Cage d’oiseau hector de saint-denys garneau analyse de la fatalite
« Si vous voulez me donner à coucher, à manger et un tant soit peu de tabac par-dessus le marché, je resterai. [...] Je vous servirai d’engagé et appelez moi comme vous voudrez». Page, 21-22.
Il y a aussi le fait que le Survenant acquiert des connaissances, habilités uniques qui provoquent l’admiration des habitants du Chenal du Moine et ces marques d’appréciation le rendent heureux. Tout le village se déplace pour écouter les récits de voyage, la musique d’ailleurs et envie le travaille qu’il effectue chez les Beauchemin. Les habitants démontrent de l’admiration envers le Survenant. «Au Chenal, plusieurs cultivateurs, sauf Pierre-Côme Provençal, commençaient à regretter qu’il n’eut pas échoué chez eux plutôt que chez les Beauchemin». Page, 60-61.
Le respect qui vient avec l’admiration du père Didace ne peut qu’accentuer le bonheur du Survenant. En effet, lorsque certains voisins jalousent le père Didace pour avoir hébergé le Survenant, le père Didace les remet à leur place témoignant ainsi du respect envers son protégé. « Ma foi d’honneur, on dirait presquement que le père Didace le respecte.» page 62.
Les mots utilisés ici accentuent par leur appartenance à un champ lexical populaire la véracité des sentiments. « Ma foi d’honneur » exprime l’étonnement et la référence à la foi catholique très importante à l’époque donne de la crédibilité à l’affirmation. Le «