Querelle Des Investitures

parlementaire classique vont essayer de revenir sur la pratique gaullienne de suprématie du Président de la République pour rétablir un fonctionnement plus parlementaire des institutions, conformément à leur interprétation du compromis de 1958 (par exemple : querelle de l’arbitrage, art. 5 de la constitution). Il est donc essentiel de dresser le bilan de la tradition parlementaire française qui depuis la crise du 16 mai 1877, s’identifie avec la République. A la différence des Etats-Unis ou de la GB

des partis la rédaction de son programme et ni la composition de son ministère. Après son discours, le 17 juin 1954, lors de son investiture il obtint une majorité avec 419 voix. Plusieurs partis votèrent pour lui tel que le parti communiste, la SFIO, les radicaux, les républicains sociaux et une partie des modérés. Seul le MRP ne vota pour lui. Avec cette investiture, PMF, composa son gouvernement aussi composite que sa majorité et aucun socialiste ni communiste sont dans la composition du gouvernement

impérial traverse à tous points de vue une crise grave, au Xe siècle, et il faut attendre la réforme grégorienne (seconde moitié du XIe siècle – premier tiers du XIIe siècle) pour que le pape n'affronte l'Empereur germanique, lors de la querelle des Investitures. Cette dernière, qui s'achève sur un compromis, est déterminante pour assurer l'indépendance du siège apostolique. Au XIIIe siècle, enfin, la papauté triomphe, grâce à son arme principale : l'excommunication, à son rôle dans l'essor de la

discours de Bayeux du 16 juin 1946, et le discours d’Epinal du 29 septembre 1946. Le 16 Juin 1946, De Gaulle tient à Bayeux un discours où il dit que le projet de Constitution de 1946 n’est pas un bon projet. Il dit que ce projet livre la France aux querelles des partis politique. Selon lui, il faut donner au Président de la République plus de pouvoirs. Ce discours a lieu juste après l’échec du 1er référendum et juste avant que la constituante se mette à rédiger un second projet. Selon lui, c’est du chef

législatif : - Conseil d’Etat Nommé par l’Empereur. - Sénat -Corps législatif Elu par le peuple au SUMD. Il reprend en cela la technique mise en place par son oncle : plus on multiplie le nombre de Chambres, plus on augmente le risque de querelles entre chacune d’entre-elle, chacune souhaitant être plus forte que sa voisine. C’est l’application politique de l’adage populaire : « diviser pour mieux régner ». Nous le notons d’ailleurs au travers du Conseil d’Etat chargé de rédiger les lois

rois. L’église soutient très vite le pouvoir des rois (exemple : baptême de Clovis qui scelle déjà une alliance du trône et de l’autel). On va avoir un conflit très fort qui va organiser toute l’histoire politique du moyen Age. C’est la querelle des investitures. C’est la question de savoir, jusqu’où doit aller cette alliance entre l’église et l’autel ? Cela mène à des guerres et des excommunications (le pape excommunie des rois). III) Une institution et un sentiment religieux qui évolue :

concrète, pratique de son élection ne lui permettent pas toujours d’obtenir un grand poids politique. Vincent Auriol a été élut dès le premier tour en 47. Mais son successeur7 ans plus tard sera élu au 13e tour de scrutin, nous somme en pleine querelle de la CED, c’est en décembre 53. L’élection d’Auriol a été facilitée par l’accord des parties politiques en dehors de l’assemblé, qui se sont partagé entre eux les présidences et dans ces parties il y a le PCF, SFIO et les radicaux. Ce sont les anciens

à la tête d’un empire centré sur l’est. L’Angleterre et la Normandie. Contexte religieux. L’église est une force spirituelle qui a malgré tout connu des crises. Notamment le grand chiisme (5 patriarches dont 4 à l’est) et des querelles de dogmes. La papauté est le garant de la restauration impériale de Charlemagne. Michel Cérulaire fait fermer les églises latines de Byzance. Le pape envoi un léga à Byzance. Il est mal accueilli. Michel est excommunie le pape en 1054. L’église

gallicanisme politique ou l église a été directement placée sous l autorité de la royauté(II) I) Le gallicanisme religieux : limité le pontificat sur la France A) la formulation de l’Eglise gallicane, issue de la querelle entre la royauté et la papauté La querelle avec la papauté se noue sous le règne de Philippe le Bel et l’oppose à Boniface VIII. En deux phases aiguës, le conflit se résout au profit de la royauté française et débouche sur le gallicanisme, théorie qui fait du roi le

l'Eglise de la tutelle des laïcs puissants, et principalement de l'empereur. Il voulut mettre fin à l'investiture des évêques par les princes. Le long conflit qui l'opposa à Henri IV, et qui dura sous leurs successeurs, est connu sous le nom de Querelle des Investitures. L'épisode le plus illustre en est l'humiliation de Canossa : l'empereur avait prétendu faire déposer le pape par un synode allemand réuni à Worms, Grégoire l'avait excommunié et avait délié ses sujets de leur serment de fidélité, les princes