Le document 1 est un article du journal « Le Monde » publié le 4 Juin 2009. Il parle de la ville d’Abu Dhabi, ville qui affiche la pire empreinte écologique. En effet ce texte explique la mise en place du développement durable et comment cette ville compte devenir la capitale du développement durable. D’où le titre de l’article « Abu Dhabi, future ville durable ? ». Le document 2 est la présentation visuelle de la tour Burj-Al-Arab, hôtel luxueux. Dans un premier temps nous allons analyser le document 1, la ville d’Abu Dhabi au jour d’aujourd’hui puis le projet d’en faire une ville durable. Ensuite nous allons décrire le document 2 et expliquez en quoi il s’oppose au document 1. Et pour finir nous allons confronter les deux documents et pourquoi sont-ils contradictoire.

Au jour d’aujourd’hui, Abu Dhabi est considérée comme une ville néfaste au développement durable. En effet les avenues sont trop larges, les distances interminables. A Abu Dhabi il n’y a pas de trottoir, des endroits d’ombre pratiquement inexistant et de rare bus qui servent de transport en commun. Si cette ville manque d’urbanisation, elle ne manque pas d’ambition. En effet elle compte devenir la capitale du développement durable. Et elle n’est pas considérée comme irrécupérable, un urbaniste estime qu’ « en recréant des trottoirs, de la végétation, on peut transfigurer la ville ». Car sans parler de Masdar, future ville nouvelle qui a débuté sa construction en février 2008. C’est toute la ville d’Abu Dhabi qui prépare sa conversion aux canons de l’esthétisme « vert ».
Ils vont mettre en place un centre ville de 400.00 résidents, vaste de 5000 hectares. Se trouvera alors les autres pouvoirs, des ambassades, des universités, des logements et des commerces. Ils vont appliqués les principes de densité, de compacité et de mixité. Ils ont décidé de favoriser l’architecture arabe contemporaine autour de rues étroites, vivables, ombragées et accueillantes pour les piétons et offrant des transports