son oncle Slimane tout va a merveille il le chargea meme de s occuper de ces terres. Dans ce roman Feraoun nous raconte

son oncle, le cardinal Jean Du Bellay, part à Rome pour devenir secrétaire. Pour un humaniste comme lui, le séjour dans la ville de Rome apparaît au départ comme exaltant et prodigieusement riche et intéressant. Rome est en effet le berceau de la culture européenne et humaniste du XVIème siècle, et qui plus est le berceau de la chrétienté. Mais la découverte de Rome est caractérisée par une grande déception et une condamnation morale que consignent les deux recueils romains de Du Bellay, Les Antiquités

Bibliographies I- Définition des deux concepts a- Le multiculturalisme Etymologiquement du latin « multus », nombreux, abondant, en grande quantité et «cultura », culture, agriculture. L'adjectif multiculturel qualifie la cohabitation de différentes cultures. Le multiculturalisme désigne la coexistence de plusieurs cultures (ethniques, religieuses…) dans une même société, dans un même pays. Le multiculturalisme est aussi une doctrine ou un mouvement qui met en avant la diversité culturelle

entre 15 et 30 ans. Les jeunes veulent se différencier des « vieux » comme ils disent. Pourtant, phénomène assez bizarre pour des personnes qui clament haut et fort leurs différences, ils sont très durs entre eux. Les jeunes ont tendance à se juger entre eux. Et la plupart du temps, ce sont des jugements durs, qui entrainent des exclusions. Pour éviter ces exclusions, il faut se fondre dans le moule. Etre différent OK, mais ne pas être trop différent, sous peine de se faire traiter de marginal

Légalement :     On peut rire de tout simplement parce qu’on peut parler de tout et donc se moquer de tout,  c’est la liberté d’expression. On peut juger l’opinion d’autrui immorale, fausse, stupide,  scandaleuse, blessante mais il a le droit de l’exprimer, même sous forme de plaisanterie  (surtout sous forme de plaisanterie). Le fait que ce soit drôle ou non ne change rien. Nous  sommes donc légalement autorisés à rire de tout.     Psychologiquement :  On peut donc se demander si l’humain supporte le rire sur des catastrophes qu’il a vécu 

Dissertation de Philosophie Sur notre planète, chaque être humain admets de nombreuses différences selon leurs cultures, leurs sociétés, leurs passés et leurs actes. Chaque vie paraît différente. Pouvons nous s’accorder sur des vérités morales ? A priori, non. Or, le fait d’accepter les choix d’un individu, serait ce plus ou moins une vérité morale ? Ainsi, on se permet de poser l’hypothèse : « Peut t’on s ‘accorder sur des vérités morales ? » Le relativisme culturel est le privilège