Vomissement

DEFINITIONS : 1°) VOMISSEMENTS : Ils se définissent comme l’émission brutale par la bouche (souvent « en jet ») du conte-nu gastrique ou intestinal. Ils sont secondaires à une contraction du diaphragme et de la musculature abdominale. Ils ont souvent un caractère pénible et peuvent être associés à une sensation de malaise (de type vagal avec pâleur). Ils peuvent être alimentaires, bi-lieux ou hémorragiques. 2°) REGURGITATIONS : - Il faut les différencier des vomissements. - Elles se définissent

CDU_Chap37.fm Page 1 Jeudi, 30. avril 2009 5:08 17 V Item 345 – Vomissements de l’adulte (avec le traitement) I I. DÉFINITIONS ET DIAGNOSTIC II. PHYSIOPATHOLOGIE III. COMPLICATIONS ET CONSÉQUENCES DES VOMISSEMENTS 37 IV. DÉMARCHE DIAGNOSTIQUE V. TRAITEMENT Objectifs pédagogiques Q Devant des vomissements du nourrisson, de l’enfant ou de l’adulte, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. Q Argumenter l’attitude

Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance Juin 2009 NAUSÉES ET VOMISSEMENTS NAUSÉES ET VOMISSEMENTS Ce qu’il faut savoir Les nausées correspondent à une sensation de malaise ou d’inconfort au niveau de l’estomac qui se traduit par un écœurement ou une envie de vomir. Le vomissement est un réflexe mécanique de défense de l’organisme, pour forcer l’expulsion du contenu de l’estomac, par exemple en réponse à une indigestion. Ce sont des symptômes fréquents

d’objet transitionnel pendant cette période d’angoisse de la séparation. Antécédents médicaux et chirurgicaux : Pas d’antécédent particulier. Histoire de la maladie : Depuis trois jours, Mai. vomit, a de la diarrhée et de la fièvre. Elle a des vomissements et des selles non glairosanglantes supérieurs à 5 par jour. La mère a fait une tentative de réhydratation orale à son domicile avec l’ADIARIL ® qui a échoué. La mère s’est donc rendue par ses propres moyens avec sa fille aux urgences pédiatriques

alimentation se compose d’une simple omelette au petit déjeuner, d’un café au midi et d’une modeste salade en guise de souper. Puisqu’il ne voyait aucune perte de poids significative à ses yeux, il opta pour une nouvelle solution, soit de se provoquer des vomissements dans le but d’éliminer le plus de calories possible. Ainsi, Grégory développa une obsession pour la nourriture. Il ne peut pas supporter l’impression d’avoir satisfait sa faim. De plus, il vit de trois à quatre rages de nourriture par semaine

paroxystique, à début brutal, irradiation postérieure vers la pointe de l’omoplate droite, antérieure vers l’épaule droite (brettèle), elle inhibe la respiration et elle est déclenchée par la consommation des aliments gras et s’accompagne de nausées, de vomissements, et souvent de la fièvre. D- Douleur cholédoctique Elle a les mêmes caractères que la douleur vésiculaire et s’accompagne de fièvre et d’ictère. E- Douleur intestinale 1. Douleur colique : Douleur de type colique, croissante, décroissante

d'un énorme festin. Afin de compenser l'excès de calories ingérées, ou afin de se soulager de sentiments tels que colère, dégoût, pression scolaire, etc. la personne boulimique a recours à un ou plusieurs des actes suivants : Provocation du vomissement Utilisation inappropriée de laxatifs et/ou de diurétiques Exercice physique excessif Imposition de restrictions alimentaires de type anorexiques afin de "rééquilibrer la balance". Sommaire [masquer] 1 Causes 1.1 Abus sexuel et boulimie 2

sonde est nécessaire, qu’elle va jusque dans l’estomac afin d’évacuer les sécrétions gastriques et ainsi empêcher les vomissements répétés jusqu’à la reprise du transit où elle lui sera retirée. Je lui dis également qu’il est important qu’elle reste en place pour le moment, qu’il ne faut surtout pas l’arracher car cela provoquera un traumatisme suivi de la reprise des vomissements. Monsieur L semble alors avoir compris l’utilité de la sonde. Il se plaint cependant d’avoir faim et réclame quelque chose

médicamenteuse : anxiolytique, pose de voie veineuse (ou au bloc) Préparation digestive : Selon le type d’intervention et selon le protocole du service : Si a jeun pour AG : 6 à 8h avant le bloc : solide, liquide, tabac pour éviter tout problème de vomissement, inhalation Ne rien laisser à porter du patient Communication pluri professionnelle Si AL repas léger 3h avant Si besoin : préparation de la vacuité intestinale (lavement, régime sans résidu…) éviter le syndrome de Mendelssohn, retour des

professionnelle Risque Dumping Syndrome :  Malaise post-prandial lié à l’arrivée brutale d’aliments non digérés dans le jéjunum. Survient souvent dix minutes après le repas et dure une demie heure Les patients peuvent présenter des sueurs, des nausées, des vomissements, une pâleur, une angoisse, une hypotension orthostatique. Penser à les allonger lors de ce malaise et à leur signaler de bien fractionner les repas. A ce jour pas eu d’épisodes de dumping syndrome. Risque de lâchage des sutures Eviter t la fuite