Réfutation

plaindre que d'autre paysans pauvre * L’intérêt du maître = ménager ses esclaves comme ces bêtes de somme B- Ligne 5 à 18: L'art de convaincre: La thèse = aucune de ces 4 assertions (arguments) n'est vrai 1er argument de Condorcet = Réfutation pur et simple de l'argument des esclavagistes = C'est un contre argument ( Discutions du degrés de maltraitance) → La maltraitance des esclaves noirs est une réalité dur → Cette argument est suivi de sa justification: - Les '' témoignages''

parties Partie 1 : avis du peuple « le bon sens » qui veut démontrer que nous ne sommes pas libre de par notre impuissance… Partie 2 : il convtient de prouver que nous sommes libre : thèse Fonction (ex : énoncer la thèse, de l’illustrer par un ex, réfutation d’idée, conséquence, objection, concession à l’opinion…) La première partie a pour fonction de mettre en avant l’opinion publique qui sera réfuté dans la partie 2. Thèse La thèse de Sartre est en effet qu’il y a une liberté qui dépend du degrés

En quoi ce dialogue met-il en valeur des stratégies et des référents différents pour la validation de chaque thèse ? Nous verrons tout d’abords la vivacité de la narration, puis la stratégie de Sépulvéda : une argumentation spécieuse, et enfin la réfutation de Las Casas. I. LA VIVACITE DE LA NARRATION 1. Les trois interlocuteurs Dans ce récit à visée argumentative, le narrateur présente les acteurs de ce procès à travers leurs comportements et leurs paroles : Sépulveda, le docte philosophe nourri

discussion mais il trouve encore plus étonnant que certains ne veulent rien entendre sur la réfutation de leur opinion. En effet, que leur opinion soit vraie ou pas, certaines personnes s'en fichent, elles ne veulent rien entendre, pour elles, leur opinion est dans le vrai, point final. Pour John Stuart Mill, cela veut donc dire que leur opinion ne vaux rien. En effet, si ces personnes ne veulent pas entendre les réfutations c'est qu'elles ne peuvent les prouver. Il affirme que beaucoup de personnes pensent

cette argument. l.3 : S’il ne s’agissait que de cela. l.7 : Particule « pas » le forclusif, il officialise la négation la renforce, il officialise le principe de la réfutation aussi. l.7 : « ni ni » réfutation, sa coordonne. Paragraphe 3 : ne doit pas l.10, réfutation. Paragraphe 4 : reprise de la négation : « nions » l.7. La simulation d’orale est sensibilisée par des verbes de paroles et l’oralité de l’échange dans un débat presque : « dit-on »

d’étudier la rhétorique qui donne le pouvoir de faire que le peuple veuille ce qu’on veut soi-même. Polos reconnaît en paroles qu’il vaut mieux subir l’injustice. Mais c’est par la réfutation de Socrate. La réfutation est un processus de réduction d’un discours à sa contradiction interne. La force de la réfutation est impersonnelle et désintéressée, car elle ne fait pas attention au consentement des intéressés. Celui qui est réfuté ne peut se défendre, il ne peut que reconnaître la contradiction

l’idée que l’art doive avoir une utilité rationnelle (indissociable du langage). Puis, à partir de l’observation que nous ramenons sans cesse l’art à la langue, nous avons réfuté la thèse selon laquelle il y aurait un langage propre à l’art. Cette réfutation a été appuyée par le fait qu’il n’y ait pas un art mais des arts, qu’un seul langage commun étoufferait. Puis nous avons réfléchit à la possibilité d’une compréhension à travers l’art qui n’obéirait pas à un code précis déterminé. Nous avons développé

création artistique. III. La progression du raisonnement a. Le principe de la réfutation Le texte part d’une thèse réfutée dans l’intro « Le réaliste cherchera, non pas à nous montrer la photographie banale de la vie… ». C’est la doxa, l’idée commune à laquelle il s’oppose. L’auteur réfute que le réalisme serait une reproduction, une représentation conforme à la réalité. Trois arguments viendront étayer cette réfutation, et une conclusion paradoxale pour affirmer que le réalisme déforme la réalité

exemple qui les rendrait obsolète. D’après lui, l’expérience et les exemples (particuliers) ne peuvent s’élever à l’universalité, et ils sont utiles au sens où ils rendent la théorie vraisemblable, probable, sans pour autant la mettre à l’abri d’une réfutation ultérieure. Le texte s’articule en deux parties distinctes, tout d’abord l’auteur exprime l’opinion commune dans un premier paragraphe, puis dans le second, il la critique et démontre ses faiblesses avant d’exprimer sa propre thèse. Le texte

Miroir consiste à isoler cette France colonisatrice et à la combattre en faisant coïncider le point de vue des Algériens avec les points de vue des autres " France ". Le texte de Hamdan Khodja est suivi d'une " Réfutation " écrite par les amis du maréchal Clauzel et d'une " Réponse à la réfutation ".