Sentiment Religieux

douceur et d’innocence (étant prêtresse de Tanit, elle n’a jamais été confrontée à des hommes et conserve donc son innocence d’enfant). Sa délicatesse détint sur Mâtho puisqu’il agit « tout doucement ». Cette admiration revête donc premièrement un sentiment de légèreté. De plus Salammbô est dévoilée « dans une atmosphère bleuâtre ».La couleur bleue étant la couleur traditionnellement rapportée à la vierge, symbole de pureté, la jeune fille revête par conséquent un caractère divin. On retrouve cet aspect

est un topoï religieux. Le terme « ranimer » présuppose une mort précédente Cela montre que quelque chose les attends avec leur décès, une sorte de renaissance dans un autre espace rempli de bonheur. Le dernier mot du sonnet est néanmoins « mortes ». L’idée de la mort est euphémisée parce qu’elle est sublimée par une résurrection, l’espoir est représenté par le temps du futur qui lui donne un caractère certain. La mort est évoquée comme un prétexte à la sublimation du sentiment amoureux. 2)

s’enfuit chez les vestales. Ses lignes dévoilent l’aveu sentimental de Néron à son confident Narcisse. Cet extrait laisse place à l'expression des sentiments donc l’adjectif qui le qualifie est le lyrique. L’auteur expose dans ce passage une scène d’aveu et campe le portrait de Néron. Dans ce passage, Néron nous déclare ses sentiments, on peut qualifier ce passage d’une scène d’aveu. L’extrait commence par la réplique de Narcisse qui parle de la lutte pour la prise du pouvoir et de l’emprise

vont être promus. Le romantisme est un courant artistique d'Europe occidentale apparu au cours du XVIIIe siècle en Grande-Bretagne et en Allemagne, puis au XIXe siècle en France, en Italie et en Espagne. Caractérisé une expression sans retenu de sentiments très forts. Il se développe en France sous la Restauration et la monarchie de Juillet, par réaction contre la régularité classique jugée trop rigide et le rationalisme philosophique des siècles antérieurs. Le romantisme s'esquise par la revendication

Partie 2 - Résumé du Chapitre 9 Après les comices, Emma ne revit pas Rodolphe pendant un long moment. Lui, de son côté, repoussait le moment de la voir pour que les sentiments de la jeune femme augmentent. Un jour, il passa la voir chez elle et lui avoua ses sentiments, mais Charles arriva sur ces entrefaites. Rodolphe, de façon ingénieuse proposa au médecin d'emmener Emma faire du cheval afin de la divertir. Charles accepta et tenta de convaincre sa femme. A la première ballade, Rodolphe lui

concept naturel qui s'impose à l'homme ? L’amour L’amour désigne un sentiment d'affection et d'attachement envers un être ou une chose, qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité, pouvant être physique, spirituelle ou même imaginaire, avec l'objet de cet amour, et à adopter un comportement particulier (plus ou moins rationnel) en conséquence. Le verbe aimer peut renvoyer à une grande variété de sentiments, d'états et de comportements, allant d'un plaisir général lié à un objet

cet acte. III. Le triomphe de l’amour et de la vérité a. Cette scène est un duo amoureux. Relevez le champ lexical de l’amour et identifiez le registre ainsi introduit. Puis, étudiez la manière dont les sentiments de Ruy Blas et de la reine évoluent dans ce passage. b. Le vocabulaire religieux est important dans cette scène. Relevez ce champ lexical et montrez comment il est relié au thème de l’amour. c. La pièce se termine sur le « Ruy Blas ! » de la reine et le « Merci ! » du héros. Expliquez

        Malgré qu’elle soit généralement lyrique, la poésie engagée, poésie de révolte, poésie de combat, ne parle pas d'amour ni de tendresse, du moins en apparence... Chez elle, pas de petites fleurs ni de sentiments mélodieux. Juste un cri. Simplement des mots qui s'insurgent et qui tout à coup nous font penser. I. L’engagement: a. Définition : Qu’est-ce que s’engager ? Le poète n’est pas un être refermé sur lui-même, détaché du monde qui l’entoure : il a conscience des vices et des imperfections

"on naît, on grandit, on est heureux, on attend et puis on meurt" - sont à l’image de son angoisse. Il n’existe nulle solution face à la mort, et elle est d’autant plus terrible et inéluctable chez lui qu’elle est exempte de caractère mystique ou religieux. Elle est ce "néant illimité" que rien ne peut arrêter, elle est totale, universelle. De fait, nous assistons à un mouvement d’ouverture au fil du passage : nous passons du cadavre particulier de Forestier, à un " on " générique, puis aux "plantes"

Valmont et Merteuil, la Présidente de Tourvel est le personnage avec la place la plus importante. En effet, la correspondance entre les deux épistoliers principaux a souvent comme sujet cette femme prude, courageuse et très rattachée à ses principes religieux. Son éducation fut faite au couvent ce qui se traduit sur sa façon de s’habiller (très vivement critiquée par Madame de Merteuil, jalouse de l’intérêt qu’elle suscite dans l’esprit et le cœur de Valmont), sur son caractère doux et timide et sur ses