Les éléments traditionnels du conte
1-La découverte d‘un univers familier
A : « Alice au pays des merveilles » est un titre qui amène à des pensées féériques. En effet l’utilisation même de « merveilles » invite à l’imaginaire, alors « pays des merveilles » accentue l’effet et nous ramène donc à un conte.
B : L’héroïne du livre est Alice, car on suit son histoire tout au long du livre, tout au long des différents chapitres.
Les enfants sont ceux qui ont le plus d’imagination, il est donc très facile pour les enfants de s’identifier naturellement à Alice, puisque finalement, elle a les mêmes réactions et réflexes que eux.
C : On trouve au sein de ce livre différents animaux, comme un lapin, un aiglon, un canard, des oiseaux, un ver à soie, une souris… Les animaux sont en effet différents des animaux tels que nous les connaissons car ils parlent, ont des sentiments etc …
D : On peut citer tout d’abord le chaperon rouge mais aussi les trois petits cochons et cendrillon.
2-Les marques de la tradition
A : Merveilleux : se définit par tout ce qui appartient à la magie et à la féérie. Il me semble convenir à son univers car ses péripéties sont magiques, au-delà du réel et donc colle parfaitement à la définition.
B : A chaque fois qu’elle boit ou mange quelque chose, Alice grandit (entièrement ou d’une seule partie de son corps ; par exemple le cou) démesurément ou au contraire rétréci jusqu’à être aussi grande qu’un verre à soie.
C : Alice doit surmonter plusieurs épreuves, tels que celle des portes (chapitre 1), de ne pas se noyer dans le torrent de ses propres larmes (chapitre 2) ou bien encore quand elle dois choisir entre les deux bouts de champignon, un qui fais rétrécir et l'autre qui fais grandir (chapitre 5).
D : Non, le récit ne se termine pas par une morale comme habituellement dans les contes mais tout simplement par le réveil d’Alice sur les genoux de sa propre sœur.
La touche personnelle de Lewis Carroll
1-Une structure originale
A :