1. L’analyse de la situation
A) Décrivez l’environnement immédiat d’Air Canada, tel qu’il était avant l’avènement d’internet.
Les consommateurs avait 3 possibilités de magasinage afin d’obtenir leurs billets d’avion. La majorité de ceux-ci passait par les agences de voyage et quelques adeptes optaient soit pour le grossiste ou faisait affaire directement avec la compagnie aérienne.
La concurrence établie. Le SIR, puissant système de réservation, séparé en quatre grand SIR. Ils représentent à eux quatre la plus grande concurrences de l’industrie en voulant attirer tous la même clientèle. Il était présent et utilisé dans 92% des agences de voyages en 1994.
Les fournisseurs choisis par les dirigeants d’Air Canada l’ont été afin d’optimiser la rentabilité de l’entreprise. Tel que mentionné par Bergeron, qu’Air Canada se procure ses avions chez Boeing et McDonnel Douglas, son carburant, ses huiles de graissages et ses graisses chez Petro-Canada, Shell Canada et Esso.
Les nouveaux concurrents peuvent toujours essayer de percer le marché. Une super promotion dans un domaine clé de l’industrie peut avoir comme effet de faire diminuer les profits des concurrents établis. La percé de nouveaux concurrents sera possible si la réaction des concurrents établis tarde à venir.

B) Décrivez l’environnement immédiat d’air Canada, tel qu’il est devenu depuis l’avènement d’internet.
L’arrivé d’internet a littéralement modifié la structure domaine du voyage. Les consommateurs sont toujours les mêmes mais ont maintenant de plus grande possibilité pour faire leurs achats. Des grossistes nouveau genre (billets à rabais) des agences virtuels, ce qui permet au voyageur d’avoir un éventail de possibilité.
Air Canada et les autres compagnies aériennes ont leurs propres sites internet. Ils économisent sur les commissions versées aux agences de voyage et sur les rabais accordés au grossiste. De plus, une commission de 5% est versée à la compagnie aérienne lorsqu’un client achète