Un Homme Peut Il En Juger Un Autre

« Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée : car chacun pense en être si bien pourvu que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose n’ont point coutume d’en désirer plus qu’ils en ont. En quoi il n’est pas vraisemblable que tous se trompent ; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger et distinguer le vrai d'avec le faux, qui est proprement ce qu’on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes  ; et ainsi que la diversité

pratique. Morale ou éthique. Pour Stoïciens + Descartes : philo = tout qui ne peut être connu sans autres sciences. Même médecine fait partie philo. La philo est comme arbre. Les racines font métaphysique. Le tronc est la physique. Commencer par métaphysique car cogito est première vérité : après avoir tout mis en doute : je qui pense. La pensée est première → métaphysique car vérité première = pensée. La physique ne peut venir qu'après métaphysique. Il faut d'abord la pensée pour physique. Les trois

créations plus que d’autres, souvent grâce à leur beauté. Une œuvre d’art ne serait à apprécier que par son esthétique ? Un homme cultivé va comprendre certaines œuvres grâce à leur histoire qu’il connait. Mais comprendre une œuvre d’art est il suffisant pour l’apprécier ? La culture est-elle nécessaire pour avoir une émotion ? Partie A – Non, l’esthétique avant tout ! -L’œuvre d’art peut toucher le lecteur parce qu’il saura la raccrocher a sa propre vie. -Intéresser avec des formes et des couleurs insignifiantes

« Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée; car chacun pense en être si bien pourvu que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose n'ont point coutume d'en désirer plus qu'ils en ont. En quoi il n'est pas vraisemblable que tous se trompent; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger et distinguer le vrai d'avec le faux, qui est proprement ce qu'on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes; et ainsi que la diversité

A la fin du XVIIIème siècle, suite à la Révolution Française, le peuple est pour la première fois amené à porter un jugement qui sera réellement pris en compte. On peut penser que cela est un risque, dans la mesure où la majorité est illettrée, le peuple est donc peu instruit, peu cultivé. Chacun peut porter un jugement sur chaque chose, mais seuls les jugements éclairés sont valables, considérables. Appelons culture toutes les connaissances qui ne sont pas nécessaires à la survie (comme le fait

privilégiée que j'occupe ne pourrait-elle pas être source d'une mauvaise analyse, d'une analyse un peu trop subjective ? Un problème se pose alors : est-ce que la place que j'occupe n'est-elle pas justement un frein dans la connaissance de soi ? Le sujet peut-il à la fois observer et être observé ? Dans un premier lieu, nous allons voir que je suis effectivement le mieux placé pour me connaître car seul moi ai accès à mes pensées, mes sens et donc mon intimité. Puis, dans un second temps, qu'une connaissance

imagination, et qu'il croie trouver par-tout. Il se contente de la pouvoir démêler où il peut l'apercevoir ; il ne la confond point avec la vraisemblance ; il prend pour vrai ce qui est vrai, pour faux ce qui est faux, pour douteux ce qui est douteux, et pour vraisemblable ce qui n'est que vraisemblable. Il fait plus, et c'est ici une grande perfection du philosophe, c'est que lorsqu'il n'a point le motif propre pour juger, il sait demeurer indéterminé. Le monde est plein de personnes d'esprit et de beaucoup

Sujet : Il y a-t-il un sens à dire qu’une culture est supérieure à une autre ? Le monde est composé de nombreuses cultures, des cultures très différentes avec des principes très différents même si elles possèdent tout de même de nombreux points communs. Dans l’antiquité romaine, le mot culture renvoie aussi bien à la culture de la terre (l’agriculture) qu’à la culture de l’esprit (l’éducation). Du latin « cultura », la culture est ainsi cette partie de son milieu que l’homme a crée lui-même, par

Kant, Critique de la faculté de juger, Formation continue Académie de Nantes Critique de la faculté de juger de Kant FORMATION CONTINUE 2005-2006 © Académie de Nantes 2008 1 FORMATION CONTINUE 2005-2006 Lecture collégiale de la critique du jugement esthétique dans la Critique de la faculté de juger de Kant Première séance : jeudi 11 janvier 2006, 14 h – 17 h. Découpage des séances de formation : Bien entendu, ce découpage ne peut être respecté « à la lettre », et le déroulement

Critique de la faculté de juger de Kant Première séance : jeudi 11 janvier 2006, 14 h – 17 h. Découpage des séances de formation : Bien entendu, ce découpage ne peut être respecté « à la lettre », et le déroulement effectif de la première séance illustre déjà cette salutaire « résistance du réel » à nos projets les plus ambitieux… Le schéma suivant est donc susceptible de quelques variations : Première séance : lecture des §§ 43-45 de la Critique de la faculté de juger : définition générale de