Analyses

1683 mots 7 pages
La guerre est synonyme de souffrances et de violence, peu importe la cause qu'elle défend. Le terme guerre lui-même implique une prise d'armes qui, inévitablement, sous-entend qu'il y ait des morts que ce soit parce qu'il ait été nécessaire de se défendre ou que se soit parce que nous-même attaquions. Dans cette optique, Henri Brialmont, un ingénieur belge en fortifications ayant eu une éducation principalement militaire, affirme: "À la guerre, on ne tue non pour tuer, mais pour ne pas être tué." Ainsi, il donne à la guerre un but uniquement défensif qui consisterait en tuer quelqu'un d'abord afin que cette dîtes personne ne puisse pas nous atteindre. Cependant, dans quels cas est-il possible de voir que la défense prime sur l'attaque? Existe-t-il un cas de figure où la guerre n'a pour but que le meurtre? Peut-on imaginer qu'on ne tue ni par soucis de défense, ni par soucis d'attaque? Ces trois questions seront abordées, premièrement en analysant le point de vue de l'auteur de l'assertion, deuxièmement en envisageant l'exact contraire de ses propos et troisièmement en nous appuyant sur le point de vue d'un "exécutant" de la guerre pour lequel elle n'aurait aucun dessein défensif ni même aucun dessein d'attaque, cas de figure qui sera exemplifié par le roman "La mort est mon métier" de Robert Merle.

Lorsqu'un humain en attaque un autre, c'est dans la nature de ce dernier de chercher à se défendre afin de souffrir le moins possible. À la guerre comme dans la vie de tout les jours, chaque individu préfèrera faire du mal à un autre plutôt que de souffrir lui-même. Evidemment dans le quotidien, le règlement des problèmes s'accomplit rarement en commettant un meurtre cependant, dans un contexte guerrier, c'est en tuant l'adversaire que l'on remporte la bataille. La notion même de guerre implique qu'il y ait des morts, des armes et de la violence sinon le combat armé qu'est justement la guerre n'aurait pas lieu d'être car en effet si le problème avait pu

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